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Dossier

Découvrir les livres de Salman Rushdie

Sir Ahmed Salman Rushdie, né le 19 juin 1947 à Bombay, est un écrivain britannique d'origine indienne. Son style narratif, mêlant mythe et fantaisie avec la vie réelle, a été qualifié de réalisme magique.

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Dossier

La servante écarlate de Margaret Atwood : la dystopie fantastique

Depuis 1985 que ce roman a été publié, l’explosion qu’il a connue avec l’adaptation pour la chaîne Hulu — première diffusion en avril 2017 — c’est devenu l’œuvre incontournable. Et finalement, Margaret Atwood, aux anges, reçoit enfin les lauriers pour cette œuvre majeure.

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Dossier

L'attaque de Salman Rushdie ou la liberté d'expression contestée

La tentative de meurtre de Salman Rushdie, le 12 août 2022, a horrifié le monde entier : alors qu'il allait s'exprimer en public, sur scène, l'écrivain a été violemment agressé, poignardé à plusieurs reprises, notamment au cou, aux mains et à l'abdomen. L'auteur rescapé fait l'objet d'une fatwa, depuis 1989, pour son roman Les Versets sataniques.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Salman Rushdie

Né le 19 juin 1947 en Inde, Salman Rushdie quitte le pays, accompagné par sa famille, à l'âge de 13 ans. C'est en 1975 qu'il publie son premier roman, Grimus, un récit de science-fiction qui passe pratiquement inaperçu. En 1981, Les Enfants de minuit lui permet de transformer l'essai en remportant le Prix Booker. Après La Honte, Rushdie publie en 1988 Les Versets sataniques, roman qui va déclencher l'un des scandales littéraires mondiaux les plus importants du XXe siècle.

Extraits

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Littérature française

Les Fanatiques

Claire est devenue Aïsha. Elle a choisi, en se mariant, de se convertir à l'islam. Son père, Julien Nori, professeur en Sorbonne, vit cette décision comme un échec personnel. Homme des Lumières, il craint le retour des inquisitions, des fanatismes. Il redoute le choc des civilisations. Le choix de sa fille le bouleverse, remet en cause ses convictions, tout ce qu'il a cru transmettre. Il veut comprendre, renouer le dialogue avec Claire. Mais il ne rencontre qu'Aïsha. Un jour d'octobre, il est assassiné à Paris, à quelques pas de sa Sorbonne. Vengeance d'un fanatique ou fait divers sordide, maquillé en crime islamique ? Max Gallo mène l'enquête. Il n'esquive aucune question. Son roman, émouvant et lucide, dévoile, derrière les apparences, les tentations du fanatisme. Et les raisons de vivre et de mourir de Claire et de Nori. A chacun sa vérité.

05/2006

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Littérature française

La fatwa

Avec La faille, Slimane Aït Sidhoum, continue d'explorer une écriture qui, ludique et tragique à la fois, approfondit le ton et le verbe précis, si bien jumelés, de son premier roman Les trois doigts de la main. Bien qu'ancré dans les réalités les plus tragiques de l'Algérie, La faille les transcende en les intégrant, par petites doses et sous différentes humeurs du narrateur, dans une histoire d'amour froide car elle naît et évolue dans leur insoutenable paysage de la destruction et de la morbidité. C'est avec une badinerie loufoque et une ironie puérile que ce roman donne à lire un double drame entre deux rives. La fiction chez Aït Sidhoum puise sa force dans le regard individuel que l'auteur porte sur la société en évitant de plaquer les mots à la réalité et celle-ci à l'écriture.

06/2017

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Littérature étrangère

Le fanatique

Au printemps 1997, Andrew Carlin, ancien étudiant en histoire, libraire raté et dépressif, est engagé comme fantôme pour animer la visite guidée des vieux quartiers d'Edimbourg. Il doit apparaître brusquement devant les touristes et incarner un extrémiste religieux condamné au bûcher pour inceste et bestialité en 1670. Obsédé par son personnage, Carlin se lance dans des recherches historiques et trouve la trace de James Mitchel, un protégé de son personnage, un fanatique emprisonné au Roc de Bass en 1674 pour tentative d'assassinat sur l'évêque de Saint-Andrews. Carlin, fasciné, s'enfonce dans ce passé obscurantiste où le fanatisme presbytérien et la corruption du gouvernement mènent également la chasse aux sorcières et où les bûchers empuantissent les villes. Il glisse de la curiosité à l'identification et à la folie. Roman époustouflant sur le passé, l'identité et la rédemption, Le Fanatique nous entraîne dans une histoire faite de trahisons, d'assemblées secrètes, de voyages clandestins, d'identités masquées, à la suite d'un protagoniste qui ne reprend pied dans la période contemporaine que pour y retrouver son angoisse et son incapacité à vivre.

09/2003

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Sciences politiques

Chers fanatiques. Trois réflexions

"Combattre les extrémistes ne veut pas dire les anéantir tous, mais plutôt contrôler le petit fanatique qui se cache en nous". "Ces trois articles n'ont pas été rédigés par un expert ni un spécialiste, mais par un auteur dont l'engagement s'accompagne de sentiments mitigés" : c'est ainsi que le grand romancier israélien Amos Oz présente ce recueil d'essais, nés à l'occasion de conférences données depuis 2002. Il y propose une réflexion géopolitique qui se nourrit aussi bien d'analyses historiques, d'interprétations bibliques que d'anecdotes personnelles, afin d'exposer sa lecture du fanatisme, dans toutes ses acceptions possibles, et ses éventuels recours. Car Amos Oz, fervent défenseur de la paix et de la solution à deux Etats au Moyen-Orient, se refuse aux simplifications. Dans ce recueil qui peut se lire comme un prolongement de Aidez-nous à divorcer (2004), Comment guérir un fanatique (2006), et Juifs par les mots (2014), l'écrivain se saisit de l'actualité de son pays pour esquisser des pistes prudentes, et désormais teintées d'un certain pessimisme. Conscience intellectuelle et porte-voix du mouvement "La paix maintenant" depuis 1978, Amos Oz ne dissimule pas ses réserves sur les choix récents faits par le gouvernement de son pays, ni sa crainte de leurs conséquences dans les années à venir. Soixante-dix ans après la proclamation de l'Etat d'Israël, ces trois textes nous interrogent sur les racines humaines du fanatisme et nous invitent à considérer, malgré tout, ce que des peuples qui se déchirent peuvent avoir en commun.

10/2018

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Sciences historiques

Le village des fanatiques

"Que Dieu se montre seulement, et que ses ennemis soient dispersés, et que ceux qui le haïssent fuient devant sa face !" Au XVIIe siècle, au coeur des Cévennes, d'étranges cris résonnent : répondant aux appels de curieux prophètes, des "fanatiques" protestants se rassemblent en marge des Eglises. Parmi eux, Esprit Séguier et Abraham Mazel, qui orchestrèrent, le 24 juillet 1702, dans le petit village du Pont-de-Montvert, le meurtre de l'abbé du Chayla, tué de 54 coups de couteaux, en réponse aux persécutions qu'il avait fait subir à leurs coreligionnaires. C'est le début d'une guerre de religion, une lutte fratricide d'une cruauté inouïe. Dressés contre les troupes du Roi Soleil, les Camisards se battront pour leur liberté et pour l'avènement du royaume de Dieu sur la terre. Si, pas à pas, un historien d'outre-Atlantique retrace aujourd'hui la chronique, pétrie de sang et d'idéologie, de ce petit village cévenol, c'est pour tenter d'éclairer le présent. Car le fondamentalisme religieux est en pleine expansion, notamment aux Etats-Unis : traditions, nostalgie d'un âge d'or moral et politique, autant d'idées ou de fantasmes cimentant aujourd'hui le programme d'un Tea Party qui séduit toujours plus d'électeurs.

10/2014

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Histoire internationale

Comment guérir un fanatique

La question du fanatisme obsède notre monde contemporain. Nos sociétés occidentales, à tort ou à raison, ont l'impression de devoir combattre un ennemi invisible, car sous la forme paroxystique du terrorisme, le fanatisme frappe, au nom d'une foi ou d'une idée, sans que nous sachions comment répondre à cette agression de notre mode de vie et de nos modèles de société. Le Proche-Orient peut se prévaloir d'une tragique longueur d'avance en ce qui concerne les fanatismes de toute sorte. Amos Oz a toujours été un spectateur engagé de l'histoire de son pays et de sa région, et dans les trois textes rassemblés ici (dont l'un a déjà été publié sous le titre Aidez-nous à divorcer !), il tente un début de réponse face à ce défi. A partir de souvenirs personnels, voire d'anecdotes, il engage une réflexion non seulement sur le conflit israélo-palestinien, mais aussi sur la nécessité de comprendre l'autre, de se mettre à sa place, puis sur les vertus du compromis, de l'humour. En écrivain, et non en politicien ou sociologue, Amos Oz réfléchit au pouvoir des mots, du rire, de la fiction, comme remède au fanatisme, et nous fait le cadeau d'une stimulante contribution au débat actuel.

01/2006

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