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hypocrites

Extraits

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Romans policiers

Mort aux hypocrites

Alors que le commissaire Charitos fête la naissance de son petit-fils, son bonheur est vite troublé par une série d'attaques à la bombe qui l'obligent à mener une nouvelle enquête. Cette fois, le meurtre des six victimes est doublement mystérieux : loin d'être des crapules, elles étaient des personnes fort appréciées, et ces attentats sont revendiqués par une obscure "Armée des Idiots Nationaux" dont les motivations restent inexpliquées. Et si les morts n'étaient pas aussi respectables qu'ils en ont l'air ? S'ils avaient une face cachée moins reluisante ? Au coeur d'une société toujours en proie à la crise sous la férule de la Troïka, Charitos démasque les coupables mais découvre une vérité dérangeante.

06/2021

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Littérature française

Le châtiment des hypocrites

" Cinq années de mariage plus tard, Rachid Amor parut à sa femme dans la peau d'un autre. Juste avant ses noces, Fatima Amor vivait à Alger, où elle était née. Elle avait un travail, une ou deux amies, des parents ordinaires. Mlle Kosra, comme on l'appelait à son travail, entendait tout simplement mener une vie sans histoires. Et elle mena une vie sans histoires jusqu'au moment où tout chamboula. " Vibrante et fougueuse, l'écriture de Leïla Marouane virevolte entre violence et fragilité, entre vérité et refoulement, épouse les contradictions d'une femme rongée par ses passions et ses secrets, explose enfin de rage et de douleurs contenues, laissant derrière elle une folie glaçante : un portrait de femme inoubliable...

08/2001

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Poches Littérature internation

L'Hypocrite heureux

Ce conte dandy, écrit par un ami d'Oscar Wilde, raconte l'histoire de George Hell. Ce mondain cupide, pour se marier avec la femme dont il est tombé amoureux, doit transformer son visage enlaidi par une vie de bassesses en figure de saint. A l'aide d'un masque, il parvient à changer d'apparence. Cela l'aide-t-il à vaincre sa nature ? Le mot "conte" ne doit pas faire s'attendre à autre chose qu'à une pure fantaisie ; la morale est teintée de dérision et la philosophie de l'artifice sert de couleur de fond à un tableau qui n'entend être qu'une féerie.

03/2012

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Actualité médiatique internati

Le serment d'hypocrite

Profitant de la crise du Covid-19, la médecine allopathique foule au pied le plus grand de nos principes républicains : la liberté ! Marc Menant démonte dans cet essai coup de poing les travers de cette médecine en reprenant son histoire, point par point, et en dénonçant ses impostures ! " Quel bouleversement ! En 2021, la médecine a profité de la crise du Covid-19 pour s'arroger la prééminence sur les grands principes de la République dont le plus noble, le plus ambitieux et le plus emblématique d'entre eux : la liberté ! Du haut de son outrecuidance, la médecine allopathique refuse, contrairement aux autres sciences, le principe de la remise en cause qui finit toujours par affaiblir, voire abolir, les théories les mieux établies. Telle une vérité absolue érigée en religion, elle porte au firmament son précepte des microbes et des maladies ennemies à combattre par des vaccins et molécules de synthèse. Science des sciences, la médecine est certaine que sans ses avancées, l'humanité croupirait miteuse et décharnée, ravagée par des myriades de virus et autres bactéries. A croire que seuls les ânes bâtés s'esclaffent aux tirades du Knock de Jules Romains : " La santé n'est qu'un mythe, un état précaire qui ne laisse rien présager de bon [... ] On ne soigne pas assez [... ] Les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent [... ] ". Et que dire des bien portants étiquetés " asymptomatiques " par les sommités de la Faculté ? Drame vécu par les trois-quarts des contaminés devenus responsables de la diffusion de la maladie alors qu'ils n'en développent aucun symptôme ! Les grands pontes de la médecine se sont obstinés à proclamer ces " malades clandestins " dangereux pour autrui, coupables d'un indéniable délit " d'illusion de bonne santé " ! Un délit heureusement évitable par la vaccination, garantissent les infectiologues... Un travers endémique, parmi d'autres, de la médecine et de ses hâtives et définitives conclusions que j'entends démontrer dans cet ouvrage en reprenant, point par point, l'Histoire de la médecine allopathique et en dénonçant ses impostures ! "

04/2022

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Théâtre - Pièces

Le Tartuffe ou l'hypocrite

En mai 1664, Louis XIV applaudit à Versailles Le Tartuffe ou l'Hypocrite, comédie en trois actes de Molière. Mais cette hilarante satire des dévots - le chef de famille est d'un aveuglement ridicule et son directeur de conscience ne peut résister à la tentation et tombe dans l'hypocrisie - vient con­trarier sa nouvelle politique religieuse, et il en interdit toute représentation publique. Après avoir clamé que, loin de se moquer des dévots, il dénonçait les faux dévots et s'attaquait à toutes les formes d'hypocrisie, Molière entreprit de conformer sa pièce à son discours en ajoutant deux actes entiers. Tartuffe s'y révèle non plus un directeur de conscience tombant dans l'hypocrisie, mais un hypocrite de profession, un imposteur. Le texte proposé ici est une reconstruction de la version de 1664, résultant d'une démarche "génétique" . En "grattant" la surface de la version définitive, on voit affleurer l'histoire traditionnelle de l'homme pieux accueillant chez lui un religieux, lequel tombe amoureux de sa femme, tente en vain de la séduire, l'oblige à une ruse pour convaincre son mari incrédule et se fait chasser de la maison. Ce qui correspond aux actes I, III et IV de la version définitive. Où l'on découvre dans cette version en trois actes une pièce plus puissante, plus dynamique, et beaucoup plus comique. GF

09/2021

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Littérature française

Les cahiers d'une hypocrite

"La bonne littérature, dit Etiemble, c'est celle qu'on laisse en soi pourrir, germer, fleurir quinze ou vingt ans. Tant pis pour les enfants prodiges". Tant pis, donc, pour Christiane Singer I. Il eût fallu qu'elle s'y prit dès sa naissance pour laisser germer en elle " sa " bonne littérature. Peut-être est-ce d'ailleurs ce qu'elle a fait. De toute façon, l'important n'est pas là. L'important, c'est ce livre qu'elle a écrit. Elle a la prudence de n'y parler que de ce qu'elle connaît bien : elle-même, le monde qu'on lui a donné, celui qu'elle s'est inventé. Ces deux mondes sont surprenants : réels et un peu insolites, présents et bizarrement surannés. Elle n'a pas le souci de discipliner sa promenade. Elle ne s'inquiète ni de chronologie, ni d'ordre, ni d'architecture. Elle ne nous propose que des "Cahiers". Mais cette hypocrite est sincère : elle dit exactement tout ce qui lui passe par la tête et le coeur. Je ne sais à quel moment l'imagination l'emporte sur le souvenir et réciproquement, dans ce livre. Tout ce que je puis indiquer est qu'il ressemble à son auteur. Je crois que ce qu'elle écrit est vrai. Seulement pour elle "le vrai est léger, le vrai c'est ce qui danse". Les mots dansent peut-être, mais leur ballet commande tout le reste. Raymond JEAN.

04/2022

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