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Le rêve américain : pour beaucoup, enfourner un hamburger devant un le dernier blockbuster en date, avant de nettoyer son arme à feu. Loin des stéréotypes, la réalité est toute autre : ainsi, une infographie vient à point pour rappeler que la malbouffe n'arrive pas au niveau des bibliothèques de pays, très présentes sur le vaste territoire.

Tandis que l'Europe souhaite réformer le droit d'auteur, l'optimisation fiscale a toujours de beaux jours devant elle. Si l'on évoque régulièrement Amazon, Apple, Google ou Starbucks et Facebook sur ce sujet, un nouvel acteur vient d'entrer en piste : McDonald's. La firme est accusée, entre 2009 et 2013, d'avoir fait perdre plus d'un milliard d'euros fiscalement à l'Europe. 

La chaîne de restauration rapide est encline à faire lire – pendant que l’on déguste l’un de ses burgers, évidemment. Si vous passez au Japon, alors une surprise vous attend. Associé à l’éditeur Shonen Jump, McDonald’s offre des mangas gratuitement.

Les campagnes se multiplient pour démontrer l’engagement de la chaîne de restauration pour la jeunesse. Depuis la mise en place, d’abord discrète avant d’être dévoilée en fanfare, McDo semble faire des miracles. Les Mercredis à lire que propose l’enseigne opèrent une distribution de livres sur le territoire qui ne s’arrête pas. Et si l'on se fie aux chiffres divulgués, McDo a pris un place phénoménale dans le secteur jeunesse. 

La lutte contre la diffusion illégale des livres exige une certaine ténacité, un fait que les éditeurs du monde entier redécouvrent constamment. Alors que Z-Library et LibGen sont sous le feu des actions en justice, s'installe Anna’s Archive, une nouvelle pirate qui ne vise rien de moins que l'exhaustivité...

Après Alexandre Jardin et Marc Levy, c’est au tour de la romancière Katherine Pancol de se lancer dans la littérature jeunesse, avec McDonald's. La chaîne de restaurants va en effet offrir avec le menu Happy Meal des livres aux enfants que l’auteure des Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi écrira.

Pour un Happy Meal acheté, un livre de Michael Morpurgo offert. Ce pourrait être un slogan d'une campagne de publicité pour l'écrivain à succès spécialisé dans la littérature pour enfant, mais non c'est la dernière méthode en date pour relancer la lecture au Royaume-Uni.

Après les États-Unis, où la firme s'est associée à Reading is Fundamental, McDo renforce ses partenariats livresques en Europe. Avec à l'appui un logo tout spécialement conçu pour l'occasion, la National Literacy Trust, organe caritatif britannique militant pour l'alphabétisation du Royaume-Uni, a annoncé cette semaine rejoindre le programme Happy Readers impulsé outre-Manche par le géant du fast food. Les livres marqués du label des deux associés seront mis à disposition des petits mangeurs de burgers par WH Smith au tarif symbolique de 1 £.

EES s’ajoute à la liste des auteurs qui alimenteront en livres les menus Happy Meal de McDo. Après Alexandre Jardin, Marc Levy et Katherine Pancol, un nouvel auteur de l’écurie Albin Michel proposera des ouvrages pour les enfants. À condition qu’ils fassent acheter à leurs parents le repas ad hoc.

Il se pressentait que l’édition 2020 du salon du livre de Paris serait laborieuse. La décision d’Antoine Gallimard de ne présenter que ses maisons poche avait quelque peu plombé l’ambiance. Mais à mieux examiner le plan des stands de la Porte de Versailles, on se rend compte que ça va grogner. 

La campagne de promotion du livre de Michael Morpurgo par les enseignes McDonald's du Royaume-Uni fait scandale. McDo, en libraire pour les enfants, c'est un peu comme un resto gastronomique qui recruterait chez Pizza Hut... On peut se poser quelques questions. 

Dans le cadre d’un accord passé avec la société de gestion de périphériques SOTI, la chaîne de restauration rapide installe en ce moment des tablettes Samsung Galaxy dans la majorité de ses restaurants au Royaume-Uni. Le but : permettre aux clients de jouer à des jeux, de consulter leurs comptes Facebook ou de naviguer sur le Web… pendant qu’ils mangent, et gratuitement.

La maison d'édition Nathan s'associe avec la chaîne de restauration rapide McDonald's pour proposer, à partir du 2 mai prochain, 4 titres pour les enfants qui seront glissés dans les Happy Meal en guise de cadeau. Une opération déjà testée en Grande-Bretagne, et qui se déroulera jusqu'au 29 mai.

Application de lecture dédiée aux univers graphiques japonais, Mangas.io dispose aujourd’hui de quelque 230 séries et plus de 1000 tomes. Un catalogue qui compte 19 éditeurs français et six de plus à travers le monde. Et la société frappe fort, annonçant tout à la fois qu’elle s’installe dans les TGV Inoui de la SNCF et dans le Monopoly édition que lance McDo.

L'IFLA, Fédération internationale des associations et institutions de bibliothèques, a mis à pied son secrétaire général, Gerald Leitner, en avril dernier. Une décision intervenant après plusieurs témoignages évoquant des « menaces » et une ambiance de travail délétère. Vicki McDonald prend la tête de l'organisation, suite à des élections extraordinaires.

La crise frappe : Spiderman bossera à McDonald

Sur le territoire indien, afin de favoriser « le bonheur et le bien-être des enfants », et leur donner aussi davantage de chance au cours de leur scolarité, la chaîne McDonald's remplace les jouets offerts dans ses Happy Meals par de la lecture. Une initiative qui s'inscrit dans un pan de la stratégie globale de la firme américaine, qui est de soigner son image aux quatre coins de la planète. Pour ce faire, elle est partenaire des éditeurs Scholastic et DK.

Information ActuaLitté : Depuis plusieurs années, la chaîne de restauration rapide McDonald's a introduit des lectures dans ses menus pour enfants, les Happy Meal. En avril 2012, elle avait d'ailleurs lancé un partenariat avec les éditions Nathan, autour de quatre petits ouvrages, qui apportaient des « réponses sérieuses, [qui] participent d'une volonté pédagogique ». L'expérience se renouvelle, cette fois avec de la littérature jeunesse. 

L’initiative est encore restée très discrète, mais certains y projettent déjà une grande évolution. Depuis le 2 septembre, à raison d’un mercredi par mois, les restaurants McDonald’s proposeront les Mercredis à lire. Une opération à destination des jeunes lecteurs, qui complète les précédentes opérations déjà menées.

L’enseigne de restauration dont l’emblématique clown tend à disparaître s’est lancée dans la littérature pour enfants depuis quelques années. L’an dernier, en toute discrétion (mais pas assez pour nous échapper) était amorcée une nouvelle attraction : Les Mercredis à lire. Une fois par mois, durant la journée des enfants, un livre était offert pour tout menu Happy Meal acheté… Bilan, un an plus tard. 

Amy McDonald, premier album, This is the life

À compter de ce 11 janvier, une collection exclusive d’ouvrages sera proposée chez McDonalds, dans ses menus pour enfants Happy Meal. Des livres pour la jeunesse, signés par un jeune romancier, certainement plein d’avenir : Marc Levy. Non ? Si fait : « Découvre aussi de belles histoires autour des expressions de la langue française », annonce McDo...

On connaissait déjà McDonald partenaire de la grande fête du livre jeunesse nationale, Partir en livre, anciennement Lire en short, lancée par Fleur Pellerin et poursuivie depuis. Un soutien commercial qui se prolonge, et permet à la marque américaine de consolider sa position dans l’industrie du burger et de la littérature jeunesse. Cette fois, c’est au salon emblématique de la littérature jeunesse que la chaîne s’installe.

Depuis mars dernier, l’auteure d’Albin Michel se consacre à d’autres horizons que les romans qu’elle publie chez son éditeur. En effet, ActuaLitté avait dévoilé qu’elle succéderait à Marc Levy et précédemment Alexandre Jardin dans la collaboration entre Hachette jeunesse et McDonald’s. Deux titres seront proposés dans les Happy Meal, les menus pour enfants. 

La situation est insolite : une pétition en cours d’élaboration, et encore non rendue publique, pousse le Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil à réagir. Il faut que le sujet en soi sensible – et pas des moindres : c’est du stand McDonald’s au Salon dont il est question.

La publicité à destination des enfants est interdite par la loi québécoise, mais McDonald’s aurait trouvé un moyen de la contourner. C’est en substance ce que dénonce un class action que des parents tentent de monter. Entendus par le juge cette semaine, ils demandent la fin de ces pratiques.

Après un intéressant débat sur les lecteurs de demain, Vincent Monadé, président du Centre national du livre, a révélé quelques nouveaux éléments sur la deuxième édition de Lire en Short, du 20 au 31 juillet 2016.

Poursuivant sa démarche de substituer les jouets par les livres, pour éviter de se retrouver dans une situation conflictuelle avec les parents, McDonald's s’associe à plusieurs auteurs pour offrir des ouvrages. Dans ses menus Happy Meals, la société de restauration rapide ajoutera notamment les aventures de l’ourson Paddington, de Michael Bond.