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Histoire de France

Angélique Arnauld

De Mme de La Fayette à la Grande Mademoiselle, le XVIIe siècle ne manque pas de figures féminines puissantes, mais c'est sans doute Angélique Arnauld (1591-1661), la célèbre abbesse de Port-Royal, qui intrigue le plus. Placée enfant à la tête d'un couvent, sans vocation réelle, elle connut le désespoir d'un destin fort commun à l'époque mais aussi la révélation qui lui donna la force de réformer son abbaye contre vents et marées, contre rois, ministres, archevêques. Seule la règle de Saint Benoît guida ses pas. Loin de décourager les vocations, sa réputation de rigueur attira de nombreuses femmes éprises d'absolu, et même certains des plus brillants esprits du temps - Le Maître de Sacy, Pierre Nicole, Pascal, Racine... Elle entretint pour sa part de fécondes relations épistolaires avec les personnalités les plus marquantes de ce qui fut la Réforme catholique, notamment François de Sales et Jeanne de Chantal. Image centrale du jansénisme - avec son frère Antoine Arnauld et l'abbé de Saint-Cyran -, elle conserva une attitude inflexible et ne plia devant le pouvoir - Louis XIV - que contrainte et forcée. Longtemps dédaignée par les biographes de Port-Royal, cette femme qui, toujours, ignora les compromissions fascine encore par son indépendance d'esprit et son énergie.

05/1998

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Littérature française

La filleule de Lagardère. L'héritière

La comtesse de Rochefort et ses amis : études sur les moeurs en France au XVIIIe siècle, avec des documents inédits / par Louis de LoménieDate de l'édition originale : 1870Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur sur le site hachettebnf.fr

12/2016

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Actualité médiatique France

Grandeur et décadence de la maison Lagardère

Lagardère. Un nom mythique. Un patronyme français aussi célèbre que Dassault et Michelin. Matra n'est qu'une petite entreprise d'armement quand Jean-Luc Lagardère en prend les rênes en 1963. Le capitaine d'industrie côtoie les hommes politiques les plus influents, du gaulliste Georges Pompidou au socialiste Pierre Mauroy. Il enchaîne les succès. Les victoires de Matra aux 24 heures du Mans, Europe 1, naguère première radio de France, l'acquisition d'Hachette, la création d'EADS, maison mère de l'avionneur européen Airbus... . Puis vient le temps des revers. Echec de la privatisation de TF1, fiasco du club de foot du Racing, faillite de la chaîne La Cinq... Et dans la famille Lagardère, vie privée et professionnelle s'entremêlent, se confondent. Quand l'héritier Arnaud Lagardère sombre dans le coma après un accident de voiture sur les routes normandes, en 1981, son père négocie avec les socialistes la nationalisation de Matra. L'empire bascule en 2003 à la mort brutale de Jean-Luc Lagardère. Son fils, élevé selon les "Mémoires pour l'instruction du Dauphin" écrites par Louis XIV, prend sa suite. Il se désengage d'EADS et de la presse, investit dans le sport... Sans grand succès. Il rencontre sa deuxième femme, Jade, un mannequin de près de trente ans plus jeune que lui. On le dit dilettante. On prédit sa chute car il croule sous les dettes. Face aux attaques, Arnaud Lagardère sauve sa peau grâce à deux milliardaires, Bernard Arnault et Vincent Bolloré, qui lorgnent sur les dernières pépites du groupe : Hachette, Paris Match, Europe 1. La fin de l'illustre maison familiale semble proche...

02/2022

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Economie (essai)

Successions. L'argent, le sang et les larmes

Vincent Bolloré a rebâti son empire pour le rendre désirable... aux yeux de ses enfants. Mais il ne lâche rien. Bernard Arnault élève les siens comme on entraîne des chevaux de course. Jérôme Seydoux ne juge personne à sa hauteur. Dans la tribu Bouygues, c'est l'outsider qui a finalement gagné. Arnaud Lagardère, lui, a réduit méthodiquement l'héritage de son père, comme une vengeance oedipienne... Méconnues jusqu'à présent, les histoires de succession des Pinault, Decaux, Hermès, Mulliez, Peugeot, Gallimard ou Bettencourt racontent les privilèges, les haines et les trahisons qui empoisonnent les liens du sang.

09/2023

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Actualité et médias

Arnaud Lagardère, l'héritier qui voulait vivre sa vie

« Je me fous de ce qu’on pense de moi ». Ainsi parle Arnaud Lagardère. Il est beau, riche, et règne sur un empire de 8 milliards de chiffre d’affaires et plus de 20 000 salariés. Il dirige l’un des plus importants groupes de médias occidentaux et préside un fleuron de l’armement et de l’aéronautique. A 51 ans, il s’apprête à épouser Jade Forêt, un mannequin belge de 22 ans, qui vient de lui donner une fille. Il est le fils d’une icône du monde industriel français, Jean-Luc Lagardère, un père solaire, décédé subitement en 2003. On le dit dilettante, insolent, inconséquent. On dit aussi qu’il est gravement endetté, que son groupe va mal, qu’un fonds qatari serait en embuscade. Qui est vraiment Arnaud Lagardère ? Il se comporte tantôt comme un ado versatile, allergique à son emploi, tantôt comme un patron séducteur, peu enclin à négocier avec ceux qui contrarient ses visées. Voici l’histoire d’un héritier devenu grand patron sans en avoir rêvé.

11/2012

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Vins, alcools, boissons

Moët & Chandon. De Claude Moët à Bernard Arnault

Commencé en 1717 par Claude Moët, le commerce du vin s'est développé constamment dans sa Maison jusqu'à donner naissance à LVMH. Avec leurs économies et leur esprit d'entreprise, ses héritiers achètent des vignes et des terrains, creusent des caves, construisent des bâtiments, font oeuvre industrielle. Ils reçoivent successivement Napoléon Ier et le tsar, Louis-Philippe et Napoléon III, Georges V et le Kronprinz... Ils font connaître le champagne au monde entier. Mais ils n'oublient ni le personnel ni les vignerons. Dès 1868, bien avant les lois correspondantes, ils créent une réglementation du travail, une caisse de retraite et de prévoyance. Ils défendent les producteurs de raisin, face aux exigences des maisons de commerce. Ils gèrent Moët & Chandon, déjà leader du négoce champenois, à travers guerres, crises, phylloxéra, différends familiaux et accroissement des lourdeurs administratives. De plus, ils maintiennent leur avance. Introduite en bourse en 1962, la Maison se développe en France et à l'étranger avec, outre la sienne, d'autres marques de champagne, de parfum, de cognac... La croissance est fulgurante. Au Palais Brongniart, Moët-Hennessy, après Moët & Chandon, reste un des "blue-chips" de la cote. En 1987, des accords sont passés avec le brasseur britannique Guinness ; Moët-Hennessy est présent partout dans le monde. La fusion avec Louis Vuitton-Malletier modifie la raison sociale, qui devient LVMH. Elle permet à Bernard Arnault d'entrer dans le groupe, de le diriger et d'en prendre le contrôle. Bien diversifié, LVMH devient, à l'aube du XXIe siècle, le premier groupe mondial de produits de prestige. Son histoire méritait d'être racontée, sa réussite analysée et ses hommes ressuscités. Outre trois cents heures d'entretiens avec les actionnaires et les membres du personnel, une riche bibliographie, le dépouillement des archives de la Maison, la consultation des actes notariés et d'état civil ont permis à l'auteur de vérifier ses sources, de rectifier les légendes verbales, d'authentifier les faits. La réalité est belle à dire, elle doit être transmise, elle peut servir de modèle.

04/2011

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