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genevieve pastre

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Littérature française

Geneviève

"Toute l'affaire a duré douze mois. De ma vie, je ne me suis senti en désaccord si profond avec les saisons, les révolutions des astres, les équinoxes. Je me suis détaché pendant douze mois du système solaire. En fait de journal intime, j'ai, pour cette période, deux calendriers des PTT. sur lesquels j'ai mis quelques signes".

11/2012

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Littérature française

Geneviève

Geneviève, née en 1927 dans un village de la Meuse, est emportée par un cancer foudroyant en 2016. Ce livre est la biographie d'une femme qui a traversé l'histoire. Dans les premiers chapitres, c'est la jardinière, la cuisinière, la femme élégante et séductrice, l'épouse qui apparaissent, un univers chatoyant. Elle met en place dans sa vie une sorte d'éternité heureuse, un sens de la beauté et un rapport apaisé à la mort. On la suit dans son enfance pendant la deuxième guerre, on la découvre dans sa vie d'institutrice, son vécu de mère et de grand-mère. Plus de quatre-vingts ans défilent. Quatre ans après sa mort, ce texte s'est imposé à sa fille, qui a esquissé un portrait kaléidoscopique, un hommage lumineux et tendre, écrit avec sensibilité, élégance et précision. C'est aussi l'universel des relations entre mères et filles sur plusieurs générations qui se dessine.

11/2021

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Ouvrages généraux

La folie Pastré

Lily ? Lily Pastré ? La Lily Pastré ? Célèbre auprès des mélomanes pour avoir été à l'origine du Festival d'art lyrique d'Aix-en-Provence, la comtesse Pastré (1891-1974) a été bien plus qu'un riche mécène. Voici le récit de la vie d'une grande excentrique, d'une grande généreuse, d'une grande amie des artistes, des années folles aux Trente Glorieuses en passant par le tourbillon de la Deuxième Guerre mondiale. Née à Marseille, héritière des célèbres apéritifs Noilly Prat, elle épouse un aristocrate et vit à Paris dans un entre-deux-guerres tourbillonnant de fêtes et de concerts. Sa passion première, c'est la musique. Elle est l'amie des plus grands compositeurs et interprètes du moment. Dans sa villa du sud de Marseille, elle reçoit des personnalités aussi diverses que Christian Bérard et Edith Piaf, Luc Dietrich et André Masson. Pendant la guerre, au risque de sa vie, elle cache et aide des musiciens juifs, tels Clara Haskil et Darius Milhaud, les sauvant d'une mort certaine. Elle apporte son soutien à l'Américain Varian Fry, qui a arraché des milliers de vies à l'occupant nazi. Dilapidant son immense fortune en transformant son domaine en une Villa Médicis du sud de la France, elle cofonde le festival d'Aix qui, à la sortie de la guerre, signifiait le retour de la France comme grande nation artistique. A travers le destin hors du commun d'une femme à la personnalité fascinante, c'est aussi une partie méconnue de l'histoire de Marseille qui revit. Lily Pastré incarne la démesure d'une cité au caractère insoumis depuis la nuit des temps et la liberté d'une Provence cosmopolite dont tant d'artistes sont tombés amoureux.

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Littérature française

La folie pastré

Lily ? Lily Pastré ? La Lily Pastré ? Célèbre auprès des mélomanes pour avoir été à l'origine du Festival d'art lyrique d'Aix-en-Provence, la comtesse Pastré (1891-1974) a été bien plus qu'un riche mécène. Voici le récit de la vie d'une grande excentrique, d'une grande généreuse, d'une grande amie des artistes, des années folles aux Trente Glorieuses en passant par le tourbillon de la Deuxième Guerre mondiale. Née à Marseille, héritière des célèbres apéritifs Noilly Prat, elle épouse un aristocrate et vit à Paris dans un entre-deux-guerres tourbillonnant de fêtes et de concerts. Sa passion première, c'est la musique. Elle est l'amie des plus grands compositeurs et interprètes du moment. Dans sa villa du sud de Marseille, elle reçoit des personnalités aussi diverses que Christian Bérard et Edith Piaf, Luc Dietrich et André Masson. Pendant la guerre, au risque de sa vie, elle cache et aide des musiciens juifs, tels Clara Haskil et Darius Milhaud, les sauvant d'une mort certaine. Elle apporte son soutien à l'Américain Varian Fry, qui a arraché des milliers de vies à l'occupant nazi. Dilapidant son immense fortune en transformant son domaine en une Villa Médicis du sud de la France, elle cofonde le festival d'Aix qui, à la sortie de la guerre, signifiait le retour de la France comme grande nation artistique. A travers le destin hors du commun d'une femme à la personnalité fascinante, c'est aussi une partie méconnue de l'histoire de Marseille qui revit. Lily Pastré incarne la démesure d'une cité au caractère insoumis depuis la nuit des temps et la liberté d'une Provence cosmopolite dont tant d'artistes sont tombés amoureux.

02/2024

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Beaux arts

Geneviève - 1600

La mairie du Ve arrondissement de Paris conduit avec un succès remarqué une politique culturelle soutenue, qui s'ouvre sur des horizons les plus diversifiés. A l'aube du 1600e anniversaire de la naissance de sainte Geneviève, la mairie du Ve arrondissement ne pouvait manquer ce rendez-vous avec l'Histoire. Ses bâtiments occupent, avec ceux de la faculté de Droit, de la bibliothèque Sainte-Geneviève, du lycée Henri IV et du Panthéon, une position dominante, couronnant la Montagne dédiée à la patronne de Paris. Cette figure de l'époque mérovingienne a laissé au coeur de la capitale un héritage intellectuel et culturel considérable, qui se perpétue jusqu'à nous et dont le rayonnement a dépassé très largement le seul cadre parisien. L'association Art sacré II (lartsacre2. com) chargée de la réalisation de cette exposition, a été créée par Mgr Jean-Louis Bruguès, ancien bibliothécaire et archiviste du Saint-Siège. Ainsi cette structure peut-elle offrir toutes les conditions requises pour permettre, en collaboration avec les Archives nationales, le musée de la Légion d'Honneur, la bibliothèque du Saulchoir et bien d'autres institutions, la présentation d'une exposition à la hauteur d'un événement si mémorable.

11/2019

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Beaux arts

Geneviève Asse

Figure majeure de la peinture française après la Seconde Guerre mondiale, Geneviève Asse a bâti son oeuvre à l'écart des modes. Peintre de la lumière et de l'espace révélés par sa Bretagne natale, elle adopte le bleu, couleur emblématique de sa palette. Elle décline depuis plus de soixante ans le "bleu Asse" qui "prend tout ce qui passe", et joue d'une infinité de valeurs dans ses vues maritimes inspirées par la presqu'île familière de Rhuys et l'Ile aux Moines où elle achète une maison en 1987. L'auteur, qui connaît bien l'artiste née à Vannes en 1923, nous fait pénétrer dans son univers et nous la fait suivre tout au long d'un parcours de vie très riche. Geneviève Asse passe son enfance dans le golfe du Morbihan avec la mer pour ligne d'horizon, ancrage de sa peinture. A Paris, en pleine Occupation, elle suit les cours à l'école nationale des arts décoratifs et s'engage fin 1944 dans la 1re DB comme conductrice ambulancière. De Belfort à Berlin elle participe à la campagne d'Alsace et d'Allemagne et prend part à l'évacuation du camp de Terezin. Après la guerre, elle dessine pour les maisons de tissus Bianchini Ferrier, Paquin. Liée d'amitié avec l'industriel et collectionneur Jean Bouret, elle rencontre par son intermédiaire Nicolas de Staël et Beckett, qui deviendra un ami fidèle, tout comme Bram Van Velde. Elle côtoie Poliakoff, Lanskoy, Charchoune, Geer Van Velde. Aux peintures blanches inspirées par la lumière du midi à la suite d'un séjour en Catalogne, succèdent dans les années 1970 des compositions en hauteur structurées par des lignes verticales ou horizontales suggérant des portes ou des fenêtres, "un fil tendu en équilibre", qu'elle reprend dans ses gravures. A partir des années 1980, le bleu envahit la toile et absorbe le vide. Une ligne de démarcation, blanche, rouge à la fin des années 1990, divise la surface pour des symétries décalées. La série "Stèles" (hommage à Victor Ségalen) est donnée en 2012 par l'artiste au musée national d'art moderne venant compléter les achats de l'Etat commencés dès 1955 et enrichir les donations de l'artiste au Centre Pompidou. Geneviève Asse a réalisé plusieurs commandes de vitraux à la cathédrale de Saint-Dié (1988) et à la Collégiale de Lamballe (1996). Plusieurs rétrospectives lui ont été consacrées : au musée de Reims, au musée d'art moderne de la Ville de Paris et récemment au musée de Rouen en 2009-2010. De nombreuses expositions dans les galeries Claude Bernard, Jan Krugier, Ditesheim et Maffei, Marwan Hoss, contribuent à sa reconnaissance internationale. A l'occasion de son 90e anniversaire, les musées de Montpellier, Vannes et le Centre Pompidou lui ont rendu hommage.

05/2015

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