Recherche

gentilhomme fortune Corto

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Romans historiques (poches)

Thomas l'Agnelet. Gentilhomme de fortune

Quand un homme a le sang chaud, peu importe son âge, l'aventure viendra le chercher. Le Malouin Thomas Trublet n'a peur que de l'ennui ? Parce qu'il aime la mer, les femmes, les tavernes et l'odeur de la poudre, parce qu'il tue les ennemis comme ceux qui croient lui dicter sa route, le tout jeune capitaine de la Belle Hermine doit un jour cingler vers l'île de la Tortue, l'exil, la vie fragile et les proscrits de toutes sortes. Premières prises et premières querelles. Thomas, dans un monde de corsaires, de flibustiers, d'hommes d'honneur et de mauvais garçons, se fera un surnom dont même le roi de France entendra parler...

04/2011

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Anissa Corto

Tu vois Maria, je l'ai terminé, mon livre. C'est un peu grâce à toi. Les nuits que j'ai passées à écrire Anissa Corto sont des nuits où je n'ai pensé qu'à ton regard par-dessus mon épaule. J'ai tenté, à chaque phrase, de deviner tes exclamations, ton étonnement, tes doutes. Il m'est arrivé de te retrouver à São Paulo, pour écrire auprès de toi. Auprès de toi, je n'écrivais pas beaucoup. J'ai très peur de ta réaction à présent. Ce que je pensais être immense, parcouru par tes yeux, va s'excuser d'avoir été écrit. C'est trop tard. Mon style va se retrouver en slip au milieu de la cour. Tout est là, en place, imprimé, figé, définitif, tout est là qui t'attend et te craint. J'essaie de gagner du temps, mais tu es peut-être déjà en train de regarder la couverture, d'ouvrir le livre, d'isoler quelques bribes au passage, prélevant, à la manière des chimistes, les échantillons qui te suffiront pour juger l'ensemble. Je ne peux plus reculer ; il ne me reste qu'à te faire face. Ou à fuir. Je n'ai pas essayé de faire le malin. Tu n'aurais pas été dupe ; j'ai voulu suivre ma pente naturelle, sans jamais forcer les mots, sans jamais chercher à impressionner quiconque, et surtout pas toi. Tu verras, je serai tour à tour pathétique et excessif, lyrique et névrosé. Comme dans la vie. Je serai tour à tour moi-même. Anissa Corto, ce n'est pas Madame Bovary, d'accord, mais c'est moi. Voilà, je me tais. Je te laisse. Comme chaque fois que je sors un livre, je me sens minuscule ; surtout à côté de mes maîtres, les grands, les morts, que je salue debout sur mon escabeau. Je t'aime. Yann

05/2002

ActuaLitté

BD tout public

Corto Tome 24 : Corto Maltese en Sibérie

1919, Corto se trouve à Hong Kong. De fabuleux trains blindés sillonnent la Russie, la Sibérie, la Mandchourie ; celui de l'amiral Koltchak transporte l'or du gouvernement contre-révolutionnaire. Dans cette impitoyable chasse au trésor, Corte Maltese aide les Lanternes rouges, une société secrète chinoise qui lui a sauvé la vie. Avec Raspoutine, son ami-ennemi de toujours, Ils croiseront une duchesse russe aussi charmante que perverse, un aviateur américain et des généraux, partagés entre la nostalgie du passé et le souci de leur avenir bien compromis...

02/2009

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Fortune

Le Ferndale est bien le navire le plus inquiétant qui soit, dans le sens où notre planète est inquiétante, avec son atmosphère trouble de passions, de jalousie, d'amour, de haines, avec la calamité des bonnes volontés transcendantes. Et il a fallu que le hasard choisisse le Ferndale, entre tous les navires alors dans le port de Londres, pour assurer au jeune Powell son premier pas dans la vie. Le voilà désormais sous le coup du funeste enchantement qu'exercent sur lui l'énigmatique capitaine Anthony, Flora De Barral, pâle jeune femme qui semble vouée au malheur, et le père de celle-ci, vieux financier mis en prison pour banqueroute frauduleuse. Le plus grand, le plus beau des romans de Conrad. Nouvelle traduction établie par Roger Hibon.

12/1989

ActuaLitté

Policiers

Fortune

Au printemps 1976, s'arrachant à sa retraite jamaïquaine, Cimballi a une idée : il ne s'agit plus de gagner quelques millions de dollars, mais d'accéder à la Fortune, la vraie. Une nouvelle vient d'éclater comme un coup de tonnerre dans le ciel bleu de Las Vegas. A l'autre bout des Etats-Unis, le New Jersey autorise les jeux à Atlantic City. Et Cimballi décide d'y fonder " son " casino : l'Eléphant-Blanc. Il entre dans le monde des maîtres du jeu, monde infiniment dangereux et secret. Quelles sont les lois à respecter ? Qui sera le casino-manager, qui aura presque droit de vie ou de mort sur des milliers d'employés ? Et surtout, comment éviter les pièges parfois mortels du milieu le plus fermé du monde ? Ces dangers, Cimballi ne les esquive pas : il se jette à l'eau et tombe dans une arnaque incroyable, glacée, cynique. Sa contre-arnaque sera monumentale, hilarante, nourrie d'un formidable suspense. L'enjeu : probablement la liberté, peut-être la vie... et plus d'un milliard et demi de dollars, le Pouvoir, la Fortune ! Une course désopilante, dramatique, rythmée par un étonnant chassé-croisé entre Las Vegas et les brumes menaçantes d'Atlantic City.

06/2010

ActuaLitté

Poésie

Fortune

Fortune n'est pas un simple recueil de poèmes, mais plutôt une "suite" ou un ensemble de "variations" au même titre que les deux précédents ouvrages de l'auteur. Ici, une narration fragmentée reprend une traversée ferroviaire d'un personnage, Etienne, surnommé "Leblanc" , d'une côte à une autre, d'une mer à une autre. Ce qu'il perçoit ainsi que ce qu'il a laissé, ce qui le traverse dans les instants de torpeur ainsi que ce qu'il projette pour son arrivée influent musicalement sur la composition du livre aussi bien que sur ses rythmes. Par ailleurs, ce dernier opus prend ses distances avec les précédents qui s'inscrivaient tous dans la composition et le prolongement des Motets de l'auteur - ne serait-ce que par la récurrence des personnages. Un lien demeure toutefois avec son dernier, Variations de Jan, en ce que la Guerre de Troie en constitue l'arrière-plan lancinant. L'histoire fait retour sans cesse, percutant l'intime et provoquant les heurts métriques, ses syncopes, autant que l'allongement du vers parfois quand il s'agit de faire retour, ou tenter une synthèse de cette multiplicité d'approches. Les échos sont multiples : Conrad et Joyce, Maïakovski et Khlebnikov, Henry James et Homère. Mais surtout, les temps présents - avec leurs révoltes, leurs exils et leurs luttes - agitent un corps entre précipitation (panique) et méditation (pensée). Sans trame narrative, sans les sens sollicités sans cesse et sans l'invention en chemin, ce qui s'approche ici de l'élégie ne semblerait pouvoir trouver de voix chez cet auteur.

10/2022

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté