librairie réforme scolaire

Malgré sa généralisation lors de la rentrée 2014, la réforme des rythmes scolaires au primaire continue de faire des remous. Si un fonds d’aide continue d’être abondé par l’Etat pour soutenir les communes les plus limitées financièrement, c’est au tour des grandes villes de France de monter au créneau, par la voix de leur association.

Les débats autour de la réforme scolaire, et notamment des collèges, atteignent une ampleur considérable. C’est une caractéristique de la société française qui, pour chaque réforme, a besoin de faire parler chacun de ses corps. Des syndicats à l’Académie française, toutes les institutions prennent position.

Avec la rentrée 2013, ce sont de nouveaux rythmes scolaires qui se mettent discrètement en place au niveau du primaire. Cette réforme voulue par Vincent Peillon verra l'instauration de journées plus courtes pour les élèves avec davantage de place faite pour les activités péri-éducatives. Aux yeux de Vincent Peillon, une « révolution douce » est en marche, rapporte l'AFP.

A l'occasion des débats qui se sont tenus autour du projet de loi pour la refondation de l'école, à l'Assemblée nationale, l'UMP s'est montrée très critique à l'encontre de la réforme des rythmes scolaires proposée par Vincent Peillon, rapporte le site Vousnousils.

Les grands projets autour de l'Education, lancés par Vincent Peillon, ministre de l'Education nationale, à grand renfort de concertations avec des intitulés bien pompeux, semblent peu à peu laisser place au vide. Et les syndicats de s'étonner, voire de s'indigner, à l'image du SE-Unsa. Oui, certains avaient rêvé qu'au-delà des mots, il y aurait des actes.

Le groupe Lagardère a publié ce 8 février son chiffre d'affaires du 4e trimestre 2017, positif, malgré un écart entre données comparables et données consolidées dû à des cessions et des effets de change négatifs. Pour l'activité d'édition, qui participe grandement aux bons résultats du groupe, ce sont surtout les best-sellers, les acquisitions outre-Manche et outre-Atlantique ainsi que la réforme scolaire qui justifient ces bons résultats.

Ce 1er septembre sortira le « Nouveau Manuel d’Histoire », écrit par Dimitri Casali, aux Éditions La Martinière. De son propre aveu, il s’agit d’un « manuel de résistance à la réforme : un anti-manuel pour combler les lacunes des programmes scolaires ». Si l’ouvrage s’adresse avant tout aux élèves, il sera décliné en plusieurs versions, dont une numérique, enrichie et gratuite. Mais le manuel s’inscrit également dans une tout autre approche pédagogique. Entretien.

C'est lors de son passage au sein de l'Ecole supérieure du professorat et de l'éducation de Paris que Benoît Hamon est venu soutenir la réforme des rythmes scolaires au primaire, réforme portée par son prédécesseur, Vincent Peillon.

La réforme des rythmes scolaires, qui doit intervenir à la rentrée 2013, a suscité l'opposition d'une partie des enseignants concernés. On vient d'apprendre qu'ils disposeront d'heures de préparation prises sur les heures d'aide personnalisée et d'animation pédagogique. 

Malgré l'opposition de nombreux enseignants qui ont multiplié les mouvements de grève, la réforme des rythmes scolaires entrera en application dans l'académie de Paris dès la rentrée 2013. La décision a été approuvée au sein du Conseil de Paris, avec 94 voix pour et 69 contre, rapporte l'AFP.

Preuve que la réforme des rythmes scolaires au primaire, rentrée en application dès la rentrée 2013, continue de diviser, certains enseignants seraient prêts à se mobiliser pour défendre son application à la rentrée 2014 dans les communes qui ont profité du délai mis en place par le gouvernement.

Avec le retour à la semaine de 4,5 jours, dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires au primaire, Vincent Peillon semble avoir accumulé les erreurs. Trop écouter les lobbyistes de tout poil. Réduire fortement les ambitions premières de sa réforme. Ne pas tenir compte des exigences du terrain. Résultat : la colère gagne sans cesse de l'ampleur parmi les enseignants.

On s'agite, aussi bien du côté du ministère de l'Education nationale que du côté des enseignants, et pourtant, la réforme des rythmes scolaires ne changera pas grand-chose à la situation actuelle. C'est bien le message qu'a finalement délivré George Pau-Langevin, ministre déléguée à la Réussite éducative, invitée de Radio-classique et Public Sénat samedi dernier, rapporte le site Vousnousils.

La réforme scolaire prendra effet en septembre prochain, et les parents se montrent soucieux de l’avenir. À quelle sauce leur progéniture sera-t-elle éduquée, c’est toute la question ? En dépit des multiples interventions de la ministre de l’Éducation, Najat Vallaud-Belkacem, des doutes subsistent. Qu’à cela ne tienne : l’agitateur public prendra la chose en main. En effet, Fnac prévoit d’organiser « un forum de discussion » dédié à la réforme scolaire.

Mauvais moment pour le groupe Hachette, filiale publishing de Lagardère, qui accuse un recul du chiffre d’affaires de 2,1 %. Une position attendue, explique le groupe, qui rappelle qu’à la même époque l’an passé, la sortie de la pièce de théâtre Harry Potter and the Cursed Child avait fait gonfler le volume. Toutefois, le secteur éducatif, du fait de la réforme en France, permet de bonnes performances.

Avec la mise en place de la réforme des rythmes scolaires au primaire, de nombreux enseignants s'inquiètent concernant les activités périscolaires qui seront mises en place par les minicipalités, rapporte Vousnousils.

Une récente enquête interne du ministère de l'Education nationale montrait que 93 % des communes ne rencontreraient aucun problème dans la mise en place de la réforme des rythmes scolaires (voir notre actualitté). Voici une nouvelle étude, cette fois émanant de l'Association des maires de France (AMF) qui semble taillée pour aller dans le sens voulu par Vincent Peillon.

Selon un sondage organisé par la Peep parmi ses adhérents, 68 % des parents pensent que la réforme des rythmes scolaires mise en place par Vincent Peillon ne changera rien concernant la réussite des élèves, rapporte Vousnousils. Réalisée a minima, cette réforme finit par ne satisfaire plus personne.

Devant la grogne de nombreux enseignants de l'académie de Paris, Bertrand Delanoë semble de moins en moins certain de l'entrée en application de la réforme des rythmes scolaires au primaire dès la rentrée 2013. Il se pourrait bien que la capitale fasse le choix d'attendre un an de plus, rapporte l'AFP.

Alors qu'il se trouvait face à la presse, mardi dernier, le ministre de l'Education nationale a reconnu des « erreurs » dans la gestion de la réforme des rythmes scolaires, rapporte le site Vousnousils.

Après les grandes phrases, il est temps de rentrer dans la réalité de la réforme des rythmes scolaires au primaire. Et, autant dire que Vincent Peillon ne propose que le minimum. Et comment aurait-il pu en être autrement après les nombreuses reculades du ministre face aux différents lobbys ?

Vincent Peillon a annoncé l'entrée en vigueur dès la rentrée prochaine de la réforme attendue des rythmes scolaires, avant de nouveaux changements à la rentrée 2013.

La Bill & Melinda Gates Foundation vient soutenir la réforme scolaire d'Obama

Le tribunal administratif s’est prononcé contre la décision de sept petites communes du Haut-Rhin de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires à la rentrée. Les communes en question n’auront d’autre choix que d’appliquer la réforme comme prévu nous rapporte l’AFP. 

Voilà trois jours, Benoît Hamon a décidé de s'adresser aux parents, pour leur expliquer, pédagogiquement, les vertus de la réforme des rythmes scolaires. « L'adoption de ces nouveaux temps scolaires vise à faciliter l'acquisition par chaque élève des savoirs fondamentaux et à développer en chacun d'eux un véritable goût pour apprendre. » Pas vraiment du goût de tous. Voici la réponse d'un parent d'élève et auteur, au ministre.

La nécessité de mettre en place, dans chaque école, des activités périscolaires une fois que les élèves ont fini les cours au primaire, entraîne des coûts très élevés pour les communes. En effet, la réforme des rythmes scolaires a imposé l'embauche de nombreux animateurs sous des statuts précaires afin d'occuper les élèves.

Le ministre de l'Emploi Michel Sapin a précisé, à la fin de l'année 2013, que 9000 emplois d'avenir étaient attendus pour venir soutenir la mise en place de la réforme des rythmes scolaires au primaire, rapporte Vousnousils.

Depuis la rentrée, la grogne montre à Paris contre la réforme des rythmes scolaires. Quelques centaines de personnes s'étaient réunies lundi soir pour dénoncer une mise en application trop rapide d'un texte pas assez négocié. Devant l'Hôtel de Ville de Paris, on retrouvait aussi bien des enseignants que des parents d'élèves, rapporte Vousnousils.

Après l'adoption de la réforme des rythmes scolaires au primaire, il s'agit désormais pour le ministère d'aider au mieux les élus pour l'application concrète des changements sur le terrain. C'est à cette fin qu'un guide pratique a été réalisé par le ministère de l'Education nationale.

Des représentants de L'Association des maires de France ont été reçus jeudi par François Hollande. Les élus entendaient notamment dénoncer les conséquences financières d'une modification des rythmes scolaires dès la rentrée 2013, rapporte l'AFP.