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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Joël Dicker

Joël Dicker est né en 1985 à Genève où il vit toujours. Il est l’auteur de cinq romans traduits en 40 langues qui se sont vendus à plus de 12 millions d’exemplaires.

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Dossier

Molière : le génie du théâtre à l'honneur en 2022

Si la langue française est devenue, au fil du temps, « langue de Molière », c'est bien parce que le dramaturge est l'une des figures littéraires les plus populaires en France et dans le monde. Le 400e anniversaire de son baptême, fêté en janvier 2022, est l'occasion de redécouvrir l'œuvre et l'héritage du comédien favori de Louis XIV, ainsi que de suivre les évènements de cette année de commémoration. 

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Dossier

Axelle Demoulin et Nicolas Ancion : traducteurs à quatre mains

Avec plus d'une centaine de romans traduits de l'anglais et de l'espagnol, Axelle Demoulin et Nicolas Ancion forment un des tandems les plus productifs de la traduction en langue française. Bon nombre des titres qu'ils ont traduits en français ont figuré parmi les meilleurs vendeurs en littérature Young Adult, comme la trilogie À travers ma fenêtre, d'Ariana Godoy chez Hachette, ou la série Serpent & Dove de Shelby Mahurin, publiée par De Saxus. 

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Dossier

Alfonic : une méthode pour apprendre à lire et écrire aux plus jeunes

Originellement pensée comme une méthode simplifiant la découverte de la langue, par le linguiste André Martinet, Alfonic était appelée « graphie phonologique Martinet ». Devenu la contraction de « alphabet phonétique », ce système d’apprentissage concerne les jeunes enfants. 

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Dossier

Le Prix du roman Fnac

Créé en 2002 par la chaine de magasins spécialisés dans la culture Fnac, le Prix du roman Fnac fait partie des premiers prix de la rentrée littéraire. Pendant l’été, 400 adhérents et autant de libraires Fnac s’immergent dans les centaines de romans de la rentrée littéraire, qu’ils apprécient en toute indépendance, contribuant ainsi à une première sélection de 30 ouvrages.

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Dossier

“Grands romans”, une littérature inoubliable

Les plus grands romans, tout simplement. Venus de toutes les époques et de tous les continents, ces ouvrages de la collection créée en 2006, se sont vendus à plus de 2 millions d’exemplaires. « Les Grands Romans, passionnément ! », tout simplement.

Extraits

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Poésie

Feuilles de langues romanes

Ces Feuilles de langues romanes sont tirées d'un cahier retrouvé dans une malle en 1976 parmi d'autres manuscrits inédits de Pier Paolo Pasolini. Le projet date sans doute de 1945, trois ans après la publication de son premier recueil, en frioulan, Poèmes à Casarsa. Il s'agit de douze brefs poèmes en "espagnol" , avec des traductions, en italien et en prose, reportées à la fin, comme dans les recueils frioulans. La "langue" de ces douze étranges poèmes - qui fera sourire ou rire ou froncer les sourcils d'un lecteur espagnol - invalide toute forme d'identification des fautes et des limites, ne s'autorisant que du dictionnaire et des poèmes admirés par Pasolini, ceux de Jiménez, de Machado, de Lorca, du "romancero" populaire espagnol. Nous donnons aujourd'hui la première traduction française de ces Feuilles en proposant un insolite et intriguant volume trilingue.

06/2023

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Littérature française

Le roman algérien de langue française

Le Privilège du Phénix ; Ce roman paru en 1989 sous le vrai nom de yasmina khadra, Mohammed Moulessehoul, revient à l'actualité littéraire qui a porté l'auteur à la célébrité internationale avec notamment, a quoi rêvent les loups ? et son écrit autobiographique l'écrivain. Le récit à pour cadre, l'Algérie aux premières années de la conquête coloniale. Il se construit sur une énigme du personnage Flen qui n'a plus que ses pas errants à travers le pays déstructuré, Liaz un nain, s'emploie à lui faire retrouver la dignité du nom. Le lecteur familier de l'écriture photographique de khadra retrouvera, dans cette odyssée du tragique et du beau, la langue allégorique de moulessehoul.

12/2013

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Breton

LANGUE BRETONNE, LANGUES MINORISÉES: AVENIR ET TRANSMISSION FAMILIALE

Les actes du colloque international, tenu en novembre 2018 à l'Université de Bretagne Sud à Lorient, tiennent une place spéciale dans le processus de réflexion sur l'avenir de la langue bretonne (et donc des autres langues dites minorisées). De toutes les petites langues territorialisées sous l'administration de la République française, la langue bretonne bénéficie d'une des meilleures visibilités, mais c'est aussi celle qui connaît l'une des transmissions familiales parmi les plus basses. Si basse que l'on pourrait penser que la transmission intergénérationnelle est interrompue. Ces actes offrent, pour la première fois en Bretagne, l'occasion de mener une réflexion sur la place de la transmission familiale. Une réflexion menée sur l'articulation entre familles, environnement linguistique, préscolarisation et scolarisation par le médium de la langue bretonne. La question qui se pose n'est pas tant celle de l'avenir de la langue bretonne que celui des brittophones : leur donner les moyens de la transmission intergéné­rationnelle de leur langue comme il se doit dans tout pays démocratique. C'est-à-dire déterminer les bases qui permettent de faire de la langue bretonne la langue de leur famille dans un environnement linguistique favorable, de faire d'une langue apprise, le plus souvent, une langue à nouveau vernaculaire. La question des droits linguistiques est posée. Ce colloque a accueilli des spécialistes venus d'Irlande, d'Ecosse, du pays de Galles, de Catalogne, de Bretagne qui ont exposé les résultats de leurs recherches dans le domaine de la transmission, notamment familiale. C'est maintenant aux décideurs de s'emparer des conclusions de ce colloque. Textes réunis par Immaculada Fàbregas-Alégret (UBS) & Herve Le Bihan (R2), précédés d'une introduction.

04/2023

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Linguistique

Géopoltique des langues romanes et autres

D'après le linguiste De Saussure, étant donné que tous nous parlons, nous avons une idée de notre langue mais pas forcément conforme à celle du linguiste. Ainsi, présenter simplement l'état et le rôle de notre propre langue - et des langues en général - est l'objectif de cet ouvrage de vulgarisation. Nous allons déborder la linguistique stricte pour aller vers l'usage social de la langue et, pour cela, nous nous sommes intéressés aux variations que ce même usage implique. Cependant, l'actualité nous impose la question du rôle politique de la langue, ce qui implique une analyse des situations linguistiques en France et en Espagne (chacune occupant un tiers du livre), mais aussi celles d'autres pays et d'autres langues dont l'actualité nous informe de la tragédie de peuples victimes de guerres. Voilà pourquoi le choix d'une géopolitique des langues s'est imposé à nous, comme une réalité. Nous nous référons à deux cas précis et dramatiques, celui du Kurdistan, nation sans état, mais aussi celui de l'Ukraine et le drame qu'elle traverse. Ces deux cas extrêmes nous permettent de mieux comprendre ce qui se passe pour des langues proches de nous. Quant à celles de nos propres pays, elles ne sont pas soutenues par l'Etat. Nous en appelons à un Etat plus démocratique, et respectueux de sa propre diversité. Gentil Puig-Moreno est né en 1934 en Catalogne-Sud, près de la montagne de Montserrat. En 1939, après la victoire de Franco, il arrive en France , d'abord à Toulouse puis étudiant à Paris à la Sorbonne en 1960. Docteur de linguistique romane, à l'Université de Montpellier, sous la direction de l' occitaniste, Robert Lafont. Il est retourné en Catalogne après mai 68, Passeur de cultures et défenseur du pluralisme, il est professeur honoraire de l'Université Autonome de Barcelone et de l'Université de Perpignan.

11/2022

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Critique littéraire

Le nom des langues. Tome 4, Nommer des langues romanes

Ce volume IV de la série Le nom de langues créée par A. Tabouret-Keller porte sur la nomination des langues romanes. En abordant dans le cadre d'un même phylum les processus de nomination - qui manifestent en réalité, comme il a été plus que démontré dans les volumes précédents, des processus de création et d'élaboration des langues -, ce volume pose la question des héritages du latin et d'une éventuelle cohérence millénaire. On ne prétend cependant pas ici résoudre cette question. Envisagé dans des profondeurs diachroniques diverses, un même questionnement principal traverse les différents cas : quel est le rapport de la nomination à l'existence même des langues, c'est-à-dire à leur accession à l'existence reconnue socialement et politiquement ? Les études de cas portent sur la français d'Acadie, le castrapo de Galice, le francoprovençal, le cajun de Louisiane, le genovese, le catalan, le gallo et le picard. On se rappellera que les volumes précédents de la série abordaient aussi des cas comme le roman, l'aroumain, l'occitan, le francanglais, le nouchi ou des créoles portugais d'Afrique. Cette simple énumération suggère assez le caractère novateur de la problématique de la nomination - et pas seulement du "nom des langues" : sans s'arrêter à une nomenclature consensuelle des savants, plutôt peu évolutive, les chercheurs observent ici, en socio-linguistes autant qu'en philologues, des processus créatifs nombreux et multiformes, en tout cas complexes par la récurrence des conceptions sur les pratiques. Toutes ces variétés illustrent que l'individuation linguistique, dont la nomination est un moyen ou un aboutissement, met en cause des données anthropologiques fondamentales et tout le jeu des réalités sociales, politiques et des débats idéologiques au sens le plus large. La rencontre proposée ici, entre l'intérêt porté traditionnellement aux langues romanes et le développement contemporain des recherches sociolinguistiques, contribuera sans doute à renouveler une thématique romaniste aux nombreuses implications d'avenir.

04/2016

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Linguistique

Langue

Dans cet essai, il s'agit de comprendre pourquoi la prévalence de la langue est avant tout un outil du pouvoir afin de discréditer toute forme d'émancipation langagière et donc politique. En France, la " langue française " a été construite par une élite à partir du XVIIe siècle afin de devenir à la fois un objet de culte national et un instrument de domination sociale. Ainsi homogénéisée, fixée, sacralisée, la notion de langue a totalement évincé une autre manière d'envisager le langage et les pratiques langagières, définissables à travers le terme de parole. Au nom de sa domination, " la langue " a entraîné des hiérarchisations visant à dévaloriser des formes non institutionnalisées ou non écrites auxquelles on a collé des étiquettes telles que patois, dialectes, pidgins, mélanges, petit-nègre, etc. Bien entendu, ces hiérarchies ont été exportées pendant la colonisation afin d'imposer la langue supposée " civilisée " du colon face aux langues africaines uniquement appréhendées à l'aune de cette vision politique du langage : sans écriture, sans complexité, sans flexion, les langues africaines n'étaient pas considérées comme de vraies langues. Pourtant " kan " en bambara, ou " làkk ", en wolof, ne désigne pas plus la " langue " que " le parler " ou toute autre manière de communiquer dont dispose un ensemble de personnes afin de vivre, de philosopher ou de créer, à un moment donné dans un espace donné... C'est à une tout autre façon de penser le langage que nous portent les pratiques langagières. Observer la vie du langage en société à partir de la notion de " parole " change la manière même d'appréhender la société et l'histoire. A travers les particularités liées aux interactions, aux dialogues, aux échanges que suppose ce terme, nous souhaitons inverser la perspective : parler est avant tout un outil d'émancipation, et c'est ce qui dérange actuellement les tenants de ce que certains nomment la " novlangue ". En cheminant à travers l'éclosion d'une parole libre en 1968 ou plus récemment en 2019-2020 avec les Gilets Jaunes, jusqu'à l'invention d'une parole libre notamment avec l'exemple du nouchi de Côte-d'Ivoire, ce livre se veut un retour à la parole comme force vive des rapports humains face aux rapports de pouvoir qu'instaure " la " langue. Enfin, un dernier détour par l'examen de l'imposition d'un discours managérial à dominante autoritaire nous permettra de comprendre pourquoi la prévalence de la langue est avant tout un outil du pouvoir afin de discréditer toute forme d'émancipation langagière et donc politique.

05/2021

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