giono

L’association des amis de Jean Giono, avec la Fondation du patrimoine ont amorcé une souscription. Celle-ci vise à acquérir la bibliothèque de 8000 livres annotés ainsi que le mobilier de sa maison de Manosque. La collecte de 200.000 € a débuté, et s’ouvre évidemment à tous...

RÉCIT FRANCOPHONE - Nous avons tous lu Jean Giono. Ou, du moins, croisé son nom à l’école. Quelle image avons-nous de son oeuvre ? Celle d’une Provence chantant au rythme des cigales ? Des livres sentant le terroir ? Si c’est le cas, nous avions tout faux. Du moins trop souvent de l’avis d’Emmanuelle Lambert, dont Giono, Furioso, initialement paru chez Stock est désormais disponible en Folio.

Les raconteurs d’histoire sont à l’honneur avec le prix Jean Giono. Créé à l’initiative de Monsieur Michel Albert, Président des Assurances Générales de France, en 1990, le Prix Jean Giono a été ensuite repris par la Maison Yves Saint Laurent, en 1992. Il est présidé de droit par Sylvie Giono et l’a été par Pierre Bergé jusqu’au Prix Giono 2016.

11 ouvrages sont désormais en lice pour le Prix Giono. Décerné au meilleur « raconteur d’histoires », il récompense un ouvrage en français laissant une large place à l’imagination, dans l’esprit de Jean Giono. 

Il restait huit candidats en lice avant que, finalement, le Prix Jean-Giono soit remis à l'écrivain genevois Metin Arditi pour Le Turquetto. Récompensant « un ouvrage de langue française faisant une large place à l'imagination » (avec 10 000 € à la clef), ce prix vient récompenser une histoire pleine de rebondissements où l'on déambule entre Constantinople et Venise.

Ce vendredi 19 août, les hommages des personnalités de la Culture se sont succédé, pour saluer la mémoire de Raoul Ruiz, le cinéaste originaire du Chili et que la France avait adopté, autant que lui l'aimait.

Le Grand Prix Jean Giono vient de rendre publique la première liste des nommés pour la récompense annuelle, décernée à un auteur de langue française pour son dernier roman. Créé en 1990 pour célébrer le vingtième anniversaire de la mort de Giono, il sera remis au gagnant le 17 octobre prochain.

Le 14 octobre prochain sera connu le lauréat du prix Jean Giono, auteur dont l'oeuvre est à l'image de celle laissée par l'écrivain et scénariste français.

Ils sont deux, et comme le font très justement remarquer nos confrères de

Le grand prix Jean Giono a été remis hier à Charif Majdalani. L’écrivain libanais d’expression française a été récompensé pour son roman, Villa des femmes, paru au Seuil. Né en 1960,  l'auteur enseigne les lettres françaises à l’université de Beyrouth. 

Le Prix Jean Giono a dévoilé les dix titres qui composent sa première sélection. Décernée au meilleur « raconteur d’histoires », la récompense salue un ouvrage en français laissant une large place à l’imagination, à l’image de l’écrivain dont il porte le nom. Il est parrainé par la Fondation Jan Michalski.

#PrixAutomne23 - Le 9 novembre, le comité du Prix Jean Giono a désigné son lauréat : Gaspard Koenig et son roman Humus, paru chez L'Observatoire. Cette gratification littéraire, dotée par la Fondation Jan Michalski à hauteur de 10.000 euros, récompense chaque année l'écriture d'une œuvre narrative particulièrement inventive.

NOUVELLE – Retour sur l’un des immenses classiques français du XXe siècle, dont l’actualité résonne encore longuement. Au cours d'une randonnée « dans cette très vieille région des Alpes qui pénètre en Provence », le narrateur croise sur son chemin un vieux berger avec son chien et son troupeau de quelques brebis.

À l’occasion des 50 ans de sa disparition, sera dressé le portrait intime de cet immense conteur, ce « voyageur immobile » qui, pratiquement sans quitter Manosque, a créé l’une des œuvres les plus puissantes du XXe siècle. 

Le président de la République s’offre une promenade à travers le territoire, avec quelques grandes bouffées de littérature. La semaine passée, il avait rencontré la fille de Jean Giono, à Manosque. « Je dois beaucoup à Giono », assurait Emmanuel Macron dans Le Point. Mais la suite des événements sera plus classique encore, avec un retour à la mère des madeleines : Proust.

Paru d’abord en feuilleton dans la Revue de Paris entre juin et août 1951, puis repris chez Gallimard l’année d’après, Le Moulin de Pologne est un roman à part dans l’œuvre de Jean Giono. Le romancier délaisse ici ces magnifiques et luxuriantes descriptions de sa Provence natale. Dans ce récit, on ne sent point les mots à l’épaisseur charnue pour rendre sa terre, sa végétation, ses odeurs, sa chaleur. Le Moulin de la Pologne est bien une grosse ferme près d’un bourg provençal, mais ici, peu importe. Cela pourrait se situer n’importe où ailleurs. Par Carl Aderhold.

Si vous avez un boulier sous la main, il est à espérer que vous sachiez vous en servir. Joseph Macé-Scaron, l'homme de médias, vient de nouveau de se faire épingler pour des emprunts indélicats. 

En juillet 1965, Jean Carrière interrogeait Jean Giono sur France Culture. Une occasion pour les deux intellectuels, installés dans une bibliothèque de Manosque, de revenir sur la vie et la carrière de Jean Giono. Intitulé Jean Giono, du côté de Manosque, un coffret de deux disques reproduisant l’entrevue, vient d’être édité par l’INA et Radio France. 

Prix Giono : Nothomb ; prix de la langue française : Ernaux

#PrixAutomne23 - Ce 2 octobre, le jury du Prix Jean Giono s'est réuni pour sélectionner les cinq finalistes. Soutenu par la Fondation Jan Michalski, le Prix Jean Giono est attribué annuellement à l'auteur du meilleur récit romanesque, privilégiant une œuvre riche en imagination. L'annonce du lauréat aura lieu le 9 novembre et il se verra remettre une récompense financière de 10.000 €.

#PrixAutomne23 - Le jury du Prix Jean Giono qui s’est réuni ce 7 septembre, et a établi une liste de dix livres. Parrainé par la Fondation Jan Michalski, le prix Jean Giono est décerné chaque année au meilleur raconteur d’histoire et récompense un ouvrage en Français laissant une large place à l’imagination. Le lauréat sera annoncé le 9 novembre, il recevra un chèque d’un montant de 10.000 €.

Le Grand Prix Jean-Giono a été décerné ce 16 octobre à Fouad Laroui, pour son ouvrage Les tribulations du dernier Sijilmassi, publié par la maison Julliard. L'auteur avait reçu l'année dernière le Goncourt de la nouvelle, pour L'Étrange affaire du pantalon de Dassoukine, et la Grande médaille de la francophonie de l'Académie française en juin dernier.

Les sélections finales pour le prix Jean-Giono ont été annoncées : les trois finalistes sont Olivier Guez, Jean-René Van der Plaetsen, Frédéric Verger. Le prix Jean-Giono, soutenu par la Fondation Pierre Bergé-Yves-Saint-Laurent, distingue un ouvrage de langue française faisait une large place à l’imagination, dans l’esprit de Jean Giono. Le prix sera remis le 26 octobre.

Créé à l'initiative de Michel Albert, Président des Assurances Générales de France, en 1990, le prix Jean Giono fut repris par la Maison Yves Saint Laurent, en 1992 : chaque année, il récompense un ouvrage de langue française (roman, récit ou recueil de nouvelles) faisant une large place à l'imagination, dans l'esprit de Jean Giono, et révélant un vrai talent de « raconteur d'histoires ».

Le 10 novembre sera remis le prix Jean-Giono. Les sélections finales ont été annoncées : Jean-Baptiste Del Amo, Alain Blottière et Stéphane Hoffmann sont en lice pour le prestigieux trophée.

Le grand prix Jean-Giono a été institué en 1990 par la femme et la fille de l'écrivain, à l'occasion de la commémoration du vingtième anniversaire de sa mort. Il distingue chaque année l'ensemble de l'œuvre d'un auteur de langue française, en récompensant particulièrement un de ses ouvrages. La première liste des auteurs en lice vient d'être dévoilée.

Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF s'étoffe de deux manuscrits originaux en lecture gratuite : Colline de Jean Giono, et L'Éternité plus un jour, signé Georges-Emmanuel Clancier. Ces deux romans français du XXe siècle rejoignent ainsi plus de 3 millions de documents numérisés par la bibliothèque, 560.000 livres et 53.000 manuscrits.

L'écrivain et professeur Pierre Jourde a reçu ce matin le Prix Jean Giono 2013 pour son livre La première pierre, publié par les éditions Gallimard. Dans ce livre, l'auteur revient sur les réactions d'une partie des habitants du village d'Auvergne dont il est originaire suite à la parution d'un de ses précédents romans, dans lequel l'action était localisée dans le hameau.

Jacques Chessex, un Vaudois dans le jury du prix Jean-Giono

France 5 parcourt le patrimoine français pour ravir les amoureux de paysages majestueux, les passionnés d'histoire et d'architecture ancienne, ainsi que les gourmands avides d'authenticité. Ce dimanche 20 août à 20h55, escale dans la Provence de Pagnol et Giono. À 21h45, les curieux pourront suivre l'itinéraire de l'écrivain voyageur écossais, Robert Louis Stevenson, à travers les Cévennes, accompagné de son fidèle âne Modestine.