Chats, souris, escargots, chien et à présent baleine blanche les animaux tiennent une place toute particulière dans l’œuvre de Luis Sepúlveda. À la fois tendres et émouvantes ces histoires qui constituent le bestiaire de l’auteur parlent certes d’animaux, mais sont profondément humaines.
Dès la fin du mois d’août débutera le grand rendez-vous français de la Rentrée littéraire. Cette année, une production en légère diminution, puisque “seuls” 524 romans sortiront contre 567 l’année passée. On passe donc de 9,78 livres à engloutir durant les deux mois et demi, à simplement, et plus digestement, 9,03.
Cela avait commencé avec quelques cas en Chine, mal recensé et des perturbations dans l’économie du pays. Et rapidement, le coronavirus est devenu l’invité tragique de l’année 2020. Les cas se sont multipliés et les décès sont survenus peu après. Avec des conséquences diverses dans l’industrie du livre, à travers le monde.
Née Adeline Virginia Alexandra Stephen en 1882, Virginia Woolf grandit dans une famille aisée, où elle dispose d'un accès facilité à l'art et à la culture de son époque. Les disparitions de sa mère, en 1895, de sa demi-sœur puis de son père fragilisent toutefois son état émotionnel : elle devient sujette aux dépressions nerveuses. En 1915, elle publie son premier roman, The Voyage Out, après quelques années d'activité au sein du supplément littéraire du Times.
« Pour faire une histoire, il faut toujours un point de départ. » Pour inaugurer ce commencement, les éditions Delcourt ont confié à Christophe Tranchant leur nouveau label : Sens Dessus Dessous. Un nouveau défi qui proposera aux jeunes lecteurs une gamme d'ouvrages illustrés et d'albums, aussi bien en fiction qu'à travers des documentaires.
L'édition française fait le bilan de l'année 2018, en demie-teinte : la baisse du chiffre d'affaires s'élève à 4,38 %, pour un total de 2 670,1 millions €. Si l'alarme n'est pas encore donnée, l'édition reste toutefois vigilante vis-à-vis d'une importance moindre accordée à la lecture face aux autres loisirs.
BD tout public
Les aventures du chien d'Héraclès dans une Antiquité qui fleure bon les rivages de la Méditerranée. Si vous aimez l'humour, le sexe, la violence, la philosophie et les animaux, cette série est faite pour vous. Sfar et Blain créent une merveille d'humour décalé, fin et sophistiqué qui s'amuse à réfléchir.
Héraclès est le fils de Zeus, c'est un demi-dieu. Socrate, qui est le fils du chien de Zeus, est un demi chien, moitié chien, moitié philosophe. Vu de l'extérieur, il ressemble plutôt à un clébard jaune à truffe noire, un peu pouilleux, et son comportement ressemble à celui de n'importe quel chien.
Oui, mais il pense, et il cause. C'est le chien d'Héraclès et il le suit dans toutes ses aventures, commentant les moindres faits et gestes de son maître. Sous couvert d'offrir aux lecteurs un péplum épique, cette nouvelle série est une tentative de faire de la philosophie en bandes dessinées.
Les aphorismes du chien oscillent entre brèves de comptoir et dialectique platonicienne, tandis que son maître tente de séduire toutes les belles qu'il croise et se bagarre avec tous les monstres qu'il rencontre.
Le chien est désabusé, rendons à César ce qui lui appartient, il est même cynique parfois, mais cynique grec, hein, ça veut dire que tout l'album est baigné de soleil méditerranéen et d'oliviers offrant de l'ombre à de jolies filles.
01/2002
Animaux, nature
06/2019
La vie quotidienne
10/2023
La vie quotidienne
09/2023
La vie quotidienne
07/2023
La vie quotidienne
10/2022