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Policiers

Pondichéry blues

Rien de grave ne peut arriver ici. C'est ce qui se dit couramment à Pondichéry. ville tranquille de la côte Est au charme un peu suranné. Le premier démenti vient avec de terribles intempéries. Peu après, une famille apparemment sans histoires est victime de plusieurs tentatives de meurtre. L'inquiétude gagne alors les plus insouciants. Le brahmane Doc y mettrait bien son nez, mais devant l'hostilité des policiers, il se contente de mener une enquête parallèle, secondé par quelques repris de justice. une ou deux danseuses et même un détective privé. Et quand il tombe dans les rets d'une femme fatale (à moins que ce ne soit l'inverse), on se dit que tout peut vraiment arriver ici.

06/2014

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Policiers

Des myrtilles dans la yourte

Madré, coureur de jupons, buveur obstiné, l’inspecteur Yesügei est aussi un chasseur né. Lorsqu’un touriste américain disparaît au cours d’une chasse aux antilopes saïga, son instinct se réveille. Tenace et patient, il remonte les pistes et ne lâche jamais sa proie. Avec pour fil conducteur, une poignée de myrtilles. Et pour scène de crime, les étendues sans fin d’une terre où le vent semble reculer les limites de l’horizon, une terre sacrée pour ses cavaliers nomades, et livrée aux appétits étrangers qui se disputent âprement ses ressources.

05/2011

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Littérature française

Nokhoï. Tome 4 : Le chien allait ratiocinant

Nokhoï est le monologue d'un chien. D'un chien pensant et errant qui suit les vicissitudes d'une vie nomade, dans la Mongolie profonde. Un chien qui observe, qui s'attarde aux situations, comme le ferait un vieux sage. Mais il est un viverrin, très conscient de la beauté rare de sa fourrure, du privilège qu'elle lui confère. Un peu vaniteux donc, assez égoïste, opportuniste. On dirait que Nokhoï se prend pour un philosophe réincarné. Il ratiocine, du latin ratiocinari : calculer, raisonnant avec une subtilité excessive, selon la définition. Il ratiocine sur tout et rien. Les faits et les méfaits de Staline - son idole -, les abus de ses maîtres, ou les simagrées des chamanes. D'un bout à l'autre de son récit, sa réflexion canine est implacable, d'autant qu'il est, Nokhoï, en viverrin à la fourrure dense et au minois masqué de noir, doté à s'y méprendre, des facultés d'un homme pensant et aussi de ses défauts.

11/2021

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Policiers

Nuit blanche à Madras

Doc n'est pas détective de métier. Il est brahmane et exerce à Madras la profession de médecin. Ce passionné de musique indienne et d'arts martiaux ne ménage pas l'amour qu'il porte à sa vache dodue. Et il aurait déjà largement de quoi s'occuper si. de temps à autre, le hasard ne mettait sur sa route une histoire criminelle. Doc, malgré son flair et sa sagacité, hésite toujours à s'en mêler parce qu'il se méfie par principe des intuitions. Mais comme il a reçu une éducation traditionnelle, il arrive qu'un passage de quelque ancien traité stimule sa réflexion et l'aide à résoudre l'énigme. Confronté à la disparition de Suryâ, Doc ne croit pas à une fugue amoureuse. Il poursuit son enquête jusque chez les adorateurs de Kâli et, avec sa sacrée manie des détails et sa connaissance de la philosophie indienne que ne partagent pas l'inspecteur Gopan ou Gokul, le commerçant amateur de chutneys et de pickles, nul doute qu'il arrivera à ses fins.

06/2014

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Policiers

La morte du Bombay-Express

Sous la canicule, le Bombay Express roule à petite vitesse, emportant le brahmane-médecin Doc qui se rend à Bombay en compagnie du fidèle Arjun pour soigner l'obésité de son beau-frère. Mais le corps atrocement brûlé d'une jeune femme dans un compartiment de première classe lui ouvre les portes de Bollywood, des stars capricieuses et des studios de cinéma. Tandis que sa soeur cuisine sans relâche et que les fêtes se succèdent, il donne une leçon de kalaripayatt dans les rues de Bombay et découvre ce que peut être le chantage et le goût de la vengeance. Armé des shâstra et de son seul parapluie, il découvrira les raisons d'un meurtre qui n'était au fond qu'une sinistre plaisanterie. Si la vie n'est qu'un songe, la mort ne serait-elle qu'une blague ?

06/2013

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Littérature chinoise

Contes de la Montagne Sereine

A partir des Song et pendant trois dynasties, les conteurs populaires ont produit des huaben (ou contes en langue vulgaire) ; après quoi, des lettrés s'efforcèrent de restituer à l'oralité primordiale ses lettres de noblesse écrite. Les huaben racontent des histoires, drôles ou tragiques, qui nous proposent de la Chine des Song et des Yuan des tableaux fort vivants, ceux-là mêmes qui divertissaient les très nombreux auditeurs des conteurs publics. L'invention, la verve, l'ironie font en effet merveille. D'ailleurs, ces proses mêlées de vers fourniront bientôt, par savante agglutination, la trame des grands et longs romans qu'élaborera la Chine à partir des Ming. Avec ces Contes de la Montagne Sereine, la plus ancienne collection de huaben connue, nous sommes aux sources mêmes d'un genre littéraire entre tous fascinant.

05/2023

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