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BookNet Canada, l'organisme de mesure professionnel pour le livre au... Canada, vient de mettre en place une infographie pour présenter le taux d'adoption de la lecture numérique dans le pays. Ainsi que cela avait été indiqué, on compte aujourd'hui 41 % des parents qui ont lu en numérique, ainsi que 27 % des enfants et des adolescents.  

Les Canadiens ont tout l'été pour se préparer à lire : la National Reading Campaign sera lancée à la rentrée, avec en ligne de mire la promotion de la lecture auprès des jeunes et des moins jeunes. Cet automne, la manifestation se concentrera plus particulièrement sur les autochtones et les nouveaux arrivants au deuxième plus grand pays du monde.

INFOGRAPHIE : Les éditions Scholastic au Canada ont réalisé une étude sur les enfants, la lecture et la façon dont ils l'envisagent. Celle-ci a été menée sur 1 939 enfants âgés de 0 à 17 ans ainsi que leurs parents. Développé en cinq volets, le premier est un état général passionnant de la lecture et de la manière dont les jeunes lecteurs se l'approprient et ce qu'ils en pensent directement. 

Au Canada, le National Network for Equitable Library Service, service public œuvrant pour l'accessibilité des collections des bibliothèques, annonce un soutien supplémentaire du gouvernement canadien, avec un nouveau financement de 1 million $. La somme sera investie dans l'extension des collections accessibles, mais aussi la création de nouveaux emplois au sein du service.

Au Canada, on dit souvent que l’aventure est au bout de chaque chemin. Mais, si l’on peut découvrir le pays à pied ou en voiture, il est tout aussi bien possible de se plonger dans quelques bons livres pour entrer de plain-pied dans la culture canadienne.

La grande manifestation qui réunissait tous les amateurs de lecture numérique va désormais basculer d'une semaine à un mois tout entier. Selon l'ordonnance du Parlement du Canada, la motion M-293 vient d'être adoptée, faisant du mois de mars le mois entièrement consacré à la lecture numérique. 

Directrice de Bayard Canada, Suzanne Spino ne le cache plus : les ventes de livres religieux sont en baisse. Plus inquiétant, le lectorat de ces publications vieillit, ce qui laisse entendre que l'avenir sera marqué par une décroissance de plus en plus importante.

Si 22 % des Canadiens affirment passer leur temps libre, pour partie au moins, à lire, il semble bien qu’ils lisent de moins en moins. La chute n’est pas mirobolante, mais progressivement, depuis 2014, se constate. Ils étaient 88 % à avoir lu un livre durant l’année en 2014, ils sont désormais 82 %.

Une bibliothèque de Toronto propose à ses usagers un nouveau service plutôt inattendu dans ce type d'établissement. En plus de pouvoir venir lire des livres et en emprunter, il est désormais possible de faire imprimer son propre livre, rapporte Radio-Canada.

Au Canada, l'ornithologue et photographe Suzanne Brûlotte se retrouve accusée d'avoir enfreint la loi sur le droit d'auteur après la publication, en 2010, de son Grand livre pour attirer les oiseaux chez soi (Broquet).

A l’occasion de l’émission Le Combat des livres, animée comme chaque année par Christiane Charrette, nous pourrons du 14 au 18 mars 2011 écouter des joutes oratoires passionnées en l’honneur des livres.

Canada : On ferme, à cause des livres numériques

La société Marquis vient d’acquérir la firme Webcom Inc., basée au Canada. De la sorte, elle affirme devenir « le plus important fabricant de livres au Canada ». Sa capacité annuelle de production, à travers trois usines, est ainsi portée à plus de 100 millions d’ouvrages.

La campagne National Reading qui se déroule au Canada vient de mettre à jour quelques chiffres sur les habitudes de lecture du pays. Une perspective entre janvier 2011 et 2012, qui livre des données sur les ventes, mais également sur la circulation des oeuvres dans le pays. 

Depuis l'annonce de Pretnumerique.ca, c'est l'ébullition. Mais pour faire simple, Clément Laberge, vice-président service d'édition numérique chez De marque, la société à la base du projet a décidé de livrer plus d'informations. 

Certains doivent avoir hâte de passer à l'année 2013, qui devrait générer des ventes avoisinant 12,7 milliards $ dans le monde, en terme de livres numériques. Mais avant d'y arriver, il y aura l'année 2012, tumultueuse et complexe, dont le deuxième trimestre s'est ouvert avec la plainte du ministère de la Justice.

Shuanna Raycraft doit en avoir assez de défrayer la chronique avec les quelques milliers de livres qu'héberge sa maison. Depuis juin 2011, et bien avant, cette résidente de la région de Saskatchewan, au Canada, est devenue la sauveteuse de milliers de bouquins. Avant d'en devenir l'exécutrice… Au départ, c'était 350.000 livres qui peuplaient sa maison, dans une certaine euphorie, mais avec le temps, va, tout s'en va…

Import de livres au Canada : le jugement des clients

Si l’on a souvent l’image du Canada comme d’une terre préservée, offrant des paysages naturels à perte de vue, on ne se trompe pas véritablement. Même quand on réside dans une grande métropole, comme Toronto, Montréal ou Calgary et Ottawa, on n’est jamais très loin des immensités sauvages.

Au Canada, les éditeurs semblent avoir pris le pli de l'activité numérique. 93 % d'entre eux ont publié en 2014 en format ebook, soit 4 % de mieux qu'en 2013. Mais BookNet Canada remarque surtout qu'ils privilégient de plus en plus la vente directe, en passant par leur propre site. 

Statistique Canada a publié en décembre son Annuaire du Canada 2010. Au sein de ces 456 pages, on retrouve une analyse chiffrée minutieuse du marché du livre sur l’année 2008. Et, sur cette dernière, l’écrit constituait toujours le premier élément du commerce culturel canadien. Il correspond à 71 % des importations et 34 % des exportations sur le marché des biens culturels.

Quelques mois après un premier rapport sur la situation de l'édition canadienne en 2016, BookNet Canada récidive avec une étude qui s'arrête plus longuement sur le marché numérique. Si les volumes de ventes au format numérique (ebooks et livres audio) sont en recul, les revenus tirés de ces dernières sont en légère hausse, ce qui rapproche l'édition canadienne des marchés anglophones.

Pandémie mondiale et confinement ont bouleversé notre quotidien de lecteurs et de lectrices : BookNet Canada, organisation spécialisée dans l'analyse du monde du livre canadien, a interrogé 748 Canadiens en ce début de mois d'avril 2020. 58 % d'entre eux lisent plus qu'auparavant, 4 % seulement lisent moins au cours de cette période de confinement...

Le 15 janvier dernier, l'organisme BookNet Canada a publié un premier rapport révélant les ventes de livres imprimés anglophones au Canada. Selon les données de BNC SalesData, le marché a totalisé un chiffre d'affaires s'approchant de 1,13 milliard $ CA pour 54,7 millions d'exemplaires vendus en 2018. 

Voilà un moment que le semeur de Simon & Schuster avait envie de couvrir de ses petites graines le territoire canadien. Et un moment que cela lui était refusé. Oh, les raisons avancées par le gouvernement fédéral ne manquaient pas : elles tournaient simplement autour d'un protectionnisme qui n'aurait aujourd'hui plus cours. Ou, plutôt, moins de raisons d'être.

A-t-on sa place au Paradis pour avoir porté secours à 30 tonnes de livres, menacés de partir en fumée ? La question n'est pas soulevée dans les Evangiles, mais vaut bien la peine qu'on se la pose...

PrêtNumérique.ca est le fournisseur officiel de livres numériques sur le territoire canadien, et, à ce titre, il dispose d'un vaste panorama pour observer les usages. Piloté par BiblioPresto, le service œuvre auprès de plus d'une centaine d'établissements, à travers 800 municipalités.

Le Canada est évocateur de grands espaces, d’une nature sauvage, parfois même hostile, mais toujours superbe. C’est donc une terre propice à qui veut s’adonner à l’art de la photographie. Alors, si vous ne pouvez vous rendre sur place pour l’instant, les beaux livres dédiés à ce pays gigantesque (9 984 670 km2, deuxième territoire après la Russie, mais devant les États-Unis) sont faits pour vous.