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Romans policiers

Eteindre la lune

Bobby, 14 ans, s'amuse à lancer des cailloux sur des voitures. L'un d'eux touche une conductrice qui perd le contrôle de son véhicule et meurt dans l'accident. Elle avait 18 ans et était la fille de Jack, un redresseur de torts mandaté par les gens modestes de son quartier pour intimider les escrocs et autres sales types. Quelques années plus tard, Jack s'inscrit à un atelier d'écriture dans l'espoir d'exorciser sa douleur et noue avec la jeune femme qui l'anime, Lily, une relation quasi filiale. Mais il se trouve que le hasard des familles recomposées fait d'elle l'ex-belle-soeur d'un Bobby qui n'a rien perdu de sa capacité à s'attirer des ennuis.

01/2023

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Littérature française

Eteindre le soleil

Ariane Bois évoque l'emprise au féminin, un récit intime et bouleversant. Depuis toujours, ils forment un bloc. Un père à la Montand, aventurier à ses heures, solaire et flamboyant, engagé à gauche. Une fille, admirative, amoureuse des mots. Ensemble, ils ont traversé les paysages riants de l'enfance mais aussi les pires épreuves : la perte du fils à 20 ans, de l'épouse, disparue à l'autre bout du monde. D'une famille de quatre, ils sont devenus deux et ont cherché leur équilibre. Lui dans la défense des plus faibles, elle dans son métier de journaliste et par la grâce d'une maternité triomphante. Et puis survient une femme, amoureuse du père, qui l'apaise. Ce n'est pas la première mais la relation devient sérieuse. Pourtant, très vite, l'attitude d'Edith surprend. D'où viennent ces piques, ces malentendus, cette agressivité ? Entre une belle-mère et une belle-fille adulte, une certaine dose de jalousie est-elle inéluctable ? Lors d'un séjour en Provence, tout bascule et la folie s'invite. Jusqu'au vertige. Jusqu'à la violence morale et physique, aux injures puis aux menaces. La guerre est déclarée. Ariane Bois évoque l'emprise au féminin, la figure troublante d'une manipulatrice qui tente de faire table rase du passé d'un homme pour mieux se l'approprier. Alternant scènes d'amour filial et tension dramatique autour de cette relation toxique, un récit intime et bouleversant.

02/2022

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Littérature française

Juste avant d'éteindre

Si quelqu'un m'a vu ici, il racontera peut-être un homme en train de courir après une pauvre feuille de papier que le vent s'amuse à exiler. Je les ramasse toutes. Je les déchire minutieusement, et j'en garde un petit fragment. Un lambeau étroit comme une île, où je peux écrire quelques mots. Ce que je vois, ce que j'ai devant moi, ce que mes yeux attrapent, ce qu'il me reste entre les dents. Des petites phrases. J'écris debout. Il n'y a pas de détails, il n'y a que des preuves. J'en ai les poches pleines.

08/2021

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Littérature française

Au risque de t'éteindre

Dans le Sud, de violentes inondations ont ravagé les habitations. Dans l'une d'elles, il y avait Emilien. Auprès de lui, reposait le souvenir de Mathilde, sa femme décédée quelques mois plus tôt, rongée par le chagrin. Le chagrin de l'absence d'un fils auquel le couple ne parlait plus. Tant de choses, tant de choses emportées par les flots. L'énergie d'Emilien aussi s'est enfuie. Alors Emilien attend, tristement, en maison de repos. Est-ce ainsi, sans joie ni compagnie, que va s'éteindre sa vie ? Dans le décor enchanteur des belles vignes de sa région, Séverine Lenz peint avec finesse et poésie l'importance des liens humains que, malgré les catastrophes naturelles et les aléas du destin, la complexité des émotions et la fragilité du coeur humain, il est essentiel de conserver pour se construire une vie plus heureuse.

04/2020

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Littérature francophone

Faut-il éteindre les néons

Le bar et ses riverains, le couperet, le goût du refuge rendu à l'oubli : tout ceci nous est tristement familier. Mais après la fermeture l'histoire n'est pas finie. Après : quand il n'y a plus personne pour espérer, quand il ne reste que le lieu vide, endormi. Et qu'il se réveille pour chanter. " Je suis les taches de mayonnaise mal essuyées sur le comptoir, la sueur de toutes les mains qui ont poissé les tables, ce bris de verre coincé entre deux morceaux de carrelage, que jamais personne n'a délogé parce que jamais personne n'a su qu'il se cachait là. " " Sans doute m'aimeront-ils encore jusqu'à l'aube. Je parle comme Juanito. Je m'étends jusque dans le souvenir des mains qui servirent ce soir à l'office des dernières pressions. Posées sur le comptoir, mes mains, dans les mains de Juanito. "

03/2022

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Littérature française

Tu n'oublieras pas d'éteindre

J'aime être en route, mais pas en route pour un voyage particulier, non le départ, non l'arrivée, mais le passage, territoire de nulle part, sans attache. Toutes voiles dehors. Ailleurs. Le bonheur, parfois, c'est un regard par la fenêtre. Ou bien un éclair de vie que l'on n'oubliera pas. Ils sont assis l'un contre l'autre, elle ne le regarde pas, elle le couve des yeux, plus besoin de mots, les gens heureux sont beaux. Je suis un vieux machin léger qui cramponne une barre de métro. La mort viendrait comme un jour de lumière Il n'y a pas de point final, le voyage se poursuit, mais nous n'oublierons pas d'éteindre.

07/2021

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