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interruption volontaire grossesse

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Sociologie

L'interruption volontaire de grossesse. La société gabonaise au miroir de la loi Veil

La liberté, ce bien qui fait jouir des autres biens, écrivait Montesquieu. La liberté devrait être au coeur de la démocratie et de l'Etat de droit. En même temps, elle ne peut être maintenue et garantie que par la vigilance et l'action des individus, notamment les femmes. Elles ne sauraient en être simples bénéficiaires, elles doivent non seulement l'exercer mais encore surveiller attentivement ses conditions d'exercice. Tâche d'autant plus nécessaire dans une période où les atteintes qui lui sont portées sont aussi insidieuses que multiples. L'Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) mise en lumière dans cet ouvrage est révélatrice de cette caractérisation. L'approche genre qui s'intéresse aux rapports sociaux de sexes et aux pratiques sociales, vient confirmer la prise en tenaille de l'IVG entre droit de la femme, éthique de la vie et prestation. Les contributions réunies ici rendent compte de cette réalité et revisitent les domaines et objets que Simone Veil a labourés. Ont collaboré à cet ouvrage : Judith Doutsona, Adèle Sabine Ilama Mombot épse Nguimbi, Simon-Pierre E. Mvone-Ndong, Placide Ondo et Jean-Stanislas Wamba.

08/2019

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Couple, famille

Journal d'une interruption séléctive de grossesse

Les faits se déroulent alors que j'étais enceinte de nos jumeaux : j'ai dû faire un choix ! Celui de l'amour... et surtout de la vie, quoi qu'on en pense. Et quel choix ! Celui d'accepter de porter la vie et la mort, quel paradoxe ! Faire face à la culpabilité, poursuivre une grossesse dite «normale», affronter le regard des autres et essayer de faire simplement son deuil. Je ne connaissais rien de l'interruption sélective de grossesse. J'ignorais même que de telles pratiques étaient possibles. Dans ce journal, j'ai pris le temps de chaque mot, la mesure de chaque ressenti. C'est un combat de chaque instant et une nécessité pour faire reconnaître l'existence de mes deux enfants aux yeux de tous.» S B.

03/2015

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Psychologie, psychanalyse

Quel âge aurait-il aujourd'hui ? Le tabou des grossesses interrompues

Fausse couche, IVG (interruption volontaire de grossesse), interruption médicale de grossesse, grossesse extra-utérine, mort in utero: plus d'une grossesse sur deux n'est pas menée à son terme aujourd'hui. Pourquoi et quelles en sont les conséquences psychologiques sur la femme et son entourage? Le docteur Stéphane Clerget, psychiatre, nous fait part de son expérience, grâce à de multiples témoignages qu'il a recueillis au cours de ses consultations: non seulement ces interruptions, volontaires ou involontaires, sont nombreuses, mais elles laissent la plupart du temps des traces psychiques importantes chez la femme, mais aussi chez l'homme et les enfants déjà présents ou à venir. Du traumatisme à la dépression, en passant par la colère, le déni ou la culpabilité, les réactions sont diverses et, trop souvent, niées par l'entourage qui a tendance à banaliser ces pertes. "C'est la sélection naturelle", entend-on. "Au suivant" est le mot d'ordre. L'absence d'un véritable suivi pour ces personnes en difficultés est flagrante. Ainsi, l'auteur lève enfin le tabou de ces grossesses interrompues en donnant la parole à ces femmes qui souffrent en silence. Non seulement il nous fait part des mécanismes psychologiques qui sont à l'origine de leurs troubles, mais il propose des remèdes, parmi lesquels la reconnaissance sociale du deuil périnatal élargie aux fausses couches.

10/2007

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Sociologie

Interruption

"J'ai avorté deux fois et je suis la preuve qu'un avortement peut provoquer l'indifférence ou une déflagration. Je suis la preuve qu'il peut occuper vingt ans ou les seules semaines nécessaires à son accomplissement. Qu'il peut être l'unique issue envisageable ou simplement permettre d'attendre un meilleur moment. Alors, j'ai été lasse des discours péremptoires sur les raisons pour lesquelles les femmes devraient y avoir recours et sur ce qu'elles devraient, ou non, ressentir à son occasion. J'ai eu envie d'écouter certaines d'entre elles raconter ce qu'elles avaient vécu, en refusant que d'autres parlent pour elles. Ma préoccupation n'était pas le droit à l'avortement mais le droit à la parole de celles qui l'ont expérimenté. Le droit à l'avortement est inscrit dans la loi depuis 45 ans mais son exercice doit toujours être discret, si ce n'est secret. La loi nous autorise à avorter, la société nous empêche d'en parler. Nous sommes nombreuses à nous plier à cette loi du silence, parce que la gêne et la culpabilité sont toujours là. Je suis cependant convaincue que ce droit sera toujours fragile si nous n'assumons pas pleinement d'y avoir recours comme bon nous semble et si nous pensons le protéger en faisant profil bas, laissant alors au passage certains professionnels de la santé nous malmener. Voici donc ce livre, mélange de témoignages et d'une quête personnelle qui m'a transformée. Ce sont quelques histoires d'interruption. Douloureuses ou anodines. Singulières. Une interruption aussi je l'espère, quand bien même furtive, du silence, de la honte et de la colère". S. V.

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Grossesse et maternité

Interruption

Je suis la preuve qu'un avortement peut provoquer l'indifférence ou une déflagration. Je suis la preuve qu'un même corps peut vivre deux fois ce même événement en mobilisant de façon totalement différente la tête qui le surplombe ou les émotions qui l'animent. Je suis la preuve qu'il peut occuper vingt ans ou les seules semaines nécessaires à son accomplissement. Qu'il peut être l'unique issue ou simplement permettre d'attendre un meilleur moment. Alors, j'ai été lasse des discours péremptoires et fermés sur les raisons pour lesquelles les femmes devraient y avoir recours et sur ce qu'elles devraient ou non ressentir à son occasion. J'ai été lasse et j'ai eu envie d'écouter certaines d'entre elles raconter ce qu'elles avaient vécu en refusant d'admettre que d'autres parlent pour elles. Ma préoccupation n'était pas le droit à l'avortement mais le droit à la parole de celles qui l'ont expérimenté. S. V.

11/2022

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Santé, diététique, beauté

Ma petite plume. Vivre et surmonter l'interruption médicale de grossesse

Julie et son mari ont désiré, attendu et aimé leur premier enfant. Jusqu'au jour où le diagnostic tombe : le petit Théo a fait une hémorragie cérébrale à sept mois de grossesse Tout bascule. L'interruption médicale de grossesse (IMG) peut être réalisée à tout moment de la grossesse et jusqu'à la fin, en cas de maladie incurable. Julie nous fait vivre le doute auquel les couples sont confrontés : est-ce la meilleure décision pour ce bébé et pour nous ? N'y a-t-il vraiment aucun espoir d'amélioration, ni de traitement ? Une fois la décision prise, comment supporter ces jours passés à sentir son bébé bouger, alors que son décès est déjà programmé ? Puis arrive le jour de l'accouchement, où se mêlent la naissance et la mort. Et après ? Un témoignage pour briser les tabous qui peuvent encore exister, afin d'aider les parents et leur redonner espoir.

09/2017

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