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Les artistes seraient-ils·elles au-dessus des lois ? Formeraient-ils·elles une catégorie de citoyens et citoyennes à part, trop créatifs et créatives pour s’accommoder des règles ou s’acquitter de leurs tâches administratives ? C’est ce que semble vouloir démontrer une tribune signée par le président de la Société des gens de lettres, et publiée ce mercredi dans les colonnes de Livre Hebdo. La Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse réagit vivement à cette publication. 

Nous l’avions déjà interviewé il y a quelques mois dans le cadre de son travail de fin d’études sur les booktubeurs, ces nouveaux prescripteurs du Web qui connaissent un succès croissant, principalement auprès d’un public jeune et féminin.

Ces vendredi et samedi 25 et 26 février, dans les locaux de l'Université Rennes 2, une bande de « hackers » a sévi pendant 24 heures. Leur cible ? Pas des données personnelles ni de cryptomonnaie, mais la situation et la protection juridique et sociale des auteurs, qu'il s'agissait d'interroger et d'améliorer, grâce à un intense échange d'idées. À la sortie de cette seconde édition de l'événement, le bilan est riche, à nouveau.

Pas vraiment sexy en diable, le nouveau drone de livraison d’Amazon. La société en est pourtant très fière, considérant que Prime Air représente un véritable avenir dans la livraison de paquet. Les clients situés dans un périmètre de 30 minutes maximum seront servis par l’intermédiaire de cette petite machine volante. 

L’arrivée du commerce en ligne a révolutionné les modalités d’accès au livre. Mais c’est toujours un modèle qui ne cesse de se réinventer, avec des offres de plus en plus diversifiées, de la livraison en librairie, en point relais ou à domicile.

Si l'offre de service doit s'approcher au plus près possible des attentes des clients, Fnac décide que la rapidité de livraison devient un enjeu d'envergure. Avec sa solution Fnac 3 h Chrono, l'enseigne annonce que les clients de Paris, Neuilly-sur-Seine, Clichy et Levallois-Perret peuvent recevoir leur commande dans les meilleurs délais.

Lorsque le projet d'Amazon d'assurer la livraison de ses colis par drones avait été révélé par Jeff Bezos, le scepticisme était de mise. Mais, force est de constater que quelques mois après, des géants de la livraison y pensent aussi sérieusement.

La société derrière le moteur de recherche n°1 du Web entend bien tenir tête à Amazon, qui propose depuis longtemps la livraison en un jour si celui-ci est ouvrable, pour tous les fidèles clients qui ont souscrit à son offre de fidélité Prime. Google vient d'annoncer la création de Google Shopping Express, un service de livraison similaire et en moyenne 10 $ moins coûteux que l'offre d'Amazon.

Pour assurer un service de livraison toujours plus efficace, Amazon va solliciter les citoyens, et leurs véhicules. En plus des drones, bientôt en mesure de se déplacer à travers les cieux pour des livraisons expresses façon cigognes, les citoyens seront prochainement mis à contribution. Le service On My Way devrait faire son apparition prochainement.

Dans une nouvelle communication, la firme Amazon annonce que pour les clients Amazon Prime, un service de livraison a été mis en place, dans un partenariat avec l'USPS, les services postaux américains. Le service permettra aux clients de recevoir leurs colis, même le dimanche, dans les zones métropolitaines de Los Angeles et New York, pour l'heure.

C'est une plaisanterie récurrente dans les milieux autorisés : bientôt, Amazon sera en mesure d'envoyer les colis et de livrer ses clients la veille de leur commande. Sauf que la réalité a dépassé la fiction, comme le monde un brevet déposé par la société. Le Wall Street Journal a découvert le prochain plan de conquête du monde : la livraison anticipée, une méthode de lancer la livraison de colis avant même que les clients n'appuient sur le bouton Acheter. 

Parmi les divers services proposés par La Poste, le dernier en date Facteurs Services Plus, est « est une offre payante du groupe La Poste pour les services de proximité réalisés à domicile et assurés par les facteurs pour le compte de tiers, entreprises ou collectivités locales ».

Les réactions du public à l'annonce de la loi interdisant le cumul de la gratuité des frais de port avec la remise de 5 % autorisée, pour la vente à distance de livres, sont plus que mitigées. D'un côté, les défenseurs de la librairie indépendante, convaincus du bien-fondé de la législation, de l'autre, les consommateurs d'internet, vexés d'avoir perdu leur avantage. Situation bien complexe, dont le gouvernement ne se sortira pas. 

Les armes de fidélisation client d'Amazon inspirent la concurrence. Dans le cadre de son plan stratégique 2015, la chaîne de distribution de biens culturels et électroniques annonce le lancement de son propre service premium, baptisé Fnac Express+, ouvrant notamment droit à un nombre illimité de livraisons en 1 jour ouvré à domicile, ou en relais colis avec un délai de 2 à 5 jours. La souscription annuelle est de 49 euros, ou 39 pour les adhérents.

Alec Momont, un étudiant belge en ingénierie, a présenté ce mardi son concept de drone-ambulance à l'université de Delft aux Pays-Bas. Ce système a pour but de diminuer le nombre de victimes d'attaques cardiaques dans les lieux publics, en réduisant le temps d'intervention des secours qu'il estime largement en cause dans le nombre élevé de décès en cas de crise. Selon lui, son concept peut transporter un défibrilateur dans la minute, en couvrant une zone d'environ 12 km².

La grande distribution développe ses solutions pour livrer avec toujours plus de rapidité. La plateforme de commerce en ligne Cdisount, appartenant à Casino, élargit son réseau de casiers de retrait de livraisons aux gares. Comme avec les points de retrait déjà existants, au nombre de 17.500 à travers le pays, chaque commande génère un code permettant d'accéder au casier dans lequel l'article acheté sera livré dans les 24 heures suivant l'achat.

Amazon s’envole, littéralement, alors que son service Prime Air vient d’obtenir le feu vert des autorités. La livraison par drone démarrera ses tests maintenant que le statut de « transporteur aérien » est obtenu. La Federal Aviation Administration (FAA) a fini par céder aux arguments de la firme.

Quelques jours après avoir banni le Kindle de ses étals (voir notre actualité), le géant américain de la grande distribution, Wal-Mart, attaque à nouveau son rival Amazon en prévision de la saison des fêtes. Parallèlement à un nombre record d'ouvertures de magasins au Canada, le détaillant a planché sur un projet pilote de livraison à domicile, sous 24 heures. Ce nouveau service est baptisé : Wal-Mart To Go.

Chacun réfléchit à l'avenir de la librairie et à la diversification de ses modèles économiques. Par exemple, l'un des acteurs pour l'heure exclusivement centré sur le marché professionnel, Dilicom, envisage « la faisabilité d'un nouveau projet appelé DILIdom, service de livraison directe à domicile ».

Amazon vient de se faire épingler méchamment par le chien de garde britannique de la publicité. La firme est accusée d’induire ses clients en erreur, pour ce qui est du montant des frais de livraison. Une publicité mensongère, que l’ASA, Advertising Standards Authority  souhaite voir clarifiée dans les meilleurs délais. 

Le groupe Amazon regorge d’idées pour développer ses services. La nouvelle vise Amazon Prime Air et sa livraison par drone. Le groupe a le projet de développer des entrepôts volants pour étendre son offre de livraison.

Assimiler vitesse avec satisfaction, voilà le credo que porte depuis toujours Jeff Bezos, grand patron d’Amazon. Et même les sociétés de livraisons spécialisées sont aujourd’hui victimes de cette course à l’expédition. Alors que le PDG porte l’accent sur sa propre structure, celui de UPS fait état des conséquences.

C'est une alerte à la bombe que les libraires américains font résonner alors qu'Amazon tente une fois de plus de dépasser les limites physiques de la livraison à domicile. En effet, il semble que le cybermarchand tente de mettre en place une logistique permettant d'assurer une livraison le jour même de la commande, réaction qui pourrait avoir des conséquences terribles pour les libraires.

Pour renforcer le maillage territorial, le lien social et faire de la librairie un véritable commerce de proximité, la librairie Delvaux, située à Provins a puisé dans l'histoire française une source d'inspiration. Alors que les Américains d'Amazon cherchent à se servir des drones, pour assurer le service de livraison de livres, qu'en Angleterre, on opte pour les chouettes, façon Harry Potter, et qu'en Alsace, on avait renoué avec le syndicat des cigognes pour un partenariat de livraison inédit, la librairie Delvaux lorgne du côté de l'époque médiévale...

Chasseur : 1, drone Amazon : 0. Quelque part en Charente-Maritime, un chasseur, dans un premier temps identifié à tort comme Bernard Pivot, a abattu en plein vol un drone Amazon. L'appareil aurait explosé en vol, ne laissant de son chargement qu'un petit tas de cendres. Aucune victime - humaine - n'est à déplorer. La carcasse fumante a été retrouvée à proximité du château de Brillac, en Charente-Maritime.

Rencontres / Débats - Samedi 13 octobre 2012 à 18h00 - A la librairie

Le Médiateur du Livre, autorité chargée de traiter et résoudre les litiges en matière de prix unique du livre ou d'édition publique, fait le bilan d'une année 2021, dans son rapport d'activité annuel. Édition scientifique, fiscalité, distribution ou encore frais de port comptaient parmi les sujets abordés, et 2022 s'annonce tout aussi intense...

Amazon met fin à ses livraison en Afrique du Sud

Google n’en finit pas de partir à l’assaut de secteurs économiques qui sont pourtant très loin de son cœur de métier, la recherche sur Internet et la publicité. Dernière volonté en date, expérimenter la livraison de produits frais. Cette nouveauté devrait se faire à l’appui de Google Shopping Express, rapporte 01.net.

La maison d'édition américaine, HarperCollins, a annoncé des modifications à venir quant à son système de livraison, pour cette nouvelle année 2013. Une mesure qui devrait répondre aux problèmes rencontrés et signalés par un certain nombre de libraires indépendants, en raison des envois séparés des colis et des factures correspondantes. Le prochain système devrait leur épargner le besoin de faire eux-mêmes le tri dans la paperasse.