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Religion

Contes des sages taoïstes

L'idée est de publier des livres élégants avec une iconographie classique et de faire de chaque livre, sur le modèle du Yi-king, un objet de réflexion. Le lecteur aura le loisir de choisir le conte qu'il lira en fonction de l'état d'esprit où il se trouve. Des contes à méditer... " Ce livre n'est pas fait pour être lu mais pour être fréquenté comme un ami proche, secret. Vous pouvez lui demander de vous nourrir, il vous nourrira, de vous éclairer, il vous éclairera, de vous émouvoir, de jouer, il jouera avec vous le jeu le plus mystérieux du monde, celui du hasard qui n'existe pas. " Henri Gougaud

02/2018

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Pléiades

Philosophes taoïstes. Tome 2, Huainan Zi

Le Huainan zi est dû à Liu An, prince de Huainan et petit-fils du fondateur de la dynastie Han. Somme philosophique autant que politique, il se présente comme un ensemble de traités sapientiaux ayant pour fond le tableau vivant de la société des Han. Tout en donnant une idée aussi complète que juste d'une époque et d'une culture qui marquèrent profondément l'empire de Chine, il vise à servir les hommes dans leur aspiration à s'élever vers la sagesse. Il s'agit en fait de présenter sous un angle nouveau des connaissances déjà anciennes, de montrer que tout savoir se place sous le signe du tao et que l'interrogation sur le tao est préalable à toute autre.

03/2003

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Pléiades

Philosophies taoïstes. Lao-Tseu, Tchouang-Tseu, Lie-Tseu

Tome I : « L'ouvrage réunit les trois grands textes des pères fondateurs de la philosophie taoïste, Lao-tseu, Tchouang-tseu et Lie-tseu, à partir des traductions soigneusement revues, assorties d'un répertoire général. C'est la somme, de haute tenue littéraire, d'une démarche de la pensée sans équivalent dans les cultures occidentales, désormais bien commun de la philosophie universelle. » André Lévy. Tome II : le Huainan zi est dû à Liu An, prince de Huainan et petit-fils du fondateur de la dynastie Han. Somme philosophique autant que politique, il se présente comme un ensemble de traités sapientiaux ayant pour fond le tableau vivant de la société des Han. Tout en donnant une idée aussi complète que juste d'une époque et d'une culture qui marquèrent profondément l'empire de Chine, il vise à servir les hommes dans leur aspiration à s'élever vers la sagesse. Il s'agit en fait de présenter sous un angle nouveau des connaissances déjà anciennes, de montrer que tout savoir se place sous le signe du tao et que l'interrogation sur le tao est préalable à toute autre.

11/2000

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Philosophie

Philosophes taoïstes. Tome 1, Lao zi, Zhuang zi, Lie zi

La légende rapporte qu'au retour d'une rencontre avec Lao zi, Confucius le décrivit à ses disciples comme aussi insaisissable qu'un dragon, "chevauchant les vents et les nuées". On pourrait en dire autant du dao, "la voie" : l'impossibilité à l'appréhender est le gage de sa toute-puissance. Si Confucius employait déjà ce terme, c'est avec Lao zi, Zhuang zi et Lie zi (autrement dit : Lao tseu, Tchouang tseu et Lie tseu) que le dao prend une signification beaucoup plus large pour devenir à la fois un principe et un moteur. Avec eux naît "l'école du dao". La primauté doctrinale de leurs trois textes ne s'est jamais démentie jusqu'à nos jours. Tandis que le Lao zi peut presque être considéré comme un traité prescriptif, le Zhuang zi propose une oeuvre riche en couleurs et en figures fantasques, et le Lie zi un ensemble de récits où le merveilleux côtoie le quotidien. L'influence de ces trois oeuvres est immense, y compris en Occident. Cette nouvelle édition, qui propose des traductions nouvelles ou récentes, se compose de la première version connue à ce jour du Lao zi - elle était jusqu'à présent inédite en français - et de sa version canonique, de la version classique du Zhuang zi en trente-trois chapitres, et du Lie zi intégral en huit chapitres. Ce volume forme désormais un diptyque avec le Huainan zi (tome II des Philosophes taoïstes dans la Pléiade), établi selon les mêmes principes en 2003.

10/2022

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Actualité et médias

Les Maoccidents. Un néoconservatisme à la française

A la fois marginale et spectaculaire, une anecdote résume bien les choses. Le 15 avril 2009, l'ancien maoïste André Glucksmann se voyait remettre la Légion d'honneur par Nicolas Sarkozy. Ce jour-là, dans les salons de l'Elysée, le président de la République rendait hommage au « nouveau philosophe », le patron de la droite libérale honorait l'intellectuel formé à l'école de la révolution. Il le tutoyait publiquement. Il se félicitait de leur amitié. Il soulignait lui-même la qualité toute particulière d'une complicité apparemment paradoxale : « Franchement, c'était pas écrit... », ironisait Sarkozy. Ce faisant, il délimitait l'espace de notre tâche : écrire le récit de cette souterraine camaraderie. Plus largement : comprendre comment les maoïstes français sont passés du culte de l'Orient rouge à la défense de l'Occident. En un mot, raconter l'aventure des Maoccidents.

09/2009

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Chine

Derrière la muraille de briques. Journal d'une Chine encore maoïste

Il s'agit du récit de ma vie à Kunming, dans le Yunna, à 3500 Km au Sud-Ouest de Beijing, invitée par le gouvernement chinois pour enseigner le français, en 1981 alors que la République Populaire de Chine commençait à s'ouvrir aux étrangers. Le Yunnan, terre d'exil pour les indésirables de la Révolution culturelle, recevait sa première experte française et même européenne, il n'y avait pas eu de présence française depuis 1951 date de fermeture du dernier consulat français de Kumming. J'avais 25 ans fraîchement diplômée des Langues'O. Pendant mon séjour en Chine j'ai noté mes impressions tous les jours, soit dans mon journal, soit dans un courrier à un membre de ma nombreuses famille. La découverte 40 ans après de ces archives a ravivé mes souvenirs et a suscité l'envie de raconter cette Chine méconnue des années 1980 et décrire ma vie de jeune fille exilée dans ce Far West chinois, sur les contreforts du Tibet. Mon physique ressemblant aux femmes d'Asie centrale, m'a permis de voyager dans des zones fermées aux étrangers à l'époque, peuplées de minorités pour le moins malmenées aujourd'hui, comme les Ouïghours, en me déguisant parfois ou en faisant du stop quand l'achat de billet de transport dans le "Petit Tibet" m'était interdit, en logeant dans des yourtes chez les Kazakhs des Monts Célestes et en me fondant dans la foule au Xinjiang. Ce récit est une expérience autobiographique, un témoignage unique et inédit d'un pays et d'un temps à la fois révolus et paradoxalement contemporains.

07/2023

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