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Les habitués de la librairie BooksActually, située à Singapour, ont découvert l’opération montée la semaine passée avec plaisir. Depuis le 3 juin, deux Book Machines ont été déposées au National Museum of Singapore et au Singapore Visitor Centre. Une troisième fera son apparition au Goodman Arts Centre dans le courant du mois. Près de 150 exemplaires de 22 titres sont ainsi proposés aux curieux.

Blio, véritable machine à tuer pour la lecture de livres numériques

C'est désormais officiel, mais nous y reviendrons plus en détail, Amazon va proposer plusieurs nouveautés dans les semaines à venir, pour conforter sa position de leader dans le domaine de la lecture numérique.

La PocketBook Touch Lux 3 est la dernière-née du fabricant ukrainien, qui entend mettre tout le monde d'accord avec un nouvel appareil. Le design est d'ailleurs assez agréable, et les qualités techniques font rougir. Reste qu'au niveau tarif, ce modèle persiste, comme d'autres, à rester au-dessus de la barre de 100 €. Rédhibitoire.

Les parents ne pourront plus les trouver en bibliothèque Le National Library Board de Singapour a pris cette semaine une décision plus que controversée : suite à une plainte, le choix a été fait de retirer trois livres pour enfants des étagères. En effet, ayant pour thème commun l'homoparentalité, les ouvrages ont été jugés comme allant à l'encontre des conceptions traditionnelles de la famille. Et pour avoir osé, les livres ne seront pas seulement retirés : ils iront directement au pilon…

À Singapour, le National Library Board a décidé de suspendre les prêts en bibliothèques de 130 titres, dont 8 issus d’une collection portant sur la religion, l’archéologie et la civilisation dont le contenu était jugé antisémite, discriminatoire et violent. Une polémique qui vient remettre en question le contrôle des catalogues en bibliothèque. 

Moins de six jours après la décision du National Library Board (NLB) de retirer trois livres traitant de l'homoparentalité, le scandale continue. L'affaire ne s'en est en effet pas tenue à quelques lettres de désapprobation et à un groupe Facebook. En effet, de nombreux écrivains ont engagé des gestes symboliques : trois juges du jury du Singapore Literature Prize de cette année (prix littéraire le plus prestigieux de la ville) se sont ainsi désistés. Des actes qui ne semblent cependant pas influer sur une censure de plus en plus pointilleuse et préventive. 

Après avoir passé en immersion quarante jours dans un abattoir, le journaliste Geoffrey Le Guilcher livre un témoignage glaçant. Intitulé Steak Machine, son ouvrage est publié par la toute jeune maison d’édition Goutte d’Or, avec un premier tirage à 4500 exemplaires. Selon une journaliste de Ouest-France, ce livre n’était pas facilement accessible dans bon nombre des Espaces culturels Leclerc.

Le pilon, cette énorme machine à broyer les livres

Le ministre de l'information de Singapour, Yaacob Ibrahim, a annoncé que deux des trois livres sur l'homoparentalité censés être retirés des bibliothèques et détruits ne le seront finalement pas. C'est face à l'ampleur de la contestation qui avait suivi la décision de la National Library Board (NLB), que le ministre a choisi d'annoncer sur sa page Facebook une modification de la décision. 

À Singapour, il y aurait l’un des meilleurs programmes de lecture du monde. Pourtant, le pays n’est pas réputé pour être peuplé de grands lecteurs. Pour y remédier, les dirigeants tentent de lancer dès ce mois-ci des livres au format très réduit dans les transports en commun.

Après le Rocket eBook (de Nuvomedia) lancé en 1998 et le SoftBook Reader (de SoftBook Press) lancé en 1999, nous avons le Gemstar eBook lancé en novembre 2000 aux États-Unis et le Cybook (de Cytale) lancé en janvier 2001 en Europe. Après une période morose, le temps d’étoffer un peu l’offre en livres numériques et de faire baisser le prix des tablettes, des modèles plus légers gagnent en puissance et en qualité d’écran, par exemple le LIBRIe (de Sony) lancé en avril 2004, le Cybook (de Bookeen) lancé en juin 2004, le Sony Reader lancé en octobre 2006, le Kindle (d’Amazon) lancé en novembre 2007, le Nook (de Barnes & Noble) lancé en novembre 2009 et enfin l’iPad (d’Apple) lancé en avril 2010.

Depuis l’annonce de sa liquidation totale et définitive (notre actualitté) les librairies Borders mettent la clef sous la porte, les unes après les autres.

En 24 heures chrono, disposer d'un ouvrage, délivré par une machine en libre-service, c'est le défi que relève EnvisionWare 24-Hour Library. L'Oklahoma a décidé de recourir à cette technologie pour répondre aux besoins de ses usagers. L'appareil a été implanté dans le réseau des bibliothèques Pioneer de Norman.

#FBM18 – La Foire du livre de Francfort, une fois de plus, a décidé de lorgner du côté de l’avenir du livre. Et croisant les nouvelles technologies avec les possibilités qu’elles offrent à l’édition, c’est une enquête prospective qui est lancée.

C'est l'histoire d'un homme qui partait en tournée à Singapour, avec un livre à promouvoir. C'est aussi l'histoire d'un homme qui n'avait pas froid aux yeux. Dans son essai, il critiquait férocement la justice du pays, et sa tendance à facilement recourir à la peine de mort...

Le libraire qui avait fait faillite aux États-Unis en juillet 2011 va ouvrir les portes d'un nouvel établissement à Singapour, d'ici la fin de l'année, dans la ville de Jurong. C'est le revendeur local Popular Holdings, qui a annoncé ce matin même avoir acquis la marque l'an passé, en vue de cette ouverture. 

Singapour arrête un auteur britannique trop turbulent

La bibliothèque de Boston a fait sensation en diffusant une petite vidéo d’une machine utilisée pour enlever la poussière des livres. Présentée par la Boston Public Library comme une mini station de lavage automatique, cette solution miracle a même un nom : Oracle. Ô désespoir... de ne pas pouvoir l’installer chez soi.

Espresso Book Machine : 2 millions de livres offerts par Google books

Et un nouveau partenaire pour la société OverDrive, sépcialisée dans la création de portails de prêts de livres numériques pour les bibliothèques. Mais cette fois, pas d'établissement de prêt de livres, c'est un revendeur qui signe...

Le distributeur d'ebooks thaïlandais Ookbee, à l'origine uniquement destiné au marché thaï, devient un immanquable dans toute l'Asie. Si bien que le groupe de médias Singapore Press Holdings a conclu un partenariat avec la plateforme à l'abeille, pour la distribution d'une centaine de ses titres via une application dédiée.

Personne n'a oublié Alan Shadrake, auteur britannique parti en tournée promotionnelle à Singapour, et arrêté, à peine son premier pas posé sur le territoire.

Arrestation à Singapour : la police assume, sans problème

L'encre conductrice d'électricité est une innovation récente, dont les possibilités n'ont pas encore été pleinement exploitées. Deux graphistes du studio parisien Pinaffo Pluvinage et une musicienne se sont réunis autour du projet Papier Machine, une collection de livres utilisant l'encre conductrice pour des expériences autour de l'électronique et, pour le premier volume, de la musique.

« C’est curieux, chez les marins, ce besoin de faire des phrases. » Qu’Audiard s’amuse, dans les dialogues des Tontons flingueurs, des hommes qui prennent la mer, un officier de la marine américaine lui aurait rabattu les écoutilles. Bradley Allen Fiske est considéré comme l’inventeur du premier appareil de lecture véritablement portatif. Une machine qu’il développa dans les années 20…

Ah, les cadeaux qui attendent au pied du sapin, chaque 25 décembre, et dont on se demande comment il sera possible de s’en débarrasser discrètement... Eh bien une société allemande vient de trouver un moyen efficace. Du 28 au 30 décembre, elle s’apprête à promener une grosse machine qui échangera un cadeau pas top, contre un bouquin super ! La classe.

Hodder Education, filiale scolaire de Hachette UK, a annoncé qu’elle a acquis auprès de Pearson son catalogue scolaire en langue anglaise pour Singapour. 

Singapour, pays réputé pour ces lois strictes et sa pratique assidue de la censure, a interdit la distribution d'un livre évoquant justement la censure appliquée dans le monde entier vis-à-vis des caricatures et dessins humoristiques, intitulé Red Lines : Political Cartoons and the Struggle Against Censorship. Des dessins publiés dans Charlie Hebdo en 2006, qualifiés d'« irresponsables, irréfléchis et racistes », sont mis en cause.