Recherche

mannequin

Extraits

ActuaLitté

Théâtre - Pièces

Le mannequin

Sur un ton surréaliste et burlesque, Le mannequin exprime comment la conscience de leurs relations vis-à-vis des hommes vient aux femmes. Deux femmes vont chercher à séduire un homme qui n'est en réalité qu'un mannequin inanimé. Comme ce mannequin ne leur répond pas, il est parfait pour remplir son rôle d'objet. Ces deux femmes vont alors déployer leurs charmes et jouer de leurs atouts. Tour à tour, elles seront rivales, complices, partenaires ou en guerre l'une contre l'autre. Le dialogue entre elles, par son absurdité et son burlesque, permet de révéler, plus encore qu'un parti pris réaliste, leurs projections sur l'homme. C'est pour l'une une quête de l'amour, tandis que l'autre est dans une recherche de pouvoir. Au fil de leur jeu, ces deux femmes dévoilent des aspects d'elles-mêmes. Si l'une, pour être aimée, accepte tout, jusqu'à l'absurde, l'autre ressasse une rancoeur et cherche à obtenir, par la pression ou la manipulation, ce qu'elle veut. Mais leurs confrontations s'avèrent fructueuses et propices à une prise de conscience. Finalement, une question se fait jour, qu'est ce qui se joue vraiment dans cette affaire ? Après des études d'Histoire à la Sorbonne, un passage en sociologie urbaine et en rédaction publicitaire, Simone Berno a écrit pour le théâtre et mis en scène des pièces telles que Je suis née d'une chaussure, ou encore Pierrot ou les secrets de la nuit, adaptées des oeuvres de Michel Tournier. Fille et petite-fille de peintre et sculpteur, Simone Berno est également artiste peintre. Après de nombreuses thérapies, elle devient psychothérapeute jungienne. Par la suite, elle découvre le tarot de Marseille et en fait sa recherche dans le domaine du développement personnel. Avec Le mannequin, Simone Berno revient à l'écriture et à la mise en scène de théâtre.

09/2021

ActuaLitté

Littérature étrangère

Amours taille Mannequin

Sunny Weston est brillante, intelligente et drôle. Elle n'a qu'un seul problème : elle se trouve trop grosse. Un jour, Sunny décide d'enchaîner régime et sport, et ça marche : elle perd 7 kilos ! Mais est-ce que cela va la rendre plus heureuse ? Quand elle réalise que le gars sexy dont rêvent toutes les filles du bureau ne s'intéresse à elle que pour son nouveau look et sa taille mannequin, elle comprend qu'elle n'est pas au bout de ses peines pour trouver enfin le bonheur. Par hasard, elle rencontre alors un certain James, un type un peu vieux jeu et que la vie a endurci. Ils commencent par ne pas se supporter... Mais les étincelles de la colère sont-elles si différentes des feux de la passion ?

09/2008

ActuaLitté

Poésie

Figures du jour & mannequins

Premier livre & traduction française (trad. du yiddish) / édition bilingue Réunir deux recueils de poésie de Debora Vogel (1900-1942), ici dans la traduction de Batia Baum, constitue à double titre un événement éditorial majeur : de par l'importante place que Vogel occupe sur la scène de l'avant-garde tant polonaise qu'internationale des années 1930, et celle de la traductrice, Batia Baum, qui a consacré jusqu'à présent sa vie à la langue yiddish. En effet, c'est dans cette langue que D. Vogel, d'origine polonaise, prit la décision d'écrire sa poésie ; ce, en rupture avec son milieu et ses premières tentatives poétiques, alors en polonais et en allemand. Vogel fait ainsi ressurgir la question lancinante énoncée dans sa correspondance du début des années 1930 avec Bruno Schulz dont elle fut très proche : "Pour qui écrit-on en yiddish ? " Il s'agit ici d'une première parution intégrale en langue française d'une poétesse exceptionnelle encore inconnue, et à ce titre d'une découverte des plus surprenantes ne serait-ce que du point de vue de l'invention d'un style hors du commun naissant jusque de l'ennui, résolument adossé à l'art pictural (mais aussi à la musique), allant jusqu'à porter notre étonnement vers la poésie objectiviste. C'est au début des années 1930, soucieuse de donner corps à ses réflexions esthétiques et faisant le choix radical d'écrire en yiddish que Vogel publie ces deux livres de poésie : "Figures du jour" , 1930, puis "Mannequins" , 1934. Il faut noter que ces deux recueils sont intimement liés, que leur double parution en un volume est ainsi parfaitement justifiée, recoupant chacun des thèmes communs : thématiques quotidiennes, tableaux urbains mettant en avant tantôt des matières (le lait, la tôle...), le monde animal ou végétal, tantôt des éléments plus abstraits ou géométriques, ces images récurrentes soulignant à leur tour la monotonie et la langueur des paysages urbains... Aspirant à un nouveau style naissant de l'ennui, elle l'adosse résolument à l'art pictural, plus précisément au cubisme dont elle se réclame formellement, faisant siens les principes de "monotonie" et de "statisme" , ainsi que la recherche de constantes et de figures géométriques schématiques comme base de l'ornementation. Toutefois, les liens avec la peinture ne doivent pas nous faire oublier la part faite à la musique : importance du rythme, techniques fondées sur l'usage de la répétition, l'énumération en boucle des mêmes éléments (choses, mots, situations), rappelant des aspects du sérialisme ou de la musique répétitive. Se défendant de se livrer là à des expérimentations artificielles, Vogel souligne la nécessité absolue ("au prix d'épreuves à caractère vital") de cette poésie qu'elle qualifie de "poésie de la vie statique" .

07/2023

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Violette Tome 1 : Violette taille mannequin

"Eh bien, ma belle, les castings d'automne commencent bientôt, et je crois que tu vas faire sensation. Je dirais même que tu vas être LA sensation. Tu es occupée le week-end prochain ? Qu'est-ce que je raconte ? Bien sûr que non, puisque tu es au lycée. Il faut que je parle à tes parents, je te prends un vol pour New York vendredi soir, retour dimanche. Et si j'ai mon mot à dire dans cette histoire, Violette Greenfield, je peux te jurer que tu seras la prochaine Kate Moss. En plus grande, bien sûr. Et sans ce fameux problème d'image... Enfin j'espère !" Voilà comment je me suis retrouvée dans un avion pour New York, avec en poche la carte de visite de cette fameuse scout pour l'agence de mannequins Tryst Models. Moi, Violette, la grande fille maigrichonne à lunettes, que personne n'a jamais regardée. Et vous savez quoi ? Maintenant qu'Angela Blythe m'a remarquée, j'ai bien l'intention que le monde entier en fasse autant !

03/2009

ActuaLitté

Théâtre - Pièces

Le mannequin. ou comment séduire un homme

Comment séduire un homme en 10 étapes, c'est le cadeau, sous forme de mode d'emploi, que reçoivent deux femmes, avec un mannequin masculin à taille humaine installé sur un fauteuil-trône. Il s'agit d'entreprendre un parcours de séduction. Elles s'y attèlent chacune à sa manière. Comme ce mannequin inanimé ne leur répond évidemment pas, elles vont projeter sur lui toutes leurs visions et tous leurs préjugés sur les hommes, mais aussi leurs attentes et leurs désirs à l'égard du masculin. L'une veut de l'amour, l'autre du pouvoir, et elles pensent que ce mannequin garde en lui ces attributs qu'il ne veut pas donner aux femmes. Jusqu'où iront-elles pour obtenir ce qu'elles veulent ? Au fil de ce parcours de plus en plus burlesque et décalé, ces deux femmes, en révélant leur relation à l'homme, se découvrent elles-mêmes. Cela pourrait bien les conduire vers une autre vision des choses. Cette histoire, qui ose se moquer des femmes, est une farce satyrique sur les femmes, écrite par une femme.

11/2021

ActuaLitté

Littérature française

Le mannequin d'osier. Histoire contemporaine 2

Et M Bergeret se fortifia dans cette pensée que notre orgueil est la première cause de nos misères, que nous sommes des singes habillés et que nous avons gravement appliqué des idées d'honneur et de vertu à des endroits où elles sont ridicules, que le pape Boniface VIII était sage d'estimer, en son particulier, qu'on fait une grande affaire d'une très petite, que madame Bergeret et M Roux étaient aussi indignes de louange ou de blâme qu'un couple de chimpanzés. Il avait l'esprit trop ferme pour se dissimuler cependant l'étroite parenté qui le rattachait à ces deux primates. Mais il se tenait pour un chimpanzé méditatif. Et il en tirait vanité. Car toujours la sagesse fait défaut par quelque endroit.

07/2013

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté