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Livres, actualités : tout sur Margaret Atwood

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La servante écarlate de Margaret Atwood : la dystopie fantastique

Depuis 1985 que ce roman a été publié, l’explosion qu’il a connue avec l’adaptation pour la chaîne Hulu — première diffusion en avril 2017 — c’est devenu l’œuvre incontournable. Et finalement, Margaret Atwood, aux anges, reçoit enfin les lauriers pour cette œuvre majeure.

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Québec Amérique : une littérature venue du Québec

Fondée en 1974 et reprise en 2020 par Caroline Fortin, fille du fondateur Jacques Fortin, Québec Amérique se distingue par sa passion pour la littérature francophone et son engagement envers la qualité et l'innovation éditoriale.

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Booktracking, outil de suivi des ventes de livres

Le projet Booktracking est une initiative proposée par le Syndicat national de l'édition (SNE) en France. Il vise à développer un système de suivi précis des ventes de livres – outil qui manque cruellement dans l'interprofession. 

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Ventes, production, cessions... Les chiffres de l'édition 2018-2019

L'édition française fait le bilan de l'année 2018, en demie-teinte : la baisse du chiffre d'affaires s'élève à 4,38 %, pour un total de 2 670,1 millions €. Si l'alarme n'est pas encore donnée, l'édition reste toutefois vigilante vis-à-vis d'une importance moindre accordée à la lecture face aux autres loisirs. 

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Bandes dessinées, nouveautés : les livres de Riad Sattouf

Riad Sattouf est auteur de bandes dessinées et réalisateur, né en 1978. Ses deux séries best-sellers sont L’Arabe du futur (Allary Éditions), 2,5 millions d’exemplaires vendus, et Les Cahiers d’Esther (Allary Éditions), 950.000 exemplaires vendus. Il a réalisé deux longs-métrages : Les Beaux Gosses (2009), César du meilleur premier film, et Jacky au royaume des filles (2014).

Extraits

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Philosophie, études de textes

Alias grace. de Margaret Atwood

Ce guide de lecture pratique propose un résumé et une analyse complets de Alias Grace de Margaret Atwood. Il propose une exploration approfondie de l'intrigue, des personnages et des principaux thèmes du roman, notamment l'identité, le symbolisme des travaux d'aiguille et la nature de la vérité. Le style clair et concis facilite la compréhension et constitue l'occasion idéale d'améliorer vos connaissances littéraires en un rien de temps.

05/2023

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Poches Littérature internation

Nouvelles exemplaires

Un vieux bohémien amena Précieuse et se plaçant devant André lui dit : " Cette fillette, qui est la fine fleur de toute la beauté des gitanes d'Espagne, nous te la livrons pour épouse ou pour amie. Mais sache qu'une fois choisie, tu ne dois chercher aventure auprès des autres femmes, mariées ou pucelles. Parmi nous, bien qu'il y ait beaucoup d'incestes, on ne compte aucun adultère ; et s'il y a quelque friponnerie chez notre propre femme ou chez l'amie, nous n'allons pas en faire plainte à la justice ; nous sommes nous-mêmes juges et bourreaux de nos épouses ou amies. Nous les tuons et enterrons dans les montagnes et les déserts, aussi aisément que si c'étaient des animaux nuisibles. Il n'est parent qui les venge, ni père qui nous en demande raison. "

01/1981

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Critique

Margaret Atwood, des romans pour deux siècles

Dans l'imposant paysage littéraire _romans, poèmes, essais _ dressé en cinquante ans par Margaret Atwood, il a été choisi ici de centrer la lumière sur quatre de ses romans. Autour du diptyque incontournable constitué par La Servante écarlate (1985) et sa suite, Les Testaments (2019), l'éclairage est porté sur deux autres ouvrages qui se situent aux extrémités de cet arc romanesque : Faire surface, publié en 1972, ouvre aux premiers romans de l'auteure et permet d'y déceler certains des thèmes qui trouveront dans La Servante leur développement. A l'autre extrémité, Graine de sorcière, publié en 2016, consacre, sous une forme réjouissante et brillante, tout le talent de l'auteure se colletant au génie de Shakespeare. L'exploration menée dans cet ouvrage déborde l'analyse littéraire pour donner place aux contextes politiques et idéologiques qui s'y réverbèrent, depuis l'utopie puritaine jusqu'aux années Trump ou aux débats sur la procréation assistée, et dessine le portrait d'une créatrice en constant mouvement, dans le dialogue incessant qu'elle poursuit avec son oeuvre elle-même, mais aussi avec ses lecteurs... et avec ses critiques. Aussi souvent que possible, l'auteur remonte au texte dans la langue originale.

09/2021

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Littérature française

Les départs exemplaires

Ce recueil de nouvelles assassines de Gabrielle Wittkop nous présente, à travers siècles et continents, cinq récits baroques qui sont autant de « départs exemplaires ». Au coeur d’un burg romantique allemand, perchée sur une tour en ruine et livrée aux corbeaux, une jeune femme de bonne famille agonise, devenue l’objet d’un fait divers absurde et lugubre. Un dimanche d’octobre dans une ruelle de Baltimore, un écrivain aux yeux noirs succombe, ivre mort, après avoir perdu sa valise. Dans un New York contemporain, la vie de Seymour M Kenneth ressemble à une lente descente aux enfers ; il s’éteint en vagabond dans les entrailles de la ville. C’est dans un fossé moite de la jungle malaise que s’achève mystérieusement celle de Mr T, esthète et espion, emportant avec lui ses derniers secrets. Enfin, dans l’atmosphère sadienne du XVIIIe siècle français, Claude et Hippolyte, les deux jumeaux hermaphrodites mis au monde par la comtesse de Saint-Effroy, sont assassinés. La mort est au coeur des cinq nouvelles – dont deux inédites : « Les Derniers Secrets de Mr T. » et « Claude et Hippolyte » – qui composent cette réédition augmentée des Départs exemplaires. Elle est organique, marque les corps, s’imprime dans les chairs des femmes élégantes, des monstres androgynes et des dandys rongés par l’alcool ; elle est destin ou hasard malchanceux, meurtre ou énigme, guidant vies et intrigues de ces fictions taillées sur mesure ; elle se lit dans les signes et augures quasi fétichisés – papillons ou corbeaux, perles de grenat, bottines vernies – et engendre le charme vénéneux de l’esthétique de Wittkop, son ton macabre et raffiné, de nos jours inégalé. Au fil d’une prose ornée et mordante, précise et précieuse, dont la tonalité varie en fonction des époques et des décors abordés, la mort fait aussi mystère. Elle fait pencher successivement ces textes « caractérisés par la découverte et le malentendu », vers le fantastique ou l’enquête – c’est bien la silhouette d’Edgar Poe qui se faufile dans « Les Nuits de Baltimore » et celle d’un agent de la CIA en Asie derrière ce curieux Mr T. – ou vers le conte légendaire comme cette femme, cheveux au vent, criant au sommet d’une tour allemande qui rappelle des esquisses de Goya ou de Hugo. Le recueil, d’une forte unité thématique, semble donc décrire, par l’exemplarité des destins et la variation des décors, la permanence d’anciens mythes monstrueux et dérangeants. Ultime force de ce livre, la narratrice (ou l’auteur) mène voluptueusement les drames et personnages à leur sort tragique, irréversible. Mais si le sort s’acharne avec cruauté, non sans humour et un certain goût du supplice, ces victimes expiatoires sont aussi l’occasion de questionner la nature du lien entre vie, trépas et beauté qu’avaient proclamée le romantisme noir ainsi que les esthétiques du XIXe siècle dandy. Ces références constituent alors le fondement spectral de l’art de Gabrielle Wittkop, qui les met à distance pour s’imposer comme une « Peintre de la mort » résolument moderne.

09/2012

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Littérature française

Les vies exemplaires

L'auteur nous donne à saisir les échanges fugaces que nous avons avec les gens croisés dans la rue, même (et surtout) sans parole... Une silhouette, une allure, un contexte, cela suffit à nous marquer et à repartir avec l'image d'un inconnu qui fait maintenant et peut-être pour toujours, partie de notre vie intime. La plupart de ces vies exemplaires sont nées d'un voyage en Italie. Elles se situent dans la veine des auteurs qui ont écrit sur les vies intimes, ces vies infimes qui font notre être.

04/2013

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Littérature étrangère

La veste verte

"Pour fuir les Allemands et passer la ligne, maître W. se dirige vers les Abruzzes et trouve refuge dans un couvent. Il veut rejoindre les Alliés. Il a en poche une lettre d'introduction signée de la main de B. B. , Bernard Berenson : peut-on rêver meilleure introduction ? En arrivant au couvent, il trouve le percussionniste Romualdi, déjà installé, qui se fait passer auprès des moines crédules pour un célèbre chef d'orchestre contraint à la clandestinité pour cause d'antifascisme. Romualdi est un homme mesquin, suffisant, hautain, plein de morgue dans sa ridicule veste verte portée comme un signe distinctif, comme un emblème. Il fait partie de ces hommes insignifiants, médiocres, pour lesquels il n'est rien de grand au-delà de leur propre médiocrité. Maître W. pourrait le démasquer, mais, pour une raison mystérieuse, faite de pitié et d'altruisme, de cynisme et de plaisir de la mystification et du jeu, il se laisse séduire par cette médiocrité". Cesare Garboli.

12/1996

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