encre électronique ebook

Le concept du lecteur ebook avec deux écrans n'est pas inédit en soi et tend à se rapprocher le plus possible d'un véritable livre, simplement en se conformant au principe d'ouverture. Avec un peu de réflexion, il y aurait sûrement des milliers de choses à explorer dans cette relation à l'ouverture, justement... Avis aux amateurs...

Epaper, encre électronique, ebook : petit historique pour les nuls

Ce sont les Taiwanais qui donnent la mesure dans le domaine de l'encre électronique, et pour toute demande d'information, mieux vaut s'adresser à eux. Qui pour le coup vous expliqueront que les commandes de lecteurs ebook pour ce premier trimestre 2011 se déroulent bien. Merci de vous inquiéter.

Depuis novembre 2007, un changement a commencé : la présentation du premier modèle de Kindle, moche comme un pou, par un Amazon qui marquait définitivement son territoire, tout en établissant la carte. L'environnement Kindle naissait d'une évolution dans la vente de livres aux États-Unis : d'un côté, les librairies indépendantes fermaient à  foison, de l'autre, le besoin des consommateurs, rodés depuis des années déjà à l'achat de livre en ligne, de se procurer de quoi lire. 

La firme E Ink Holding est sans conteste leader dans l'approvisionnement des constructeurs en écran à base d'encre électronique. Alors qu'une technologie Pearl 2 doit voir le jour prochainement, et que les écrans souples semblent au coeur des développements, les résultats financiers de la société font jaser, commenter et surtout donnent lieu à toutes les spéculations.

Les recherches sur l’encre électronique débutent à la fin des années 1990 au sein de la société E Ink pour offrir un meilleur écran aux liseuses en attendant le papier électronique. E Ink présente le prototype de son écran en 2002 et le commercialise en 2004. Un projet un peu différent est la technologie Gyricon développée par Xerox. Radicalement novateur lui aussi dans un domaine connexe, le projet @folio voit le jour en France dès 1996 mais reste malheureusement à l’état de prototype faute de soutien financier.

Les recherches sur le papier électronique sont en cours dès 1997. Ce support aura une densité comparable au papier plastifié ou au transparent. Il pourra être utilisé indéfiniment, avec un contenu changé à volonté via l’internet.

Soucieux de rester en bons termes avec les éditeurs américains, Amazon a cédé, à des conditions inconnues, aux demandes. Après le conflit avec Hachette Book Group, le revendeur a connu quelques déboires avec les autres groupes. Tous se sont résolus, certes, mais Forbes ouvre la perspective d'un autre problème inattendu.

À force de redéfinir les raccourcis de son clavier, il arrive un moment où l'effet d'une touche devient totalement imprévisible. À l'aide d'un système d'affichage à l'encre électronique, le clavier Nemeio est complètement personnalisable et peut afficher de toutes nouvelles touches, ainsi que différents profils d'utilisateurs, très simplement.

Dans son effort de démocratisation de l'encre électronique pour tout type d'usages, la société E Ink vient de présenter, durant le FPD 2001 une nouvelle approche de ce que l'on peut réaliser avec un écran.

Le produit utilise un système d'impression thermique, comme les fax. Lorsque le message inscrit n'a plus d'utilité, il peut être effacer avec un simple interrupteur et peut être utilisé jusqu'à 260 fois.

 Les lecteurs le savent bien : pour ne pas lâcher un ebook de 300 pages, mieux vaut opter pour une lecture sur un écran à encre électronique. Et disposer d'un peu de temps devant soi. Moins gourmande en énergie, dotée d'un affichage plus confortable, la technologie epaper est un indispensable, mais qui doit encore s'atteler à des développements conséquents comme la couleur, et ce afin de s'imposer face au LCD, la solution technologique mise en avant par les tablettes, qui ont assurément le vent en poupe.

L'encre électronique change, elle avance, et les technologies ne manquent pas d'évoluer. Et l'un des acteurs propulsant le marché n'est autre que la firme E Ink, qui utilise un nouveau modèle d'écran E Ink flexible, ultra mince et robuste... avec la couleur.

Par qui sont fabriqués les écrans à encre électronique que l’on peut voir sur les lecteurs ebook disponibles sur le marché ? Par E-Ink et SiPix, pour l’immense majorité. Mais la guerre entre ces deux acteurs, dominée de la tête et des épaules par E-Ink pourrait être modifiée par l’arrivée de nouveaux acteurs…

Quelques chiffres…

Attention : inutile de vous précipiter sur le site de ecommerce le plus proche de votre souris pour trouver cet appareil. Il s'agit d'un concept encore à l'état de réflexion designesque, même si oburré d'avenir...

Un produit de niche, probablement, mais qui pourra peut-être trouver preneur du côté des écrivains. Le Fusion Writer est un ordinateur portable doté d'un écran à encre électronique, qui se présente comme un moyen d'allier la vie sauvage et l'écriture, avec une batterie de deux mois d'autonomie. Un écran qui n'agresse pas les yeux, des distractions réduites au minimum : bref, un roman ou rien.

L’encre électronique, bien connue des utilisateurs de liseuse, n’a de cesse que d’en faire couler. Cette fois, la société Dasung fait l’info, avec un nouveau modèle d’écran E-Ink, destiné aux ordinateurs. Le Paperlike 253 dispose, comme son nom l’indique, d’une large diagonale, plutôt confortable. Et d’une technologique peu gourmande en énergie. Le tout en noir et blanc…

PocketBook vient d'annoncer, via communiqué de presse, sa présence au Salon Medpi, placé sous le signe de l'innovation et qui se tiendra du 14 au 17 mai prochain à Monaco. Outre le lancement imminent du PocketBook Color Lux, le grand public est convié à découvrir d'autres produits en avant-première, parmi lesquels les modèles d'e-readers et de tablettes destinés à être lancés cet été, mis au diapason des écrans couleurs.

D'après les statistiques compilées par la Photonics Industry & Technology Development Association (PIDA), la valeur de la production d'encre électronique taïwanaise a augmenté de 69,2 % entre janvier et juin de cette année par rapport à l'année dernière, pour générer 13,2 milliard de nouveaux dollars de Taïwan, soit 32,5 millions d'euros.

La société E Ink, qui fabrique des écrans à base d'encre électronique, pour l'ensemble, ou presque, des sociétés commercialisant des lecteurs ebook dans le monde, va faire évoluer ses technologies. La nécessité fait force de loi, et pour le coup, un récent entretien autour de l'écran Mobius, développé en partenariat avec Sony, n'a pas apporté de révélations bien fameuses. 

Le spécialiste des pneumatiques et caoutchouc, c'est moins connu peut-être, était également très impliqué dans l'encre électronique. Cependant, la société vient de décider de se retirer de ce secteur, « après un examen minutieux de ses orientations ».

Avec l’ouverture du Salon Display 2011 au Japon, un vent de nouveauté devrait secouer le marché des lecteurs de livres numériques. On s’attend à l’arrivée en force des écrans en couleur. Nos confrères de L’Actu des ebooks relèvent ainsi la sortie de l’AeroBee, un modèle développé par Bridgestone.

PaperPhone est un peu trompeur : quiconque aurait cru que cet engin cumulait les avantages du papier et de la téléphonie ne se tromperait cependant pas tant que cela.

Pearl, la technologie nouvelle génération d'encre électronique

Le CES de Las Vegas, salon faramineux dédié aux nouveautés technologiques, permet aux fabricants d’exposer leurs nouveautés. Sur le stand de la société E Ink, on pouvait par exemple découvrir une démonstration de force : quatre grands panneaux à base d’encre électronique, montrant les différentes applications de signalisation numérique.

Il était attendu comme le Messie, et on lui souhaite de ne pas finir crucifié. Le nouveau modèle de lecteur ebook de Sony, doté d'un écran de 13 pouces n'était jusqu'à lors accessible qu'au Japon. Pourtant, cet appareil équipé de la technologie Moebius, avec une résolution de 1600x1200 a de quoi séduire. Il se destine principalement aux professionnels, avec son écran tactile et le stylet qui l'accompagne. 

Le fabricant chinois Dasung présente de nouvelles images de son Paperlike Pro, un moniteur qui reprend la technologie des lecteurs ebook. À savoir, un écran à encre électronique qui permettra d'afficher sans problème de reflet, et un bilan énergétique moindre.

La société E Ink Holdings avait annoncé que la rentabilité reviendrait au deuxième trimestre 2019. Elle ne s’était pas trompée. Un certain optimisme régnait mi-juin, que les résultats économiques sont venus confirmer. 

La société E Ink Holding, premier fabricant d'écrans à encre électronique au monde, signale depuis plusieurs mois une érosion des ventes dans le domaine des lecteurs ebook : le marché a visiblement atteint un certain pallier. Diversifier les activités est donc nécessaire, pour limiter les pertes. E Ink a trouvé le salut, pour le début de l'année 2018, dans... les écrans LCD, pourtant bien différents des écrans à encre électronique.