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Dossier

Politeïa, festival des idées, décline la liberté

Du 16 au 19 mars 2023, Thionville vibrera au rythme de la première édition du festival des idées Politéïa dont la thématique sera la Liberté.

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Festival des Littératures européennes de Cognac 2021

Cette année, le LEC Festival nous emmène sur « la route du Danube », chère à Emmanuel Ruben. Éloignés des lecteurs depuis longtemps, la tentation de l’ailleurs a été forte. Que ce fleuve soit un pont entre nous et les peuples qui le bordent ! Stephan Zweig montre dans Le Monde d’hier combien nos destins sont liés. Les invités nous raconteront l’Histoire et des histoires, ils nous inviteront à écouter leur musique.

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Le Portugal, invité du festival Littératures européennes de Cognac

Le Festival des littératures européennes de Cognac se déroulera du 17 au 20 novembre cette année. Et le Portugal est mis à l'honneur. Dès les premiers frimas, il invite les amoureux de la lecture à la découverte d’un monde parfois inconnu.

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Dossier

Terres de Paroles 23 : plus qu'un festival littéraire

Depuis la Seine-Maritime jusqu'auc confins de la région de Normandie, le festival Terres de Paroles s'étend et investit une multitude de lieux : qu'il s'agissent de grandes villes, de petits villages, de sites patrimoniaux ou même d'endroits comme des écoles ou des bibliothèques. L'édition de 2023 ne faillit pas à la règle.

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Dossier

Festival du Livre de Paris 2022 : entre renouveau et contestations

Du 22 au 24 avril, le Grand Palais Éphémère accueillera éditeurs, auteurs et lecteurs pour le retour de l’événement parisien. Après deux années d’annulation, du fait du COVID, Livre Paris devient le Festival du Livre de Paris, avec une nouvelle approche : gratuité d’entrée, espaces thématiques, le tout à quelques pas de la tour Eiffel.

Extraits

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Littérature française

Festival

Maeva, sexagénaire franco-polonaise, passe une retraite paisible à Essaouira au Maroc lorsqu'elle est frappée par un coup de foudre qui fragilise son équilibre déjà menacé par ses expériences paranormales. L'acceptation de ses perceptions extrasensorielles la met sur la voie d'un crime resté non élucidé au sein de sa famille. Parviendra-t-elle à mener l'enquête ? Une vie brisée à Auschwitz, une autre agonisante à Essaouira, deux destins vont en frapper un troisième, celui de Maeva, dont l'histoire familiale porte un lourd traumatisme. Va-t-elle en réchapper ? "En juillet 42, Agathe et son fils Samuel âgé de trois ans, ont été conduits en Pologne. Ce train que tu as vu, c'était leur train. Il faut croire en tes rêves et en tes visions Maeva. Ce sont les messages de ton âme, comme si le ciel te portait pour te guider vers l'essentiel". Cet extrait reflète la complexité de l'intrigue qui tente de soulever les voiles du temps, dans un roman multiculturel qui allie voyage, aventure, drame, action, histoire et ésotérisme et où foisonnent les rebondissements.

04/2021

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Littérature française

Festival

"On s'en fout d'être pauvre. On a beau patauger au camping de la Mouette, sortir encore de taule, quand on a le panache d'un Flink et le coup du siècle en vue, on fonce. A Cannes, au festival, on va crever l'écran, s'en mettre plein les poches. Fini la caravane, la gadoue et l'eau froide, demain ça sera l'aisance : pour la mère une baignoire et une télé toute neuve ; pour Meert un endroit où dormir. Ensuite on s'offrira une virée italienne, en Triumph par exemple, avec Hélène chérie. Et tant pis si ça foire, au cimetière c'est pas la place qui manque". Sous son masque ironique, Stéphane Velut sait trouver la juste distance avec le grotesque de ses personnages - dignes cousins des affreux, sales et méchants de la comédie dramatique à l'italienne -, non pour les sauver ou les juger, mais pour s'inspirer à leur contact d'un vitalisme désespéré.

03/2014

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Non classé

Tarot Besançon

Format 6. 5 x 12 cm

09/1999

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Littérature française

Acné festival

««Art est puissance»«qu'elle disait la diablesse, «art est magie», et moi j'ouvrais les oreilles en tunnel, j'avalais. Pourtant mon métier de galeriste aurait dû m'immuniser, depuis quarante ans que j'en vendais de l'art, des discours j'avais soupé. L'amour m'a mis les oeillères, tout transi je me sentais devant ses charmes bien cuits, amoureux luisant, et même mon âge putride de soixante ne parvenait pas à me dessoûler. Faut dire que je vivais une deuxième puberté, ma jeunesse revenait n'en déplaise à mes enfants, à l'approche de la maison de retraite mon corps avait des poussées de vigueur, érections en tour de Babel, la folie du sang fermenté. Et l'acné qui vint par dessus, la cerise ! Le jour où j'ai décidé d'exposer l'acné dans ma galerie, les copains m'ont regardé comme si j'avais la démence. Conformistes ringards ! Attendez voir de quoi est capable Guinness le galeriste !»

03/1999

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Sciences historiques

Besançon, un vignoble millénaire

La cité de Besançon, qui a compté plus de 1 000 vignerons et 1 650 hectares de vigne, était-elle destinée à devenir "une ville de vignerons" comme on la qualifiait autrefois ? Certes, la morphologie propose à la vigne de belles possibilités avec des pentes bien orientées au sud. Le Doubs fournit également des facilités de transport. Ce ne sont là que des potentialités qui, à Besançon, ont été mises en valeur pendant un millénaire par des moines, des archevêques, des nobles, des bourgeois et surtout des vignerons qui se sont acharnés à planter, à labourer, à tailler, à vendanger sur ces pentes... Mais, quand le monde clos du vignoble bisontin s'ouvre, malgré lui, sur le monde débridé de la concurrence, tout commence à basculer...

05/2019

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Religion

Besançon et Saint-Claude

Un territoire de quelque 1600 kilomètres-carrés, abstraction faite de la ville et des vingt-six « grandes paroisses » qui constituaient la « Terre de Saint-Claude », tel se présentait autrefois l'immense diocèse de Besançon. En étendue à quoi le comparer parmi ceux qui divisaient le royaume de France ? Au vrai, il en allait différemment du point de vue paroissial, tant la densité de ce pays comtois restait faible. Par la suite, les correctifs qu'ont provoqués les rectifications de frontières du côté suisse, la création des trois départements : Doubs, Haute-Saône et Jura avec pour ces derniers des limites réajustées, enfin le transfert du Territoire de Belfort dans la pastorale de l'archevêché depuis le traité de Francfort en ont modifié l'image traditionnelle. La transformation essentielle ce fut sans nul doute le démembrement de l'ancienne circonscription ecclésiastique et la création, définitive en 1823, d'un nouveau diocèse couvrant l'actuel département du Jura. Cette particularité n'a pas manqué de susciter des problèmes à chacun de ceux qui voulaient se conformer à l'esprit d'une collection où l'on entend mettre l'accent sur l'histoire contemporaine. C'est pourquoi, les rédacteurs se sont efforcé d'unir dans un même récit les faits ayant précédé le XIXe siècle, de séparer ensuite les événements propres aux deux diocèses. D'où la présentation inhabituelle de ce volume. D'autres difficultés ont surgi en cours de route : les abandons auxquels il a fallu remédier sans que les successeurs puissent bénéficier toujours des travaux commencés. Délicat, très délicat certes aura donc été le rassemblement d'une documentation homogène. Par ses recherches critiques poursuivies pendant de longues années, le R.P. de Vregille s'était déjà préoccupé des origines chrétiennes de ce pays jurassien qui est le sien ; ses études personnelles l'ayant mené jusqu'en plein XIIe siècle, tout le désignait comme le présentateur des temps anciens, qu'au surplus un jeune érudit, M. Gérard Moyse, venait de renouveler dans une thèse d'Ecole des Chartes. J'ai pu, pour ma part, recevoir les conseils de M. Roland Fiétier et de M. René Locatelli : le premier, auteur, entre autres choses, d'une thèse monumentale sur la société bisontine allant du début du XIIIe siècle jusqu'au milieu du XIVe, où se trouve consacrée au clergé près de la moitié de son exposé ; le second - et c'est tout dire - est le médiéviste spécialisé dans les questions religieuses. Ajouterais-je aussi des travaux d'étudiants qui ont largement déblayé des fonds mal connus de nos vieux érudits ? Moins favorisé, M. Jean Courtieu, si tôt quitté le XVIe siècle, pour lequel il ne pouvait que s'appuyer sur l'œuvre monumentale de Lucien Febvre, a dû se livrer à des investigations dans le dépôt qu'il dirige. M. le chanoine Etienne Ledeur, ancien supérieur du Grand Séminaire de Besançon, servi par ses enquêtes, les souvenirs qu'il a pu ramasser, aidé aussi par une thèse d'Etat qui a fait époque, celle de M. l'abbé Huot-Pleuroux, enfin par sa connaissance d'un jeune clergé qu'il avait lui-même formé, n'a pas failli à une tâche que des circonstances douloureuses ont malheureusement assombrie. Mais l'obstacle le plus dur à franchir aura été celui qu'avec persévérance, bénéficiant fort heureusement de concours bénévoles, M. l'abbé Pierre Lacroix aura affronté pour le diocèse de Saint-Claude ; par suite d'une bibliographie indigente, il aura fallu procéder à des dépouillements dans les archives publiques, diocésaines et privées. Si quelques-uns se plaignent de la place qui lui a été allouée par rapport à celle acceptée par son confrère, malgré la disparité des deux diocèses, qu'ils se souviennent de ce mot (que je cite de mémoire) d'un théologien fameux: « Je n'ai pas eu le temps de faire court »… Grâce à ce collaborateur diligent, un point de départ aura été donné dans des recherches historiques un peu trop négligées au sud de notre Franche-Comté. Au terme de cet avant-propos, qu'il me soit permis d'insister sur deux originalités de nos deux diocèses. Dès le haut Moyen-âge, la terre jurassienne fut un foyer exceptionnel de monachisme. Cet élan ne s'est, pour ainsi dire, jamais ralenti, tant du moins que les âmes éprises de solitudes claustrales se tournèrent vers l'une des branches de la grande famille bénédictine. Que de monastères, que de prieurés, que de maisons se sont développés au milieu de nos déserts, sur nos montagnes, dans nos étroites vallées, au centre de nos plateaux et de nos clairières, toutes isolées par de vastes étendues forestières, que l'on gravisse les pentes du Jura ou que l'on gagne les rives de la Saône et les eaux stagnantes du pays bressan ! N'est-ce pas ici que s'affirma saint Colomban, que le Bernon d'avant Cluny a groupé ses premiers disciples ? Les ordres réguliers postérieurs, s'étant tourné vers l'apostolat des villes, n'ont pas connu, sauf exception, le même essor magnifique. Peut-être bien la nature physique du pays et la rareté de ses cités le prédisposaient-elles moins aux besoins du temps qui commence avec le XIIIe siècle. Phénomène inverse en quelque sorte, sur lequel nous aimerions attirer l'attention. Dans une région touchée comme ailleurs par la vague de déchristianisation ou, si l'on préfère, d'indifférentisme, les paroisses rurales changent de visage : elles éprouvent le besoin de se regrouper, tandis que dans les villes cl autres paroisses apparaissent, plus nécessaires que jamais. Le mouvement s'accélère depuis la fin de la dernière guerre. A ne considérer que les chiffres bruts, peu de changements dans l'ensemble de la population : 907 000 habitants en 1954 pour les trois départements du Doubs, de Haute-Saône et du Jura; au recensement de 1975, 732 000. Mais la répartition n'est plus la même. Comment comparer les 78 000 âmes de Besançon avec les 129 000 - encore accrues par des banlieues-dortoirs qui ne cessent de grandir ? Et que dire de la « nébuleuse montbéliardaise », à cheval sur trois départements et devenue la plus grosse agglomération de l'archidiocèse: 183 000 au lieu de 113 000 ? Les villes plus petites : Vesoul, Dole, Lons-le-Saunier et, dans leurs montagnes, Saint-Claude et Pontarlier subissent au ralenti une évolution analogue. Que d'interrogations posées par un pareil devenir dans le domaine religieux qui est le nôtre !

01/1977

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