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Toute la famille réunie au coin du feu, une douce couverture sur les genoux, les enfants écoutant sagement la voix paternelle (ou maternelle, soyons pas misogyne), qui, livre dans les mains, raconte une belle histoire... L'image est d'autant plus touchante qu'elle est vraie, rapporte une étude présentée par Digital Book World. En effet, parents et enfants préfèrent les livres imprimés, quand ils se retrouvent ensemble pour lire.

Les parents seraient encore assez réticents à faire confiance au numérique, de peur qu'il ne vienne corrompre les habitudes de lecture. Pointés du doigt : l'exposition aux écrans, à la publicité, et donc une concentration moindre. La lecture numérique pourrait pourtant réhabiliter le livre dans le cœur des enfants, surtout des garçons. 

Le Livre qui fait parler les parents et les enfants de 7 à 10 ans

Depuis qu’un beau matin, Nicolas Carr s’est interrogé sur le fait que Google puisse nous rendre idiots, Internet a incarné la 11e plaie d’Égypte. Si on accède aux sites Internet par le moteur de recherche, alors, la contamination se propage : le web nous rend donc stupides. Nous, adultes, non, parce que nous avons connu l’avant, mais notre progéniture, elle, est menacée, dès le plus jeune âge...

 C'est maintenant un fait, les jeunes, enfants comme adolescents, lisent de moins en moins. Les lecteurs numériques changent-ils la donne ? Selon une étude par Scholastic, oui. Et dans le bon sens.

Pour aider ses enfants à mieux se coucher - et surtout mettre un terme aux éternelles jérémiades ‘Ze suis grand ze veut pas aller me cousser' - la société StorySticker propose un produit innovant. En compilant des enregistrements de livres, avec la voix des parents, il est désormais possible de faciliter ce douloureux passage de la journée. 

INFOGRAPHIE - Dans une étude réalisée au Canada sur les enfants et la lecture par les éditions Scholastic, on y apprend plein de choses. Sur les 1939 enfants et parents interrogés, on découvre sans surprise qu’un livre choisi et toujours préféré à un autre, à 94%. Morale de l’histoire : On laisse les enfants choisir !

Jamais ce ne sera assez répété : faire la lecture à ses enfants n’a que des bienfaits. Pour les parents, autant que leur progéniture. Une récente étude montre d’ailleurs que les livres rendent les enfants plus affectueux et investis émotionnellement. Pour peu que ce soient des livres papier...

Le groupe Bayard, à travers l’association des équipes de La Croix et de Bayard Jeunesse vient de lancer une nouvelle publication. Dénommé Parents & enfants, cet hebdomadaire est résolument tourné vers le numérique, avec une interface conçue pour la lecture sur les tablettes.

La période de tensions psychologiques où l'enfant commence à comprendre que l'un de ses parents est atteint d'une maladie mentale est un sujet de plus en plus fréquent dans les fictions pour adolescents et jeunes adultes.

La rentrée des classes est un temps fort incontournable de l'année pour toute la famille. Quelles sont les préoccupations des parents et de leurs enfants, comment les appréhensions évoluent-elles en fonction de l'âge et du niveau scolaire ? Quel est le budget moyen de chaque famille, et comment les enfants sont-ils impliqués dans les décisions d'achat ?

En parallèle de son dernier livre, 3-6-9-12 Apprivoiser les écrans et grandir (éditions Erès), le psychiatre Serge Tisseron lance un site, en partenariat avec le secrétariat général de l'Enseignement catholique, pour aider parents et enfants à savoir quelles règles adopter pour le bien-être de tous, rapporte l'AFP.

L'organisme canadien BookNet, à but non lucratif, présente les résultats d'une étude portant sur les lecteurs adolescents, montrant que si plus du quart d'entre eux lit en numérique, ce chiffre va augmenter. Dans les foyers canadiens, on retrouve en effet une demi-douzaine d'appareils que les ados utilisent quasiment tous - et parfois pour lire. Même les familles qui ne lisent pas d'ebooks estiment qu'elles s'y mettront sous peu. 

Les enfants aiment lire, que l’on se rassure. Du moins ceux de 7 à 11 ans, que le magazine J’aime Lire a sollicités, avec leurs parents, dans le cadre d’une enquête. Les résultats sont nets : la lecture n’est pas un sport de combat — et cette fois, enfants et parents ont été sollicités pour répondre.

Il y a des enfants. Il y a leurs parents. Et il y a des professionnels dont le métier consiste à se pencher sur les enfants. Agir pour la petite enfance a pour mission de réunir les trois. Les enfants doivent pouvoir grandir dans un monde qui leur donne toutes leurs chances. Les parents doivent être accompagnés. Les professionnels ont besoin d’être formés et valorisés.

Le marché du livre numérique connaît un intérêt plus particulier de la part des enfants et des jeunes adultes, comme le montre une nouvelle étude. Si les adolescents se mettent à adopter la lecture numérique, ils ne la considèrent pas comme un environnement social, et pensent surtout qu'il existe encore trop de limitations sur le partage des oeuvres.

La tendance serait plutôt à l'utilisation d'appareils numériques, de tablettes, de lecteurs ebook... Et finalement, les jeunes parents d'outre-Atlantique, soucieux de ce que leur progéniture se familiarise avec ces machines... sans pour autant les couper du monde papier.

En janvier dernier, une étude montrant que les enfants préfèrent les livres numériques aux livres papier présentait des conclusions intéressantes sur ces pratiques de découverte et de lecture. Avec une grande victoire : l'iPad faciliterait le retour à la lecture des plus jeunes.

Les jeunes... sans respect pour les valeurs de leurs aînés, convaincus de tout savoir et d'avoir raison de le croire... Les jeunes, c'est affreux. Insupportable. Intolérable !

Conseils de lecture aux parents : laissez vos enfants choisir !

Sécurité et scolarité : les parents confiants pour leurs enfants

Un enfant victime des expulsions de ses parents

A quelques jours des congés d'été, librairies et grandes surfaces se garnissent de cahiers de vacances, parfois par rayons entiers. Difficile alors, quand on est parent, de résister à l'achat de quelques-uns de ces outils, surtout quand on s'est engagé, face aux enseignants, à faire travailler les enfants pendant l'été afin qu'ils aient le niveau requis lors de la rentrée prochaine.

Cet hiver, les familles américaines devraient se ruer, une fois de plus, sur des appareils de lecture numérique. Selon un récent sondage, 45 % des parents envisagent d'offrir à leur progéniture un outil de lecture. Les lecteurs ebook seraient parmi les cadeaux technologiques les plus en vogue de cette saison. 

Les auteurs auront été payés – on l’espère –, les exposants repartent avec des avis mitigés, sur une palette d’émotions allant de l’ire à l’exultation... La grande librairie de la Porte de Versailles a fermé ses portes, ouvertes avec la polémique macronienne, autour du stand la Russie. Invité d’honneur, le pays eut du mal à avaler la pilule.

C'est un fait de plus en plus connu, fruit de nombreuses recherches en la matière : l'amour de la lecture des enfants provient directement de celui des parents. En Allemagne, une étude s'est penchée sur les raisons qui expliquent pourquoi des parents renoncent à une séance de lecture à voix haute aux côtés de leur progéniture.

Les progrès de la technologie rendent désormais accessible aux parents une traçabilité de tous les instants de la vie de leur chère progéniture. Entre le téléphone portable que l'on peut utiliser pour prendre des nouvelles ou bien pour suivre à la trace son enfant et les logiciels permettant de retracer l'historique de la navigation sur Internet de nos chers bambins, ceux-ci perdent en liberté par rapport à leurs aînés.

La société Trend Micro, spécialisée dans la sécurité informatique a réalisé une enquête auprès des parents américains. Il en ressort que 79 % d'entre eux jugent l'usage de Facebook dangereux pour leurs enfants. Ils appréhendent notamment les dérives qui peuvent se cacher derrière l'utilisation des réseaux sociaux, à savoir le harcèlement, la pédophilie ou encore les différentes formes de cybercriminalité, rapporte le site Les Numériques.

Des parents sans diplômes poussent moins leurs enfants aux études

14 mois après la mort de Zoé, leur « acrobate philosophe », brisés par leur chagrin, Étienne et Izia se séparent. Si lui se dévoile en pointillés, elle se raconte par petites touches, évoque des souvenirs d'une famille unie et d'une fillette lumineuse et singulière.