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Extraits

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Critique littéraire

Désaccord parfait

«La perspective de pouvoir me désolidariser encore de quelques-unes des valeurs qui prétendent unir tant bien que mal cette humanité en déroute est l'un des plaisirs qui me tiennent en vie. Quand les professeurs de vertu rétrospective et anhistorique racolent dans les médias ; quand n'existe plus d'ardeur que pour ce qui relève de la noyade dans l'indifférencié ; quand le chaos festif et touristique devient la trame de nos vies concrètes dans un monde qui se réaménage à toute allure en "espace de loisirs" ; quand la religion culturelle ne connaît plus les arts que pour les forcer à incarner le collectif euphorique, alors il est nécessaire de reprendre à zéro la critique d'une époque si pénible. La plus rude bataille, comme disait l'autre, contre qui doit-on la livrer ? Contre tout ce qui fait de vous un enfant de son siècle : on ne peut penser clairement que ce qui tente de vous rejeter ou de vous dénoncer.»Philippe Muray.

02/2000

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Critique littéraire

Accord et désaccord

Ce volume est le second volet d'un ensemble de travaux sur la notion d'accord, qui vont des aspects morphologiques de l'accord aux aspects pragmatiques. Il réunit les actes du colloque du CERLICO qui s'est déroulé à Poitiers en juin 2017, et présentent des recherches inédites notamment sur les marqueurs de désaccord qui sont souvent négligés dans les publications sur cette question.

07/2019

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Policiers

Désaccord mineur. Dinard

Journaliste, Marc Palincourt rêve du scoop qui lui permettra de quitter L'Officiel du prothésiste dentaire, un hebdomadaire professionnel où il s'ennuie ferme. Il croit enfin tenir le sujet en or lorsqu'il apprend que la Sofaba, une usine spécialisée dans la production d'engrais chimiques, pollue Dinard et ses environs en toute impunité. L'information lui est confirmée par Pierre Brunet, un ancien employé de l'usine, récemment licencié.
Son témoignage est édifiant : non seulement les rejets de la Sofaba portent atteinte à l'environnement, mais ils sont également à l'origine des cas de cancers recensés dans le secteur, bien trop nombreux pour être le fruit du hasard. A peine Marc a-t-il décidé d'enquêter que les premières intimidations commencent à pleuvoir. Puis c'est au tour de Pierre Brunet, son précieux informateur, de disparaître mystérieusement.
Lorsqu'il échappe de peu à une tentative de meurtre, Marc réalise que les menaces sont bien réelles. Mais n'est-il pas déjà trop tard ?

04/2012

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Littérature étrangère

Désaccords mineurs

Chrissie a toujours su que Richie les aimait, elle et leurs trois filles, ainsi que leur maison de Highgate, et leur joyeuse existence rythmée par la musique. Mais pourquoi ne lui en a-t-il jamais donné la preuve en l'épousant, ce qui aurait rendu son existence parfaite ? Parce que c'est l'apanage de Margaret, avec qui il a eu un fils, Scott, quand il faisait ses débuts de musicien. Il ne les a jamais revus, et Chrissie aurait aimé continuer à ignorer leur existence. Mais à la mort de Richie, Scott et sa mère, qui figurent au testament, font leur réapparition. Pour Chrissie et ses filles, tout semble se fissurer irrémédiablement mais Amy, la cadette, est déterminée à rectifier ces désaccords mineurs.

05/2012

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Littérature étrangère

Désaccords imparfaits

Trois courtes nouvelles de Coe datant des années 1990 - les seules qu'il ait jamais écrites - sont publiées dans ce petit recueil, ainsi qu'un article sur Billy Wilder, " Journal d'une obsession ", écrit pour un numéro des Cahiers du cinéma. " Ivy et ses bêtises " voit un narrateur adulte revenir sur un épisode de son enfance, lors d'une soirée de Noël, où il fut convaincu d'avoir vu le fantôme d'un homme tué par sa femme, au procès de laquelle la grand-mère du narrateur avait participé. La fin de la nouvelle laisse planer un doute sur l'existence réelle de ce fantôme. " 9e/13e " est une sorte d'exercice de style : un pianiste de bar new-yorkais, à laquelle une séduisante jeune femme demande où elle peut loger ce soir-là, imagine ce qui ce serait passé s'il l'avait invitée à dormir chez lui... ce qu'il n'a bien sûr pas fait. " Version originale " est la nouvelle la plus longue et la plus aboutie ; elle manifeste le goût de Coe pour les intrigues complexes : lors d'un festival du film d'horreur dans une ville de la Côte d'Azur, un compositeur de musique de films, qui fait partie du jury, découvre qu'un des films en compétition a été écrit par une ancienne amie, qui était tombée amoureuse de lui mais que le narrateur avait un peu brutalement éconduite. Le souvenir de cette histoire lui revient à la vision du film, qui en offre une réécriture, et entre en écho avec le flirt qu'il ne peut s'empêcher d'entretenir avec une journaliste présente sur le festival. En peu de pages, Coe évoque les tentations, les opportunités ratées, les souvenirs qui hantent et une certaine mélancolie. " Journal d'une obsession ", dans un tout autre genre, évoque l'obsession, au sens littérale, de Coe pour un film mal-aimé de Billy Wilder, La vie de Sherlock Holmes, et plus précisément pour sa musique composée par Miklós Rózsa. Coe raconte, sous forme de journal intime, comment, à différentes étapes de sa vie, il a rencontré ce film, souvent par hasard. Il raconte aussi ses recherches pour mettre la main sur un enregistrement de cette musique, devenue introuvable. Dans l'introduction du recueil, Coe affirme que la nouvelle est loin d'être sa forme de prédilection, lui préférant la longueur et la complexité qu'offre le roman. Il n'empêche que ce recueil est une réussite, et offre un concentré de son écriture et de ses thèmes favoris : le mélange d'ordinaire et d'étrange dans la première nouvelle, les anti-héros un peu ratés, passant à côté de leur vie, dans les deux autres, et, toujours, un humour pince-sans-rire, mêlé à une tonalité mélancolique. Dans l'article sur Billy Wilder, particulièrement touchant, Coe adopte un mode plus autobiographique : derrière le prétexte de son obsession pour ce film, il évoque de façon assez émouvante un certain rapport à l'enfance, au passé, au temps qui passe. Ses différentes " rencontres " avec ce film et sa musique, scandées par l'évolution des technologies (du livre à la cassette vidéo et au DVD, du 33 tours au CD...) dessinent une sorte de portrait de l'artiste des années 1970 à nos jours. Les quatre textes, sous des dehors assez différents, sont ainsi unis par des thèmes ou des motifs récurrents, en particulier le rapport à la musique, véhicule de souvenirs et d'émotions. Ce recueil démontre s'il le fallait l'évidence du talent de Jonathan Coe, qui atteint en très peu de pages une densité et une émotion exceptionnelles.

03/2012

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Romans historiques (poches)

Le colonel désaccordé

En 1807, fuyant l'armée napoléonienne, le roi du Portugal s'exile dans sa lointaine colonie du Brésil. Pour le capitaine Dom Eduardo Alfonso Rymar, vaillant officier de l'armée portugaise, c'est un désastre : il n'y a pas de guerre à livrer de ce côté de l'océan... Lui qui rêvait de glorieux faits d'armes doit accepter une mission subalterne : le convoi des pianos et des clavecins que la noblesse portugaise apporte au Nouveau Monde. Avec son aide de camp, mieux acclimaté que lui aux moeurs - et aux femmes - brésiliennes, Rymar dirige un atelier que la mode des instruments à clavier, lancée par la cour, a rendu nécessaire. Mais la musique, qu'il prend en haine, lui réserve encore bien des surprises...

06/2010

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