marque Apple ibook

Rions un peu en attendant que les industriels américains aient totalement achevé leur conquête du monde... Apple a décidé de bloquer la vente d’un livre numérique, chose tout à fait compréhensible en soi : les libraires ont le choix de ce qu'ils commercialisent. L’ebook est d’ailleurs assez virulent contre la firme. Mais les raisons du refus sont tellement farfelues...

Allez, je vous dis, une marque de high-tech, comme ça... Mieux, je vous dis, citez-moi la marque phare pour vous actuellement. Quoi ? Zadig et Voltaire ? Ah, petits canailloux... Non, c'est Apple la bonne réponse. La Très Bonne Réponse.

iBooks et iBookstore détaillés par Apple : fluidité et ebook

La collection DVD Pocket, appartenant et distribué par la société Elytel, vient de se prendre un avis de la Cour d'appel de Paris, qui a statué sur un litige l'opposant à la société Univers Poche. Ainsi, la Cour a jugé que les marques déposées DVD Pocket que détenait Elytel, entraient en infraction avec la marque Pocket, bien connu des amateurs de livres de poche.

Et si pour Noël, dans la liste de cadeaux commandés au Père du même nom, il y avait l'interopérabilité des plateformes ? Douce utopie, certes, mais qui suscite la réflexion au niveau européen depuis quelque temps, et mérite qu'on s'y attache. Les dernières données livrées sur le marché numérique devraient inciter Apple à s'y pencher, au moins un peu.

Internet un procès contre Apple, quand on est éditeur, pour violation d'une marque, c'est un comble. Pourtant, J.T. Colbie and Co l'a fait, en déposant une plainte à la cour de district sud de New York. Une première, pour croquer la Pomme à pleines dents...

Une fois encore, le réseau social envisage d'étendre la défense et le verrouillage de sa marque, en étendant ses droits sur le terme ‘livre'. Ce n'est pas la première fois que le réseau s'attaque à ce terme, et par le passé, le réseau s'en est déjà pris à d'autres sites contenant le terme ‘book'. 

SFR déboutée en appel, 'texto' est un mot non une marque

Le site Pottermore continue de garder ses secrets, alors que nous ne sommes qu'à quelques heures de la grande annonce inouïe que JK Rowling s'apprête à faire. Mais des informations s'échappent progressivement, et celle que l'on attendait vient d'arriver.

L'artiste ukrainienne Olena Mysnyk a décidé de redonner un peu de volume aux marques-pages en les affublant de jambes, pattes ou même pieds de Hobbit. Ainsi équipés, les livres sont parés pour une ballade imaginaire, et vous avec !

Au Japon, 60 % des tablettes sont des iPad d'Apple. Pourtant jusqu'à présent il n'était pas possible de télécharger directement des livres sur son appareil. Ceci devrait changer dans le courant du mois de janvier, avec le lancement de l'iBookstore. Apple pourra désormais vendre directement des livres numériques à destination des lecteurs nippons. Dans cette perspective, de nombreux contrats auraient été signés avec d'importants éditeurs japonais.

Plus de caractéristiques sur les personnages : une idée à creuser.

Assez du marque page ? Essayez donc le marque ligne !

L’affaire ne va pas changer le cours du monde, mais désormais, les utilisateurs de Apple Pay, solution de paiement mobile, pourront l'utiliser pour tout ce qui touche à l’environnement iTunes, App Store, ainsi que Apple Book. De quoi simplifier les dépenses pour les possesseurs de machine Mac OS et iOS, en somme.

La place de la bibliothèque au sein des villes et dans le développement des communautés n'est pas à remettre en question. En France, le bilan 2011 expose une nouvelle fois que les bibliothèques et médiathèques s'imposent comme le premier réseau culture du pays. Mais la question numérique reste toujours à l'ordre du jour. Chez nos voisins belges, elle est aussi récurrente...

Dans le conflit juridique qui l'oppose au ministère de la Justice américain, la société Apple vient de formuler son appel, officiellement, contestant sa condamnation du 10 juillet dernier. La juge Denise Cote avait considéré qu'entre Apple et les éditeurs américains, une entente avait été établie, aboutissant à la fixation du prix de vente des livres numériques. 

Voilà trois ans, la justice américaine menait Apple devant les tribunaux – les éditeurs n’y échappaient qu’après avoir écopé d’une vilaine amende. Condamnée en première instance, puis en appel, la firme de Cupertino allait avoir à supporter durant une longue période, la présence de Michael Bromwitch. Cet auditeur devait s'assurer que la société se conformerait aux lois antitrust... Eh bien, fin de partie.

Le prix des livres numériques est-il si haut outre-Atlantique à cause d'Apple ? C'est en regardant le prix de vente des livres papier et des ebooks, les prix de vente sont tout de même moins élevés dans le cadre du numérique. Mais alors que les éditeurs trouvent que ces prix bas dévaluent les ouvrages, ils sont parvenus à fixer et imposer un prix de vente.

Des clients ont constaté une apparition inattendue sur la plateforme commerciale d'Apple, l'iTune Store. L'acquisition de certains titres semblait recquérir une mise à jour de l'application client iBooks pour iOS qui n'est pas encore officiellement sortie : la version 3.0, ce qui laissait présager un lancement imminent. Seulement, il semblerait finalement que la rumeur ne soit due qu'à une erreur d'affichage sur la plateforme commerciale.

Les deux sociétés ont annoncé la semaine passée la signature d'un accord, pour développer plus encore la distribution numérique pour les éditeurs. De Marque et Nu-book vont mutualiser leurs services pour pour offrir davantage de solutions. 

Les auteurs seront ravis d'apprendre, pour ceux qui utilisent les outils iBooks dans la publication de leurs livres numériques, qu'Apple les aime. Fort. Pas au point de leur faire des câlins pleins d'amour, mais suffisamment pour leur octroyer des fonctionnalités assez indispensables dans la commercialisation de son ouvrage. Parce que chez Apple, on pense différemment. Très différemment…

Définitivement, Apple a décidé d’aller à la conquête des auteurs — la reconquête. Un email adressé aux utilisateurs d’iBooks Author, la solution d’édition et de création de livres numériques maison, leur donne la nouvelle orientation. À compter du 1er juillet, l’application sera supprimée. Et l’on se retrouve incité à basculer sur Pages, le logiciel de traitement de texte Mac.

Après plusieurs réclamations, Apple a précisé l'un des termes du Contrat de Licence Utilisateur Final (EULA) de sa plateforme d'auto-édition iBooks Author. La mise à jour indique qu'Apple avait bien des droits sur le format ibooks et pas sur le contenu. Un détail qui a son importance.

La vision 3.3 de Requiem, permettant notamment de supprimer la DRM des contenus diffusés sur l'iTunes Store, vient juste de prouver qu'elle pouvait également supprimer la DRM spécifique appliquée aux ebooks d'Apple. Vers une meilleure interopérabilité ? On l'espère.

La version 3.1 de l'application de lecture et de gestion de bibliothèques signée Apple, iBooks, a bénéficié d'une annonce particulièrement importante quant à la position de la multinationale par rapport à la concurrence. En effet, la marque à la pomme souligne que sa technologie de lecture numérique s'offre désormais aux lecteurs japonais, accompagné d'un catalogue qui s'évalue visiblement en « centaines de milliers » de titres.

L’application d’Apple iBooks va bénéficier d’une mise à jour facilitant aux auteurs la promotion de leur livre aux usagers. Apple va permettre aux auteurs de créer notamment des options de précommandes pour leur livre, avant même que ce dernier ne soit terminé, et faire évoluer parallèlement iTunes Link Maker et les livres Multi-Touch. 

Les titulaires d'un compte iTunes peuvent déjà offrir des chansons, des vidéos, des applications, mais pour l'heure, les livres numériques présents dans l'iBookstore ne n'étaient pas encore inclus dans cette solution. Un récent brevet déposé par Apple montre que la société se prépare activement à cette éventualité, prévue dans un certain avenir. Voire un avenir certain.

La décision de la juge Denise Cote que de condamner Apple pour entente sera rejugée en appel, comme l'a annoncé la firme. Mais en attendant, les juristes commencent à spéculer sur les conséquences que cette décision pourrait avoir sur le marché des oeuvres dématérialisées. Des experts considèrent qu'avec ce jugement, c'est toute la concurrence entre revendeurs, sur les différents marchés culturels, et des biens numériques par extension, qui pourrait être renforcée.

Ils n'ont pas chômé, chez l'Atalante : depuis mi-novembre, leur catalogue des oeuvres de Terry Pratchett est disponible en format numérique, au prix de 5,99 €.  Pour l'heure, seuls quatre tomes sont disponibles, La Huitième Fille, Le Huitième sortilège, La Huitième Couleur et Mortimer, mais la numérisation a débuté, et le marketing déjà pris le bon chemin. 

Dans un communiqué, la Commission européenne vient d'annoncer qu'elle abandonnait définitivement toute idée de poursuite contre les quatre éditeurs et Apple, qui étaient impliqués dans une possible entente. Ces acteurs auraient, selon les soupçons de la CE, pu fixer le prix de vente des ebooks, au détriment d'une libre concurrence.