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ivrognerie

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Critique

L'ivrognerie de Franklin Evans. Un récit d'époque

Le débutant Walt Whitman rêve au succès lorsque, jeune homme de 23 ans, il s'attelle à l'écriture de son premier roman. Ce succès, il l'obtiendra, puisque vingt mille exemplaires de son livre sont vendus à sa sortie en 1842. Feignant de se joindre aux ligues de vertu en revêtant l'apparence d'un prêcheur de l'antialcoolisme, Whitman a, en réalité, un tout autre but. En s'inspirant d'illustres prédécesseurs - les romans picaresques anglais du siècle précédent - il plonge le lecteur dans le tourbillon de New York, lieu de tous les excès, où les tentations de manquent pas. Il nous livre un roman haletant à travers un récit à la première personne où bons et mauvais anges côtoient le serpent tentateur, voies de l'expiation ou de la réhabilitation. On s'étonne qu'il ait fallu attendre plus de cent quatre-vingts ans pour que soit proposée cette première traduction française.

03/2022

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Poches Littérature internation

Et l'âne vit l'ange

Dans la communauté des Ukolites, accablée par un déluge qui dure depuis bientôt trois ans, Euchrid n'a pas sa place. Chez ses religieux fanatiques, un handicap est signe de malédiction divine, et Euchrid est muet. La violence, l'ivrognerie, l'hypocrisie, la mesquinerie sont son lot quotidien. Et l'âne vit l'ange est une chronique de l'univers sombre et dérisoire de l'Amérique profonde, vue par un jeune cynique persécuté.

04/2012

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Romans de terroir

L'enfant du buron

Elevé par un père brutal et injuste, le jeune Léon Tailledur est envoyé à l'estive comme "garçon à tout faire". Au fil des ans, sur les hauts plateaux, il s'affranchira de son naturel timide et renfermé jusqu'à devenir un chef de troupeau respecté. Sa famille alors ruinée par l'ivrognerie du père, Léon n'aura de cesse que de prendre sa revanche : racheter l'ancienne ferme familiale et trouver celle qui saura partager sa nouvelle destinée...

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Littérature étrangère

Demain, ce seront des hommes

Ce livre est un roman, mais aussi un document. Il rapporte deux mois de la vie privée de quelques élèves dans une école militaire américaine en 1940. C'est une succession de brimades poussées jusqu'au sadisme, d'altercations haineuses, de camaraderies insincères ou troubles, de débauches sordides et d'ivrognerie sommaire, tout cela aggravé par la mécanique déprimante du formalisme militaire. Calder Willingham, en se contentant de décrire des scènes de violence avec une simplicité terrible, a dressé un réquisitoire extraordinaire contre la brutalité, la méchanceté et l'hypocrisie auxquelles peuvent atteindre les "cadets" d'un Saint-Cyr américain - un réquisitoire émouvant et tragique, par la lumière qu'il jette sur l'état d'esprit de toute une jeunesse américaine.

01/1952

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Littérature française

Morne raide

Un jeune couple va vivre un conflit intense suite à la chute brutale de l'homme dans l'alcool. Sa compagne va le quitter, c'est alors pour l'homme une dégringolade accélérée dans l'ivrognerie, la dépression, la souffrance et le mal-vivre. "Morne raide" démarre ainsi dans une altercation brutale des deux protagonistes. En toile de fond un autre personnage mythique, mystérieux, Ambroise-chien porte en sa présence toute la charge des "kwayandiz" du Pays-Guadeloupe. C'est un gadèdzafè- frotteur-guérisseur, un sage marginal déguenillé qui a hérité de son grand père Makolo-Gwopyé, de véritables pouvoirs et dons venus d'Afrique. Il guérit. Il voit et prédit l'avenir. Ainsi il a une vision tragique de l'homme Laurélien, bien avant que ce dernier ne mette un terme à sa vie...

11/2019

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Poches Littérature internation

La cave

" Partir dans la direction opposée " à celle qu'il a prise, comme chaque jour pour se rendre au lycée, voilà ce que décide soudain Thomas Bernhard à quinze ans. Ce demi-tour décidera de toute sa vie. Il ne le regrettera jamais. Pourtant les conditions sont dures dans la cave de M. Podlaha, le magasin d'alimentation où il a trouvé une place d'apprenti. Aucun travail ne le rebute. Et quelle clientèle ! Dans ce quartier que la ville tient à l'écart, c'est la misère, l'ivrognerie, le crime, le suicide. Dans ce style bien particulier où la répétition de mots, de groupes de mots, développe comme un thème musical une pensée à la fois obsédée et obsédante, Thomas Bernhard raconte son adolescence, les siens, entassés à neuf dans trois pièces, et son goût pour la musique.

01/2003

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