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Dossier

Nouvelles têtes : les éditeurs suisses jeunesse et BD la jouent collectif

Nouvelles têtes est un projet porté par trois maisons d’édition suisse, axé sur la bande dessinée et la jeunesse. Considérant que l’union fait la force, Antipodes, Helvetiq et La Salamandre ont sorti de leur catalogue le meilleur de leurs ouvrages. Une mise en lumière inédite, où les textes se répondent, exposant des lignes éditoriales variées où se retrouvent les problématiques contemporaines.

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Dossier

Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024 : 10 ans déjà

Depuis son inauguration en 2014 par le Service des bibliothèques & archives de Lausanne, responsable de la stratégie littéraire, le Prix du livre de la Ville de Lausanne s'est consacré pendant une décennie à soutenir les auteurs de Suisse romande et leurs fidèles lecteurs. Une odyssée littéraire qui promet de perdurer !

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Dossier

Réussir le crime parfait, en 10 leçons

Le colonel Moutarde, la bibliothèque et le chandelier évoquent aujourd'hui quelque chose de délicieusement suranné. Pourtant, les parties endiablées de Cluedo à la recherche d'un coupable ont suscité des heures d'amusement. La victime méritait bien que son assassin soit identifié. Et au fil des indices, la vérité éclatait. Peut-être parce que ce cher Colonel n'avait pas suffisamment réfléchi son coup. Puisse ce dossier lui venir en aide... 

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Marc Voltenauer

Né en 1973 à Genève, Marc Voltenauer se destinait à être pasteur. Après des études de théologie, il réoriente sa carrière vers la banque puis l’industrie pharmaceutique et écrit son premier roman, Le Dragon du Muveran qui a obtenu le Prix SPG au Salon du livre de Genève. 

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Dossier

De Michel Glardon à Jean Richard : histoire des Éditions d'en bas

En raison de la crise sanitaire du Covid-19 et à la suite de la fermeture des librairies, sans oublier l’annulation des salons du livre, les Éditions d’en bas ont choisi la riposte. La maison, qui célèbre ses 45 ans, a souhaité partager son histoire, à travers des podcasts et des vidéos de leurs auteurs. Mais également faire découvrir des livres plus anciens à travers toutes ces années de publications.

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Dossier

Le Manque : chansons et plus si affinités

Le groupe Le Manque se compose de deux vaillants troubadours – ou trouvères, en regard de leur position géographique. Christophe Esnault dans le rôle principal et Lionel Fondeville derrière la caméra, arrosent internet de leurs vidéos, depuis Charte. Avec humour option 40e degré, voir gratte-ciel ou prosaïsme déconcertant.

Extraits

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Sciences politiques

Ismaël contre Israël. Genèse du conflit israélo-arabe

La Palestine a-t-elle été à la fois promise aux Arabes et aux Juifs pendant la Première Guerre mondiale comme il est d'usage de le penser ? Comment l'intervention des grandes puissances et de la communauté internationale, la Société des Nations puis l'Organisation des Nations unies, a-t-elle en partie scellé le sort de cet Orient complexe ? Et quel rôle tiennent les nationalismes arabes et le sionisme nés à la fin du XIXe siècle au sein du conflit israélo-arabe ? Cette guerre qui a pris des proportions démesurées, idéologiquement et internationalement, semble ne pas avoir d'issue. Au-delà de la simple lutte territoriale, le conflit israélo-arabe ne tiendrait-il pas d'une haine fratricide qui trouverait sa source dans la Genèse, à travers le désir de vengeance ressenti par Ismaël, l'enfant adultérin d'Abraham, à l'égard de son frère légitime Isaac, père d'Israël ? Une brillante synthèse qui met en lumière un siècle d'occasions manquées entre Arabes et Juifs, et propose une réflexion historique et géopolitique subtile. A titre de repère, une chronologie retrace en fin d'ouvrage les moments clés du conflit de l'Antiquité à nos jours, et une série de cartes matérialise ses mutations et son évolution au XXe siècle.

03/2017

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Littérature française

La cuisse de Kafka

Au lendemain d'un tremblement de terre, Mina Baïlar quitte son pays et débarque à Paris avec un manuscrit pour tout bagage. Sans ressources, et parce qu'il faut bien " gagner sa tombe ", elle accepte un emploi dans un centre d'accueil pour jeunes en détresse. La survie assurée, l'esprit renaît chez Mina, des bribes d'enfance resurgissent : sa sélection dans l'équipe des célèbres gymnastes roumaines ; les lectures de Mme Tobias, une Parisienne échouée aux portes de l'Orient ; l'amour d'un étrange Tzigane ; le harcèlement des censeurs omniprésents qui la poussaient vers la folie ; les moments d'extrême solitude où ne lui restait plus qu'un seul mot - un mot qui n'était ni malade mentale, ni tortionnaire, ni traître, ni fonctionnaire, un mot qui faisait battre mon cour et remplissait mes poumons : liberté. Et voilà qu'en exil, la jeune fille qui rêvait en français, se voulait poète et se croyait sortie de la cuisse de Kafka, intéresse un éditeur. Cette fois, Mina découvre le monde littéraire, rend visite à Ionesco, croise Cioran. Reste à l'estampiller " romancière dissidente " et sa carrière est lancée. Mais la révolte court dans les veines de Mina ; elle se joue des limites et des rôles imposés, et file vers son destin : écrivain. Poignantes ou cocasses les aventures de Mina Baïlar racontent le désir et la vie prodigués par l'écriture, mais aussi par les mots d'une langue étrangère - ce français que l'auteur a fait sien depuis toujours.

02/2003

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Critique littéraire

De Kafka à Kafka

Description d'un combat est le titre du premier livre de Kafka. Combat qui n'admet ni victoire ni défaite, et cependant ne peut s'apaiser ni prendre fin. Comme si Kafka portait en lui ce bref dialogue : "De toute manière, tu es perdu. - Je dois donc cesser ? - Non, si tu cesses, tu es perdu". C'est en ce sens que parler de Kafka, c'est s'adresser à chacun de nous. C'est un tel combat que voudrait tenter de décrire ce livre, combat obscur, protégé par l'obscurité, dont on peut dire avec trop de simplicité qu'il se montre sous quatre aspects, représentés par les rapports avec le père, avec la littérature, avec le monde féminin, et ces trois formes de lutte se retraduisent plus profondément pour donner figure au combat spirituel.

03/1994

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Critique littéraire

Kafka

Kafka est l'un des mythes majeurs et les plus énigmatiques de notre siècle. Kafka avait le sentiment d'être un homme sans patrie ni famille, une lacune, une pure négativité, un jongleur marchant dans le vide. Aussi seul qu'un animal ou qu'un objet abandonné dans une soupente, il avait conscience d'être l'Etranger. Il vivait et écrivait dans sa geôle intérieure, tandis que la nuit glissait sur ses épaules, obéissant à la voix de l'inspiration, à la voix des démons, à la voix des ténèbres, à la voix de l'animal qui restait tapi près de son coeur. Lui qui désirait tant le bonheur, il ne pouvait pourtant pas le supporter, convaincu de devoir écouter l'angoisse et de suivre la voie qu'elle lui désignait. Davantage qu'un roman, qu'une biographie ou qu'un essai, le livre de Pietro Citati est le rêve que chacun de nous rêve et continuera de rêver autour de Franz Kafka.

10/1991

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Critique littéraire

Mon Kafka. Kafka, l'unique

"Ce dimanche 19 juillet 1910, j'ai dormi, je me suis réveillé, dormi, réveillé, misérable vie". Franz Kafka, Journal. "J'y songe souvent et, chaque fois," je me demande quand dans ma vie est apparu le Journal. Impossible de dater cette apparition, mais il me semble tout de même que ce fut très tôt, dès mes premières années d'étude, presque à l'âge où Kafka a commencé à l'écrire. Il ne m'a plus quitté. Ce grand livre souffrant, tragique et drôle, n'est pas de ceux qui détruisent, mais de ceux qui sauvent, qui donnent de la force. On y revient, sans cesse. Parcouru par la douleur de l'existence, il est traversé par la lumière. D'une beauté déchirante, il est transpercé par l'échec, par l'angoisse lancinante de l'échec, par le désir de solitude et par le désir de la rencontre, par la nécessité menacée d'écrire et la douleur du corps, du "désespoir que me causent mon corps et l'avenir de ce corps" (1910). "Je suis une fois de plus tiraillé à travers cette fente longue, étroite, terrible, dont, à vrai dire, je ne puis triompher qu'en rêve. A l'état de veille et par la seule force de ma volonté, je n'y parviendrais jamais" (5 décembre 1919). Aujourd'hui je parcours à nouveau le Journal par le biais de cette quête particulière de l'écriture de ses rêves, de ses visions d'avant le sommeil ("mais je n'ai pas dormi du tout") et de l'immédiat après réveil. Franz Kafka écrit comme on dessine - c'est l'écriture la plus proche du dessin que je connaisse. Quelque chose que je n'ai jamais vu ailleurs. Et, dans le Journal, le travail incessant de cette écriture se frayant un chemin par approches successives, cet effort pour aller vers cette vérité dépouillée est incomparable - Kafka dessine. "L'insatisfaction dont une rue offre l'image, chacun lève les pieds pour quitter la place où il se trouve" (21 août 1912). "Tout oublier. Ouvrir la fenêtre. Vider la chambre. Elle est traversée par le vent. On ne voit que le vide, on cherche dans tous les coins et l'on ne se trouve pas" (19 juin 1916). "Vague espoir, vague confiance" (2 novembre 1921). "Cet après-midi, rêve d'une tumeur sur ma joue. Cette frontière oscillant perpétuellement entre la vie ordinaire et une terreur en apparence plus réelle" (22 mars 1922). "Mon travail se clôt, comme peut se fermer une plaie qui n'est pas guérie" (8 mai 1922). La plaie n'est pas et ne peut se guérir, chaque page ouverte du journal l'est sur une douleur et sur un récit mêlé de désespoir et de lumière. Pour moi, les images, ce que j'appelle cette évocation si violente qu'elle s'apparente donc au dessin, se reçoivent de façon viscérale, intense ; elles se ressentent physiquement : ce sont des mots qui agissent sur le corps, qui pénètrent avec toute la force que nécessita leur expulsion. "Mon Kafka" , il est celui de tous et celui singulier de chacun. Marina Tsetaïeva écrivit "Mon Pouchkine" en 1937. Mon titre lui est un évident hommage. Anne Gorouben, Paris, juin 2015 Anne Gorouben est née en 1959 à Paris. A l'Ecole nationale supérieure des arts décoratifs, elle suit les cours de Zao Wou Ki. Depuis, elle expose régulièrement ses peintures et ses dessins en France ou à l'étranger. En 2003, elle présente notamment un hommage à Paul Celan au musée d'Art et d'Histoire du judaïsme à Paris. Son cycle "d'Odessa à Odessa" est exposé dans différents centres d'art en France et en Ukraine. Ses oeuvres sont présentes dans des collections publiques et privées en France et à l'étranger. Elle a publié 100, boulevard du Montparnasse en 2011 aux éditions Le Cahier Dessiné et contribue depuis à la Revue.

10/2015

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Critique littéraire

Traduire Kafka

J'écris maintenant à nouveau ce que j'ai entendu, ce qui m'a été confié. Pourtant cela ne m'a pas été confié comme un secret que je devrais garder, seule m'a été immédiatement confiée la voix qui a parlé, le reste n'est pas un secret, plutôt de la poussière de paille ; et ce qui s'envole de tous côtés quand le travail est fait, c'est cela qui peut être communiqué, car cela n'a pas la force de rester tranquille, dans un abandon silencieux, lorsque ce qui lui a donné la vie s'est dissipé en fumée.

04/2019

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