La lecture à haute voix de livres, en totalité ou sous forme d‘extraits, est considérée comme une “représentation”, et tombe de facto sous le coup du “droit de représentation”. Jusque-là, ce droit était géré par une société d‘auteurs, la SACD, mais depuis le 1er janvier 2016, et sans que grand monde en ait été informé, la gestion du droit de lecture est passée dans l'escarcelle de la SCELF, une société d'éditeurs.
Créé en 1874, le syndicat rassemblant les éditeurs de livres français devient le Syndicat national de l'édition à la sortie de la Seconde Guerre mondiale, en 1947, et réunit rapidement plusieurs centaines de maisons d'édition. La structure permet d'organiser l'action collective, notamment auprès des pouvoirs publics, mais aussi de mettre en œuvre des campagnes de promotion du livre et de la lecture au niveau national.
« Une liberté qui peut prendre la forme d’une quête, individuelle ou collective, d’un désir d’émancipation, d’une attente, d’un exil, d’un idéal ou d’une illusion... : liberté d’aimer, ou de haïr, liberté de choisir, d’agir, de rester ou de partir... avec tout ce que supposent ces choix, ces actes, ces paroles et ce qu’on nomme parfois “le prix de la liberté”. »
Découverts au lycée, les classiques de la littérature ont toujours été parmi nous : si nous les avons aimés, nous ne pouvons nous en passer. Si nous les avons détestés, il serait temps de leur donner une nouvelle chance. Et pour cela, les éditions Points ont décidé de redéfinir et de réinventer l'accès à ces classiques littéraires...
Noël approche, plus de temps à perdre, alors pour vous aider dans vos cadeaux de dernière minute, ActuaLitté vous conseille. Pour un proche qui aime se triturer les méninges et débattre des heures sur un sujet, voici une sélection de 5 ouvrages proposés par les Presses Sorbonne Nouvelle. Du cinéma, à la poésie du slogan révolutionnaire, jusqu’à « l’éthos » de la rupture.
Annie Ernaux, née Duchesne, a grandi en Normandie – à Lillebonne où elle est née en 1940, puis à Yvetot, où ses parents ont déménagé quelques années plus tard pour tenir un café-épicerie. Élève à l’école privée catholique, elle côtoie des filles de milieux plus aisés que le sien, et fait l’expérience de la honte sociale. En 1958, âgée de 18 ans, elle part pour la première fois seule, sans ses parents, travailler dans une colonie de vacances.
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