Recherche

féminisme

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Du féminisme en littérature

« Quelle erreur pour une femme d’attendre que l’homme construise le monde qu’elle veut, au lieu de le créer elle-même. » Cette phrase d’Anaïs Nin prend toute son ampleur en littérature, où après des siècles où les grands écrivains n’ont parlé qu’à leur semblable du sexe masculin, l’ancien « sexe faible » a aujourd’hui pleinement sa place. Des femmes fortes, sensibles, engagées et/ou artistes, qui font vibrer leurs voix singulières et caractéristiques.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Virginie Despentes

Née le 13 juin 1969 à Nancy, Virginie Despentes fait une entrée fracassante en littérature avec Baise-moi, un premier roman écrit en quelques semaines, provocateur et dérangeant, qui devient, grâce au bouche-à-oreille et à une exposition médiatique inattendue, un succès. Après deux autres romans, l'adaptation cinématographique de son premier livre, réalisée avec Coralie Trinh Thi, termine d'asseoir sa réputation d'auteure féministe et jusqu'au-boutiste.

ActuaLitté

Dossier

Editions du Portrait : 10 années à renverser la table

Livre après livre, la maison publie le récit incarné d’un combat contre le sexisme, le racisme. Ces livres, traversés par une pulsion de vie, transmettent l’histoire d’un individu et de son cheminement vers l’émancipation pour sortir des cases qui lui ont été assignées. La maison publie de la fiction et non fiction, mêlant écriture poétique et documentaire.

 

ActuaLitté

Dossier

La chronique des Bridgerton : la revanche de la romance

À plus d’un titre ! En 2009, J’ai lu publiait les premiers ouvrages de Julia Quinn dans la collection Aventures & Passions. Entre temps, Netflix décide de réaliser une adaptation de cette fresque : au total, près de 900.000 exemplaires vendus… Ces aventures amoureuses sur fond de marivaudage britannique, à l’époque de la Régence, dans les premières années du XIXe siècle ont conquis le public.

Extraits

ActuaLitté

sociologie du genre

La terreur féministe. Petit éloge du féminisme extrémiste

"Le féminisme n'a jamais tué personne." Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d'angoisse, ou à appuyer l'idée - déjà bien répandue - qu'une femme ne peut pas faire peur, qu'une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n'a jamais tué personne ? Elles s'appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l'histoire de ces femmes violentes.

02/2021

ActuaLitté

sociologie du genre

Féminisme

Féminisme : mot explosif, chargé de batailles, d'identifications et de contradictions. Mot d'importance donc pour la collection Le mot est faible, dont la professeure en études de genre Eléonore Lépinard s'empare ici avec brio pour le recharger d'une exigence toujours renouvelée de penser ses propres contradictions et de réinventer de nouvelles pratiques d'émancipation. Si le mot " féminisme " est explosif, c'est qu'il serait pour certaines porteur d'excès, d'une demande d'égalité risquant de renverser l'ordre établi, d'un désir d'imposer de nouvelles identités ou de prescrire un nouveau langage. Le féminisme brûle en effet : des " pétroleuses " incendiaires de la Commune de Paris, aux soutiens-gorges que les féministes du Mouvement de libération des femmes auraient brûlés, ces mythes tenaces associent dans notre imaginaire collectif les féministes avec un feu ravageur. L'incandescence de ce mot est aujourd'hui ravivée, à coups de hashtags, de témoignages et de colères rendues publiques, de manifestations et de chorégraphies à dimension planétaire. Il y a aussi danger quand certaines voudraient non pas s'opposer au féminisme et à ses demandes, mais au contraire se l'approprier, en donner une définition commune et légitime pour toutes celles et ceux qui voudraient se revendiquer de ce projet politique. Les luttes pour imposer ce que devrait être le " vrai " féminisme, sont aussi chargées d'affects, d'histoires et de conflits. Les rassemblements de toutes, #NousToutes, contrastent avec les conflits et colères, les #NousAussi clamés par les excluexs d'un discours qui se veut universaliste mais qui ne manquerait pas de toujours ériger des frontières, des clôtures autour d'un " bon " féminisme, accessible à certaines et pas à d'autres. Il faut dire qu'avec les féminismes revendiqués de Beyoncé, de Sheryl Sandberg, de Chimamenda Ngozi Adichie, d'Elisabeth Badinter, d'Annie Ernaux, d'Amandine Gay, d'Adèle Haenel... ou d'Emmanuel Macron, on dispose d'autant de versions, contradictoires, opposées, oxymoriques ou alliées à explorer. La tendance à qualifier le féminisme indique que ces versions semblent pouvoir se multiplier à l'infini : business feminism, féminisme radical, féminisme néolibéral, féminisme matérialiste, afro-féminisme, transféminisme, féminisme queer, écoféminisme... Devant cette avalanche de tendances on peut se demander si le mot a vraiment encore un sens, s'il peut désigner un projet commun dont les contours seraient identifiables. Comment un mouvement qui semble s'énoncer au nom d'un sujet qui a l'apparence de l'évidence, les femmes, peut-il s'avérer si protéiforme ? Comment peut-il être étiré jusqu'aux limites de ses possibilités et de son histoire puisqu'il devient revendiqué par des fractions de ceux-là même qui l'ont tant combattu, les idéologies de droite voire d'extrême droite ? Y a-t-il encore un dénominateur commun ? Le féminisme est-il voué à l'éclatement et la récupération ou peut-il continuer de nourrir nos imaginaires, nos désirs, nos luttes et nos vies ? L'autrice défend ici brillamment que ces luttes et ces conflits sont essentiels au féminisme, au sens où ils en constituent l'essence même et sont aussi essentiels à sa dynamique propre. Pour autant, accepter l'importance de ces conflits n'est pas céder au relativisme : toutes les versions du féminisme ne sont pas bonnes à adopter ou équivalentes. Loin de là. Le féminisme porte une exigence toujours renouvelée de penser ses contradictions, de répondre à celles qui en contestent les frontières, de réinventer de nouvelles pratiques d'émancipation.

02/2024

ActuaLitté

Société et citoyenneté

Le féminisme

Ne pas laisser les filles jouer au foot, se moquer d'un garçon qui joue à la poupée, se demander pourquoi maman gagne moins d'argent que papa... Les enfants sont confrontés très tôt aux inégalités et aux stéréotypes de genre. Est-ce que les filles et les garçons ont vraiment les mêmes droits ? Comment les garçons peuvent être féministes ? C'est quoi, le consentement ? L'amour, c'est que pour les filles ? Pourquoi le féminisme existe toujours ? Un ouvrage en 16 questions pour mieux comprendre les mots difficiles autour de cette thématique (sexisme, parité, harcèlement...) et lutter contre les inégalités filles-garçons.

02/2022

ActuaLitté

Critique

Fantasy & féminisme

Par la création qu'elle permet de mondes secondaires alternatifs et par ses codes génériques sujets à la réappropriation, la fantasy est un genre de l'imaginaire dont les potentialités sont illimitées, et qui offre l'opportunité d'interroger les systèmes normatifs en place. Ce n'est donc pas un hasard si elle a été investie, au fil des décennies, par des discours issus de divers courants féministes et queer. Que se produit-il lorsque la fantasy rencontre ces perspectives ? Comment peuvent-elles éclairer les oeuvres (livres, nouvelles, séries télévisuelles), mais aussi les phénomènes faniques et militants qui les entourent ? Comment aborder la fantasy (l'analyser, mais aussi l'écrire) en s'intéressant aux dynamiques genrées, sexuelles, sexuées, ainsi qu'aux savoirs féminins et aux cultures des marges ? Sous la direction de Marie Lucie Bougon (Université d'Artois), de Marion Gingras-Gagné (Université du Québec à Montréal) et de Pascale Laplante-Dubé (Université du Québec à Montréal/Université d'Artois), cet ouvrage rassemble des articles académiques de chercheurs et chercheuses et des créations d'autrices de fantasy, originaires de la France comme du Québec. Il est l'aboutissement d'un colloque organisé par l'Université du Québec à Montréal et l'Université d'Artois en 2021, qui a réuni universitaires, artistes et fans des deux côtés de l'Atlantique autour de dialogues fertiles sur les pouvoirs de l'imaginaire.

06/2023

ActuaLitté

Sociologie

La puissance feministe. Ou le désir de tout changer

L'Amérique latine est un des coeurs battants du féminisme contemporain. Des millions de femmes y prennent la rue contre les féminicides, les violences qui frappent les minorités de race et de genre, les lois qui répriment l'avortement et le développement néo-extractiviste. Figure majeure du féminisme latino-américain, Verónica Gago réinscrit ces bouleversements dans l'émergence d'une internationale féministe et propose, avec La puissance féministe, un antidote à tous les discours de culpabilité et de victimisation. En se réappropriant l'arme classique de la grève, en construisant un féminisme populaire, radical et inclusif, les mouvements latino-américains ont initié une véritable révolution. C'est à partir de l'expérience de ces luttes que Gago reconceptualise la question du travail domestique et de la reproduction sociale, expose les limites du populisme de gauche et dialogue avec Spinoza, Marx, Luxemburg ou Federici. Parce qu'il unit la verve politique du manifeste aux ambitions conceptuelles de la théorie, La puissance féministe est un livre majeur pour saisir la portée internationale des féminismes aujourd'hui.

04/2021

ActuaLitté

Sociologie

Féminisme et antimilitarisme

Avant, explique Andrée Michel, je me disais pacifiste. Aujourd'hui je préfère me déclarer antimilitariste pour signifier mon opposition à toutes les opérations menées pour promouvoir la production et la vente d'armements. Tel est l'engagement intellectuel et militant de la sociologue Andrée Michel, l'une des rares féministes françaises à travailler sur l'articulation du pouvoir d'Etat avec le complexe militaro-industriel : impulsée par les économistes américains dans les années 1960, l'expression souligne combien la croissance est tributaire de l'industrie de l'armement. Andrée Michel développe l'analyse en y introduisant les dimensions de la classe et du sexe, ce qui l'amène à qualifier le complexe militaro-industriel de formation sociale aggravée du patriarcat. Ce modèle a pour conséquences inéluctables une extension des conflits armés et une augmentation des pauvretés qui frappent hommes et femmes, mais stigmatisent durablement les secondes. La militarisation est le produit d'une culture de guerre propre à cette politique du genre qu'est la domination masculine. Composé de deux parties, La guerre contre les femmes et Résistances féministes, ce recueil associe aux articles scientifiques des communications dans des conférences internationales. Andrée Michel nous y fait partager son admiration pour les femmes qui ont décidé de définir elles-mêmes leur propre sécurité dans le contexte de la guerre, notamment en Colombie. Sociologue, Andrée Michel est l'une des pionnières des études sur le rôle et la place des femmes dans la famille, au travail et dans la société. Entrée au CNRS en 1948, elle adopte très vite une position féministe qu'elle associe à la prise en compte des inégalités de race et de classe. Fondatrice de l'équipe CNRS sur le rôle des sexes, elle est membre de l'Association internationale de sociologie. Ses nombreuses publications connaissent un rayonnement considérable à l'étranger.

11/2012

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté