Voilà deux semaines que le scandale s'est invité dans les catalogues des librairies en ligne majeures, suite à la découverte de titres aux contenus pornographiques violents (voire ultraviolents). Et surtout vendus aux internautes, même mineurs, sans filtrage. Tandis que Kobo a fermé momentanément sa plateforme le temps d'en retirer ses livres autoédités, une pétition d'auteurs intitulée « Leave our erotica alone » n'a pas tardé à récolter quelque 13.000 signatures. Si les signataires critiquent cette « censure », le chef de contenu de Kobo, Michael Tamblyn, leur a répondu ce week-end.