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Poches Littérature internation

Dogra Magra

Oeuvre stupéfiante, inclassable, Dogra Magra est un extraordinaire roman policier au programme paradoxal : un roman où les détectives sont les criminels. Ou plutôt, où l'assassin est la victime. Un amnésique se réveille en pleine nuit dans la chambre d'un hôpital psychiatrique. Nous le verrons se débattre au milieu d'une toile d'araignée tissée par les docteurs de l'institution, à la recherche de son identité et de son éventuel rapport avec une mystérieuse affaire criminelle. Le lecteur, entraîné dans une spirale de plus en plus serrée de coups de théâtre et de renversements de perspective, se trouve pris dans une intrigue labyrinthique où toutes les interprétations et leurs contraires sont autant de pièges tendus pour l'égarer. Ce roman dérangeant à l'extrême, publié quasi confidentiellement en 1935, est aujourd'hui considéré au Japon comme l'un des textes majeurs du XXe siècle.

10/2018

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Littérature anglo-saxonne

Les nuits du Logar

Avec une voix unique entre tradition afghane et grand roman américain, Jamil Jan Kochai signe un premier roman magnifique sur les histoires qui nous construisent. Logar, Afghanistan. Province lointaine, qui serait oubliée de tous si elle n'était le théâtre d'une guerre qui n'en finit pas. C'est pourtant là, sur les terres de sa famille, que Marwand rentre des Etats-Unis pour les vacances. Est-ce un retour ou un nouveau départ ? Le jeune homme a oublié des mots, des sons, même son vieux chien ne semble plus le reconnaître et finit par s'enfuir. Accompagné de ses cousins, Marwand s'élance à sa poursuite. C'est le début d'un périple qui durera quatre-vingt-dix-neuf nuits parmi les lieux, les personnages et les fantômes d'un Afghanistan à la beauté terrible. Ivres de liberté, bercés par les histoires de leur famille que chacun raconte tour à tour, les quatre adolescents vont se perdre dans cette folle aventure, et c'est dans cette échappée belle que Marwand achèvera de se retrouver.

05/2021

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Littérature française

Douar-es-Artin. Le village des affranchis

Sur les rives de l'Atlantique, en Mauritanie, face au banc d'Arguin, l'auteur, ensorcelé par la magie d'une nuit d'Afrique, raconte ce qu'il a cru voir. Tout a commencé le jour où trois amis décidèrent de bâtir leur village, qu'ils appelèrent le Douar-es-ardin, le village des affranchis. Ils venaient de la mer de Béring où ils pêchaient le flétan et pensaient avoir trouvé le lieu magique où vivre en paix avec leur famille. Tout allait bien jusqu'au jour où un homme vint avec ses cohortes de touristes. Et ce qui devait arriver arriva. Au réveil de l'auteur, il n'était plus rien de tout cela. Ce n'était donc qu'un rêve. Le village, les jardins et les jeux d'eau d'un palais éphémère s'étaient envolés, emportant avec eux les contes du griot Koutekissa et les berceuses que chantait le soir Marie Mama pour chasser les mauvais esprits et les lueurs d'incendie, afin que les hommes s'endorment dans la paix.

03/2022

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12 ans et +

Cachés. La bouleversante histoire du garçon qui aimait Anne Frank

Pour échapper aux persécutions nazies, Peter van Pels et ses parents rejoignent la famille Frank dans leur cachette. Peter a 16 ans. Comment s'habituer à vivre dans si peu d'espace ? Et il y a Anne, brillante, exaspérante, Anne qui écrit, Anne qu'il aime... Comment Peter trouvera-t-il la force de survivre dans les camps après l'arrestation des habitants de l'Annexe et leur séparation ?

10/2011

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Non classé

Kifène nsour - Le douar de la grotte des aigles

Ainsi, au douar chaque pierre, chaque grotte, chaque arbre, cachaient un mystère. Ils portaient aussi des noms ; la pierre des serpents, l'arbre de l'ogresse, la grotte des aigles... Les paysans vivaient avec tout cet enchantement. Cela faisait désormais partie de leur vie. Sans montrer la moindre surprise, ils écoutaient toutes ces histoires qui ressemblaient à des contes, sous les regards étonnés des habitants de la ville quand ils étaient présents au douar pendant les fêtes de fin de moissons. Les paysans ne faisaient pas attention à eux, ils savaient ce que pensaient les gens de la ville, ils ne pouvaient comprendre, car ils se sont détachés petit à petit de ce qui les entourait, disaient les paysans. Ils ne lèvent plus les yeux vers le ciel ; ils sont aussi très occupés. Puis il n'y a pas d'étoiles non plus dans le ciel des villes. Tout serait caché par les bâtisses que l'on avait construites l'une à côté de l'autre. On n'écoute plus le vent, il ne dit plus rien, d'ailleurs il ne chante plus dans les arbres de la ville, ou même s'il faisait frémir quelques branches des arbres qui garnissaient les rues et les jardins, personne ne l'écoutera. Les habitants des villes s'enferment et n'entendent rien de ce qui se passe dehors. Ils ont leurs propres histoires, qui ne ressemblent d'ailleurs en rien à celles des paysans. Belles étaient-elles ces histoires, les paysans restaient silencieux après avoir écouté attentivement, et trouveront qu'elles étaient difficiles à comprendre. Sauf pour le cinéma, qu'ils trouvaient être une merveille, mais parfois, ils ne pouvaient résister à certaines scènes ; une fois Miloud, le cordier du douar n'a pu retenir son cri quand il vit dans un film un serpent se faufilait et se cacher sous le lit ; alors lorsqu'il vit une femme pénétrer dans la chambre, il se leva le pauvre et commença à hurler en agitant ses bras : - Sous le lit ! Sous le lit ! Un serpent ! Un serpent ! Sous les rires et les jurons de la salle.

10/2018

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Histoire du cinéma

Aux sources de l'animation japonaise. Le studio Tôei Dôga (1956-1972)

La Tôei Dôga, fondée en 1956 et aujourd'hui nommé Tôei Animation, est dans l'après-guerre l'un des plus importants studios d'animation japonais, lieu de formation privilégié aux métiers de l'animation et de l'émergence de l'anime. Son directeur Hiroshi Ôkawa qui veut en faire le "Disney de l'Orient", oriente sa production vers le long métrage pour le cinéma, une gageure pour une industrie de l'animation naissante. Le Serpent blanc (1958), premier film animé en couleurs produit au Japon, se fait l'étendard de ce programme. Le modèle américain est ensuite mis de côté, laissant émerger de nombreuses réappropriations et innovations techniques, comme Le Petit Prince et le dragon à huit têtes (1963), Horus prince du soleil (1968), Les Joyeux Pirates de l'île au trésor (1971). Cet ouvrage explore l'histoire de cette structure depuis les mois qui précèdent sa création jusqu'à la disparition de son directeur historique, en la replaçant dans le contexte de la production cinématographique mais aussi des évolutions sociales du Japon de l'époque. Il montre comment, à travers les bouleversements successifs de son système de production et de son usage des techniques d'animation, la Tôei Dôga peut être vue comme un laboratoire où s'élaborent des pratiques de l'animation conflictuelles mais encore influentes.

03/2021

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