hausse prix papier

#PenuriePapier - En marge du Prix Maison de la Presse, remis ce mardi 10 mai au siège de la SGDL, crise du papier et difficultés dans l'édition sont sur toutes les lèvres. Sophie de Baere, lauréate, et Constance Trapenard, son éditrice, se réjouissent des retombées de la récompense sur l'avenir des Ailes Collées. Toutefois, Arnaud Ayrolles, président fondateur du groupe NAP, estime que l'augmentation du coût des matières premières reste une vraie préoccupation. 

Les éditeurs sont alertés par les papetiers depuis un moment : les prix d’achat du papier vont augmenter, et pas plus tard que très prochainement. Entre janvier et aujourd’hui, deux hausses ont été enregistrées chez les fabricants. La société canadienne Marquis fait un point d’étape... sur la prochaine salve.

L’organisation professionnelle de l’industrie du livre américaine constate l’érosion du papier au profit du numérique, et la nette prédominance d’Amazon. Mais baisse de la consommation de papier ne veut pas dire baisse de la consommation.

#PenuriePapier - L’éditeur de manga Kana annonce sur son site comme sur Twitter une augmentation de sa grille tarifaire qui prendra effet à partir du 1er juillet 2022. En cause, la crise du papier et l’augmentation des coûts de production et de transport.

Le dernier lecteur ebook de Sony, proposé à 1100 $ aux États-Unis, et spécialement conçu pour la lecture de fichiers PDF, avec son écran de 13,3 pouces, débarquera donc dans les studios hollywoodiens. La firme annonce que son Digital Paper va prendre un rôle essentiel dans la société Ease Entertainement, dédiée à la comptabilité et la facturation des studios californiens. La solution ultime pour trouver enfin des clients ? 

La bibliothécaire de l'université de New York, Nancy M. Foasberg, s'est lancée dans une étude relative aux habitudes des étudiants en matière de lecture : papier ou numérique ? C'est ce que Foasberg a tenté de déterminer, à très petite échelle toutefois puisque seuls 17 étudiants âgés de moins de 25 ans ont participé en fournissant leurs réponses. Qui ne donnent donc qu'un aperçu partiel de la situation.

La fin de l’année aura été dure pour tout le monde, mais elle confirme une tendance aux États-Unis constatée depuis le début de 2010, et que 2011 devrait accroître. Les ventes de livres de papier baissent, au profit de celles de livres numériques. Avec toutefois un bémol : la rentabilité de l’ebook n’est toujours pas un fait avéré...

Le créateur chilien Seba Naranjo fait revivre des créatures majestueuses disparues depuis longtemps, les dinosaures, avec de simples feuilles de papier. Pour son projet Khartosauria, il dessine, découpe et assemble des maquettes en 3D à l'échelle. Un travail qui demande autant de minutie que de recherches en la matière.

Nous y voilà… Et comme dirait Churchill, de la sueur, du sang et des larmes, que l’on ne remarquera pas trop, nous sommes des gens numériquement propres, pour cette version Papiel.

D’après le nouveau rapport « Year in Books, Review 2015 » publié par l’entreprise Nielsen — un groupe des Pays-Bas spécialiste de l’édition professionnelle et de la mesure d’audience en télévision, radio, presse écrite et téléphonie mobile —, les consommateurs auraient changé leurs habitudes d’achats de livres en 2015. Ils auraient également remarqué que l’autopublication et la vente de livres de coloriage connaissent une hausse considérable d’année en année. 

Les fournisseurs de papier nord-américains viennent collectivement d’annoncer une hausse de prix. Différents facteurs permettent de comprendre cette augmentation – principalement la fermeture de machines à papier et moulins. Moins de production, donc.

L’agence américaine Bowker annonce une forte hausse dans l’attribution d’ISBN sur l’année 2015. Ces codes qui identifient tout livre commercialisé ont augmenté de 21 % dans le monde de l’autopublication.

Chapitre.com : chiffres d'affaires en hausse, panier moyen en baisse

La vente de livres imprimés a poursuivi sa croissance, au cours de l’année 2016, constate Nielsen BookScan. Sur le territoire américain, la hausse est ainsi de 3,3 % en regard de 2015. Mais surtout, on peut parler de tendance, puisqu’il s’agit de la 3e année consécutive où l’on enregistre cette augmentation.

L'Association of American Publishers (AAP), équivalent outre-Atlantique du SNE national, vient de publier ses statistiques des ventes de livres, StatShot, pour le mois d'avril 2012 : alors que la récente annonce d'Amazon sur les ventes numériques supérieures au papier en Angleterre a fait rejaillir le spectre d'un déclin du support traditionnel, les chiffres aux Etats-Unis laissent au contraire espérer une cohabitation paisible.

C'est dans l'air du temps, et conforme à la loi qui veut que la vie connaisse des hausses de prix. Même les applications pour iOS augmentent, avec le temps... Et vu le succès de l'App Store, pas sûr que le business s'arrête.

Eurostat est formel. Depuis 2005, le prix des livres et des périodiques a considérablement augmenté sur le vieux continent !

#PenuriePapier – La sanction pécuniaire pour les lecteurs risque de fortement varier suivant les territoires. La crise d’approvisionnement en papier, doublée par les hausses de coûts de l’énergie, a des retentissements terribles sur les éditeurs. Avec des conséquences qui feront préférer d’habiter ici plutôt qu’ailleurs…

La hausse de cinq centimes du prix du ticket de restauration universitaire décidé par le conseil d'administration du Centre national des œuvres universitaires et scolaires (Cnous) passe plutôt mal. On arrive à un coût de 3,20 € par repas. Même si ce prix reste très modéré, il a réveillé les craintes des étudiants concernant la hausse du coût de la vie.

Depuis le 1er janvier, une loi européenne de 2008 est entrée en vigueur, et calque les taux applicables de taxes sur la valeur ajoutée (TVA) d'un achat réalisé en ligne sur ceux du pays de l'acheteur, et non du vendeur. Cela signifie notamment qu'un achat sur Amazon ne sera plus taxé à 3 %, le taux de TVA du Luxembourg, mais 5,5 %, 4 % ou 25 %, selon qu'il soit effectué depuis la France, l'Italie ou la Norvège.

L'Association of American Publishers a fait les comptes pour la période janvier-mars 2015, qui ne sera pas la plus inoubliable : les ventes globales ont baissé de 6,6 % au cours de ce début d'année, par rapport à 2014. Le retour massif à des contrats d'agence auprès d'Amazon aurait indirectement accompagné cette baisse des achats, en élevant le prix des livres numériques.

On le déplorera, ou pas, mais le Prix Nobel de Littérature génère chaque année des milliers de paris dans le monde. L'auteur kenyan Ngũgĩ wa Thiong'o en a fait les frais en septembre, quand une hausse subite des paris sur son nom ont fait planer des soupçons de fuites. C'est au tour de l'auteur norvégien Jon Fosse de mobiliser l'attention des turfistes littéraires.

Le Book Industry Study Group vient de publier les résultats d'une récente enquête s'intéressant à la consommation de livres numériques. Intitulée Report Two of Consumer Attitudes Toward E-Book Reading, Volume 4, elle indique que la communauté des lecteurs témoignerait de son fort intérêt pour un éventuel regroupement de titres imprimés avec leur pendant électronique (offre bundle). Les consommateurs seraient en outre prêts à payer plus chers leurs ebooks s'ils étaient en mesure de les revendre comme bien d'occasion ou d'en faire cadeau.

Le modèle d'agence, soit la fameuse fourchette de vente comprise entre 12,99 $ et 14,99 $ qu'Apple a mise en place avec les éditeurs pour la vente d'ebooks sur l'iPad est une expérience, certes, mais avant tout une avancée sur le prix de 9,99 $ proposé par Amazon.

Le livre deviendrait-il un produit de luxe au Royaume-Uni ? Le Bureau des Statistiques Nationales fait état d'une hausse sans précédent du prix du livre, papier et numérique, pour l'année 2014. L'industrie se réjouit de niveaux inédits depuis 1997, et espère que le principal vendeur du pays, Amazon, va suivre cette inflation.

La rentrée des classes approche à grands pas. Les écoliers et leurs parents s’affairent à trouver tout le nécessaire savamment répertorié sur les listes de fournitures. Mais l’ombre de l’inflation plane et marque, à travers toute l’Europe, une augmentation sans précédent des dépenses, notamment pour les manuels scolaires. Pour autant, en Italie, on crie à la désinformation. 

L’ancien propriétaire du groupe Editis a dévoilé ses perspectives économiques en période de crise des matières premières. Son président, José Creuheras a fait oeuvre de raison : l’industrie du livre ne pourra pas ignorer l’inflation. Mais les maisons du Grupo Planeta se montreront vigilantes…

#PenuriePapier – Augmenter le prix des livres, pour lutter contre l’inflation et préserver la hausse des charges de l'industrie, l’idée a cheminé. Ainsi, les clients découvrent depuis des mois que le tarif indiqué sur les ouvrages diffère lors du passage en caisse. Une hausse de 20 à 30 centimes, jamais très agréable, et à régulariser rapidement, indique l’Autorité de médiation.

7 € pour un ebook récent, 4 € pour un livre de plus d'un an et 4,5 € pour une BD.