nada

Il est rare de trouver un fil conducteur évident dans un recueil de Nouvelles. Ce n’est pas le cas de La Nada.

Le 22 octobre dernier, Radio France nous annonçait la mort de son fixeur palestinien, le courageux journaliste Roshdi Sarraj, à Gaza. Cette fois, c'est la poétesse palestinienne Hiba Abu Nada qui est la victime des bombardements israéliens. L'auteure est décédée le 20 octobre dernier à l'âge de 32 ans dans son domicile du sud de la bande de terre ensanglantée, touché par une frappe aérienne israélienne.

RentreeLitteraire23 - Au printemps 1992 à Sarajevo, un jeune garçon de dix ans nommé Omar attend impatiemment le retour de sa mère depuis sa fenêtre. Nada, une jeune fille aux magnifiques yeux bleus, parvient à le calmer en lui prenant la main. 

Quand il n’est pas le personnage d’un roman érotico-gay, où il partage la vedette avec un groom dans un hôtel, Donald Trump énormément. Sa dernière victime n’est autre que le Roi de l’Horreur, qui logiquement en a vu d’autres. Mais quand on l’interroge, Stephen King en reste bouche bée. Sans voix. Rien. Nada...

En règle générale, il est toujours difficile d'accepter de céder son travail gratuitement. Auteurs et éditeurs, ce qui se comprend, ont donc pu faire preuve de réticence face aux dizaines d'applications qui leur proposent d'échanger un livre numérique contre un tweet, un « j'aime » ou nada, tout simplement. Rook, qui désigne l'oiseau choisi comme emblème de l'application, espère fournir une valeur ajoutée à la gratuité, dans le monde réel.

ROMAN HISTORIQUE - Je ne réussissais pas à lire pendant le confinement. Cela relève presque du comble. Le corps de mon métier réside en la lecture, je râle toujours de ne pas avoir le temps de lire tout ce que je devrais et là, pendant les trois premières semaines, rien, nada, aucune motivation. Pourtant rien à déclarer, ni drame, ni peur du virus particulière, non juste un petit quelque chose qui faisait que mes deux seuls vrais amis étaient la télévision et le frigo.

Fausse piste. Nada. Walou. Circulez, y a rien à voir. Ou reconsidérez tout ce qui se situe en dessous de vous, de moins que rien, ivrognes, marginaux, hippies, indiens d’Amériques, tout ce qui eut un jour un nom et plus de dignité, et vous aurez une idée assez précise de ce que l’on voit dans les yeux d’un détective pour qui l’art de s’abîmer dans un verre de whisky supplante tous les autres et vous apprend au passage, quelques trucs à propos de l’humanité.

ROMAN  — Au Moyen Âge, il est probable qu’on eut pris Pierre Cendors pour un sorcier. Un alchimiste qui, dans la pénombre de sa bibliothèque, agence les mots, les triture, les exprime comme on le dit d’un agrume, afin d’en extraire la drogue que secrète son âme de poète, cette « insuffisance qu’il faut laisser longtemps infuser en soi ».

Au cours de la cérémonie qui se déroulait au théâtre de l’Apollo, à Paris, la 10e édition de la Journée du manuscrit francophone a dévoilé ses différents prix. À travers chaque catégorie, un ouvrage a été retenu, et le jury, au terme de ses lectures, a également désigné, à l’unanimité, le Grand Prix 2022.

Chaque année, le prix Sorcières est un temps fort de l’année. Surnommé depuis quelques années, le « Goncourt de la littérature jeunesse », c’est une cinquantaine de librairies et bibliothèques spécialisées qui votent pour élire le meilleur de l’année dernière. On peut donc leur faire confiance et y aller les yeux fermés, surtout quand les associations A.B.F et A.S.L.J demandent, cette année, à l’illustrateur Gilles Bachelet de dessiner l’affiche.

Six catégories : Tout-petits, Album, Premières lectures, Romans juniors, Romans ados et Documentaires pour cette sélection et beaucoup, beaucoup, beaucoup de lectures plus tard amènent ce joli palmarès. Cette année, les prix seront remis le 25 juin pendant le salon Clameur(s) ! Allez, petite ola à l’appel de chacun des titres ! 

Internet le qualifie déjà de Magicien de la calligraphie, mais Seb Lester préfère se présenter encore comme un designer et illustrateur. Pourtant, il a des mains magiques, et un stylo qui ne le semble pas moins. De lui, on sait peu de choses : sa maison est construite dans l'un des plus anciens châteaux d'Angleterre. Voilà qui pimente la légende...

Ebrary est un portail américain, vendeur de publications universitaires en ligne. James Bennett, australien, est un portail australien qui revendait à l’origine les publications universitaires papiers aux bibliothèques australiennes, et s’est récemment mis à revendre les publications numériques via James Bennett Online (JBO).

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L'autobiographie de sarah Palin : alors 4 ou 11 millions $ pour l'acheter ?

Du 12 au 18 décembre 2016, l'Institut du monde arabe, à Paris, fêtera la langue arabe, qui reflète par sa modernité un monde arabe contemporain en pleine mutation. À l'occasion de la journée mondiale pour la langue arabe, célébrée par l'UNESCO le 18 décembre, l'Ima propose une semaine d'événements.

Tardi et Manchette avaient commencé à imaginer les personnages en gribouillant sur un coin de table dans une brasserie. Jean-Patrick est parti trop tôt pour voir cette réalisation aboutie. On redécouvre aujourd’hui un maître du néo-polar sous les traits d’un génie de la bande dessinée.

RentreeLitteraire23 - Et moi, je me contentais de t’aimer est le dernier roman de Rosella Postorino, publié par Feltrinelli en 2023. Pour les lecteurs français, elle reste l’autrice de La goûteuse d’Hitler (trad. Dominique Vittoz, près de 200.000 exemplaires vendus). Pour cette rentrée, Romane Lafore s’est vu confier un texte, radicalement différent, mais toujours ancré dans l’Histoire.

L'écrivain et journaliste mexicaine Elena Poniatowska s'est vue décerner le prix Cervantes. Le roi Juan Carlos d'Espagne lui-même a présidé la cérémonie dans la ville de Alcala de Henares, où est né l'auteur de Don Quichotte. 

Le jury des journalistes, membres de l'Académie Hors Concours, a délibéré le 23 novembre dernier et a choisi l’auteur lauréat, tandis que les lecteurs et lectrices ont été invités à attribuer une mention à leur favori. Depuis sa création en 2016 et pour sa 6e édition, le prix a récompensé des auteurs et autrices de littérature de création, francophone et contemporaine, publiés par un éditeur indépendant.

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L’association des Éditeurs associés a été créée en 2004 par un groupe d’éditeurs ayant en commun une vision qualitative et farouchement indépendante du métier d’éditeur, afin de promouvoir collectivement leurs catalogues respectifs. Cette mutualisation se traduit par des actions organisées en librairie, en bibliothèque ou sur des salons. Le point commun de ces propositions est de se construire à partir de et avec le livre et la lecture, en s’adressant autant au grand public qu’aux professionnels. En cela, le festival est emblématique des événements organisés par l’association.

Pour sa 9e édition, la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe présentent la sélection officielle du Prix de la littérature arabe. La récompense salue chaque année un livre signé par un écrivain ressortissant de la Ligue arabe, écrit ou traduit en français l'année passée.

Chaque année, la Journée du manuscrit francophone reçoit des centaines d’ouvrages, venus d’auteurs internationaux. Lors d’une soirée organisée cette année exceptionnellement le 23 octobre, les sept prix seront remis, suivant les catégories littéraires. Ainsi que le Grand Prix, consacrant l’une des oeuvres.

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SNE et SDFA : pour une chaîne publique jeunesse et culturelle

Le Prix Sorcières est LA référence pour les ouvrages destinés à la jeunesse : chaque année, l'Association des librairies spécialisées jeunesse désigne ses favoris dans 6 catégories, avec l'aide de l'Association des Bibliothécaires de France. 

Le ministère de la Culture de l'Autorité palestinienne a publié un deuxième « rapport préliminaire » portant sur les dommages causés au secteur par le conflit entre le Hamas et l'État d'Israël. Il dresse un bilan provisoire, qui témoigne déjà d'un lourd tribut payé, avec les décès de plusieurs artistes et la destruction de plusieurs lieux de culture.

EDITO – « Nous ne sommes pas populaires sans raison », bramait la réclame d'une banque dans les années 90. À l’ère des influenceurs, que vaut ce slogan, sinon pour la jolie punchline, facile à rentrer dans le crâne ? On lui opposerait volontiers Hugo : être nécessaire, plutôt que populaire. Et dans une époque de machine, où se retrouve le peuple, dans cette popularité ?