e-commerce mobile

Inviter les acteurs participant à la diffusion de livres numériques comme Numilog ou Feedbooks, aux côtés de Hachette et d'un libraire du Syndicat de la Librairie Française était une gageure que le Salon a tenu à relever. Histoire d'examiner un peu l'état du marché et son devenir.

La question fut presque récurrente au cours de la manifestation : quid du rôle des librairies physiques, comment organiser un e-commerce équitable au sein de l'internet ? Sans évoquer de nouveau l'affaire opposant Amazon au SLF, touchant à la gratuité des frais de port, les intervenants ont tenu à recentrer quelques éléments.

Car, les internautes et les professionnels voient se profiler une interrogation implicite : pourquoi acheter en librairie, quand je peux me contenter d'une commande réglée en trois coups de clics ?

Or, il apparaît clairement que la clientèle des librairies n'est pas tout à fait celle des sites internet. Aussi la transposition d'un magasin « de mortier et de briques » sur la toile n'aurait pas grand sens. Et de fait, les différentes tentatives d'interaction entre l'acheteur et le libraire, par le biais de la vidéo, par exemple n'ont rien prouvé de convaincant.

Numérique VS Brique

Au contraire, il semblerait que la tendance soit de coupler – et surtout pas d'opposer – les libraires du net et ceux de la rue. Pour que les premiers se montrent capables d'offrir un service qui se rapprocherait du second, « de nombreux manques sont à combler, même si certaines propositions tendent à pallier ces défauts », explique le représentant de Numilog.

Chez Amazon, on profitera ainsi de l'avis de lecteurs, ou des recherches croisées orientant vers d'autres ouvrages. D'autres se démarqueront avec un service de recherche dans l'ensemble du texte, à partir de thème ou de mots-clefs. Tout cela est donc bien et beau, dans la tendance à apporter un service de qualité sur internet.

Le Web, ou la déflagration de la gratuité

Mais la problématique essentielle reste de savoir comment contrôler les livres numériques achetés via le net. Comment parvenir à contourner cette règle quasi implacable qui considère que tout ce que le Web touche devient gratuit ? Car l'inquiétude majeure pèse sur tous : la musique a vu sa valeur détruite par le net et d'aucuns considèrent presque injurieux d'acheter un CD.

Une vigilance effective est de mise, mais les réponses ne sont pas encore posées. Le support papier, frappé d'une TVA à 5,5 % et son confrère numérisé, accablé, lui, d'une TVA à 19,6 ne sont clairement pas sur un pied d'égalité...

C'est l'excellente nouvelle de cette journée ! Vous allez enfin pouvoir nous emporter avec vous. Nos copains d'Actualitté.com et nous même allons nous retrouver dans vos poches sous la forme de mini-sites mobiles.

Ainsi à l'adresse http://m.jeunesse.actualitte.com vous allez pouvoir parfaitement lire le site , et passer de la une aux chroniques « livre » en un glissement de doigt et ainsi de suite.

Directement sur tablettes et smartphones, quel que soit le système d'exploitation, au travers d'une version HTML5, compatible Android, iOS, Windows, BlackBerry, etc.. Plus rien ne va vous échapper !

Ce n'est pas une application pour smartphone, donc pas la peine d'attendre les mises à jour, nous nous occupons de tout !

N'hésitez pas à nous laisser vos premiers commentaires dés que vous allez l'utiliser…

Jeudi 17 juin, les candidats au bac pour la session 2010 commenceront à plancher sur l’épreuve de philo. En attendant, il s’agit de rentabiliser au mieux les derniers jours qui séparent encore les lycéens du début des épreuves.

Avec l’essor exceptionnel des smartphones, les éditeurs scolaires se mobilisent pour ne pas perdre la main sur ce nouveau moyen de proposer, de façon ciblée et ultra rapide, des fiches facilitant les révisions de dernière minute.

En passant par le mobile, les éditeurs évitent en plus le coût de l’impression et de la mise en place, ce qui joue fortement sur le prix proposé au consommateur final. Ainsi, il est possible de retrouver des applications facilitant les révisions à moins de 2 € l’unité.

L’éditeur scolaire Hachette propose notamment deux applications disponibles sur l’iTunes store à destination des iPhone et iPod touch. La première, le Revise BAC (disponible pour le français, l'histoire, la géographie, la philo, les SES ou encore les SVT) permet aux lycéens de tester leurs connaissances par différents QCM. En tout, ce ne sont pas moins de 400 questionnaires qui sont à portée de main avec un corrigé clair et commenté.

Avec la seconde, le Flash BAC, ce sont des fiches de cours qui sont directement disponibles pour revoir l’ensemble du programme. Il faudra débourser 1,59 € par matière pour obtenir l’une de ces applications.

Avez-vous remarqué c'est toujours lorsque l'on reçoit un coup de fil important que notre téléphone mobile décide qu'il est à plat. On est obligé de parler vite, d'abréger, on bafouille et vlan ! La communication est coupée et votre correspondant n'a pas pipé un mot de ce que vous vouliez dire. Évidemment vous n'avez pas pris votre chargeur sur vous et de toute façon trouver quelqu'un qui veuille bien vous prêter une prise électrique est un vrai chemin de croix.

Toutes ces péripéties pourraient bien devenir de simples plaisanteries avec l'arrivée du stylo rechargeur de mobiles. Il s'agit d'un vrai stylo avec lequel on peut écrire bien sûr mais aussi avec lequel on peut recharger les batteries de son téléphone portable.

Une simple pile de type AA fait office de réserve d'énergie et peut procurer à votre téléphone jusqu'à 20 heures de veille ou 2 heures de communications. Le temps de rechargement est assez long par contre. Il faudra attendre 100 minutes pour opérer le transfert total de l'énergie de la pile vers votre téléphone. Le stylo est vendu avec cinq types de câbles différents pour s'adapter aux différentes marques de téléphones.

Décidément, les stylos inspirent beaucoup les inventeurs...

Vous pourrez vous procurer ce stylo, concentré d'énergie pour téléphones portables en vous rendant sur le site gadget4all.com pour 19euros tout pile (attention la pile n'est pas fournie).

Les résultats définitifs pour les Écoles de Commerce, année 2014, viennent de tomber. Sur les 10 585 étudiants qui ont présenté le concours commun à vingt écoles, 7 374 ont décroché, une place nous apprend le tableau Sigem, qui publie les résultats après désistements. 

Première chose : le succès des Écoles de Commerce ne se dément pas. En période de crise et de marché de l’emploi troublé, on peut parler de valeur sûre. C’est en tout cas l’avis de Jérôme Charroin, président du Sigem (Système d’intégration aux grandes écoles de management), et dont les propos sont rapportés par Le Monde. Selon l’intéressé, « les jeunes savent qu’en passant par ce type de cursus, ils trouvent très aisément du travail. »

Du reste, c’est aussi une bonne nouvelle pour les écoles. Toutes les places mises en jeu ont ainsi été pourvues, il n’y aura pas de bancs vides à la rentrée. 7 382 places étaient disponibles, 7 374 ont trouvé preneur. 

Il n’aura échappé à personne que les Écoles les plus convoitées sont les trois « parisiennes», à savoir HEC, l’ESSEC et l’ESCP, suivies par l’EM Lyon, l’EDHEC, Audencia Nantes et Grenoble EM. Pourtant, chose étonnante et suffisamment rare pour être signalée, il y a eu deux désistements à HEC cette année. 

Pour l’ESSEC et l’ESCP en revanche, les désistements sont plus nombreux, respectivement 315 et 541. Ensuite, le nombre de désistements va croissant en fonction du rang de l’école. Logique. Mais la tendance s’inverse dans le deuxième tableau, où l’on trouve des établissements tels que NEOMA, TBS ou encore la SKEMA. 

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