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Littérature étrangère

Etrange est le chagrin. Suivi de Souvenirs de V. S. Naipaul

"Nous n'en avons jamais fini avec le chagrin. Il attend toujours de nous tomber dessus. L'amour rend les souvenirs et l'existence précieux ; le chagrin qui nous envahit est à la mesure de cet amour et il est impossible d'y échapper".

01/2021

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Anglais apprentissage

V.S. Naipaul. Ecriture de l'altérité, altérité de l'écriture

Né au coeur de la petite île caribéenne de Trinidad, de parents d'origine indienne, V.S. Naipaul a toujours été confronté à l'altérité et au multiculturalisme des sociétés créoles. Ses nombreux voyages en Amérique, en Afrique, en Inde, dans certains pays musulmans, ainsi que son installation au Royaume-Uni en ont fait un des plus grands écrivains-voyageurs de notre temps, ce qui lui vaut souvent d'être considéré comme un " world writer ". L'altérité se trouve donc au centre de son oeuvre littéraire - dans sa fiction, ses récits de voyages et ses essais. Elle est à la fois une thématique essentielle des récits et une des caractéristiques principales de l'écriture : tout en utilisant le canon littéraire, Naipaul le remodèle sans cesse, ce qui conduit parfois à voir en lui un écrivain " autre ". C'est à une analyse de cette double thématique - l'écriture de l'altérité et l'altérité de l'écriture - qu'invite ce recueil d'articles.

06/2010

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Littérature étrangère

La rumeur des cannes

"A Trinidad vivait une famille...", dit un air de calypso célèbre. Mais là s'arrête toute comparaison entre la chanson et le roman. Dans "la rumeur des cannes", Egbert Ramsaran terrorise "la Colonie", petit bourg égaré entre Por of Spain et San Fernando, dont les habitants sont tous d'origine indienne. Le pouvoir est son obsession, l'argent son unique moteur. Il enseigne à son fils Wilbert cette seule vérité d'un côté les faibles, de l'autre les forts. Témoin des excentricités paternelles — son père préside des réunions hebdomadaires, un pistolet à la main —, Wilbert apprendra l'ambiguïté des sentiments, l'amertume de l'existence, la fragilité des êtres. Avec une précision aiguë, Shiva Naipaul, fait graviter dans le microcosme de "la Colonie" un large échantillon de types humains — Bholai, l'homme sans volonté ; Sushila, la prostituée "hédoniste" ; Cha-Cha, dit le Chinois, qui fait de la fainéantise le but suprême de l'existence — pour mieux les enfermer dans une sorte de prédéterminisme qui laisse peu de place au libre-arbitre. Dans cette île où a régné l'économie de plantation, nul n'échappe vraiment à la rumeur omniprésente des cannes.

11/1986

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Littérature étrangère

A Trinidad vivait une famille

Il existe à la Trinidad, entre Port of Spain et San Fernando, un village misérable appelé la "Colonie". C'est là que vit la communauté d'origine indienne. Un homme, Egbert Ramsaran, règne sans partage sur ce peuple de handicapés sociaux. A son fils Wilbert, il enseigne cette vérité : il y a deux camps, les faibles et les forts, et il appartient aux seconds de dominer les premiers. Mais tous les hommes, même les plus durs, ont leur faiblesse. Quand la belle Shushila vient s'installer chez lui, Egbert ignore qu'elle va provoquer la chute de la maison Ramsaran, et qu'elle annonce peut-être une autre disparition : celle de la "Colonie" tout entière, balayée inexorablement par l'histoire. Comme dans Lucioles, Shiva Naipaul peint une fresque grouillante de personnages de la Caraïbe britannique : Cha-Cha le fainéant ; Phulo, la femme aigrie ; Singh, la brute qui garde le domaine ; les amours contrariées de Sita et Julian. Tour à tour comiques et tragiques, ces "vies minuscules" possèdent la dignité et la mélancolie des grands romans européens. Mort à quarante ans en 1985, le frère cadet de V.S. Naipaul était un écrivain "prodigieusement doué, intelligent, ironique, curieux, passionné" (Pierre Pachet). Il fut une sorte de Dickens chez qui l'Angleterre du XIXe siècle aurait été remplacée par une société multiraciale hantée par les séquelles du colonialisme.

05/1994

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Littérature étrangère

Un drapeau sur l'île

Un drapeau sur l'île rassemble des récits écrits entre 1950 et 1965 dont certains ont été initialement publiés dans des périodiques américains. La plupart des histoires qui composent ce recueil ont pour cadre la Trinité et offrent une peinture humoristique des moeurs d'un milieu d'origine hindoue. Les anecdotes que Naipaul tire de la vie quotidienne et des situations familiales reposent sur les particularités ethniques qu'il note avec une grande exactitude. Certaines de ces nouvelles abordent également la terreur latente qui nourrit la vie ordinaire des immigrants londoniens, mais ne sont pas moins imprégnées de l'humour et du charme qui faisaient déjà la valeur de Miguel Street.

10/2001

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Littérature étrangère

L'énigme de l'arrivée

En 1950, un adolescent d'origine hindoue quitte les Caraïbes pour devenir écrivain en Angleterre. Trente années plus tard V.S. Naipaul, auteur consacré, se retire à la campagne et tente de faire le point sur son œuvre, sur lui-même, sur son pays d'adoption. Avec l'implacable lucidité qui le caractérise, il évalue les dégâts du " progrès ", mais aussi les promesses que l'avenir dessine. S'il célèbre et regrette un certain art de vivre, il se garde de condamner celui qui lui succèdera. Depuis son modeste observatoire du Wiltshire, il observe la crise permanente des civilisations, tirant de tant de bruits et de fureur, un livre d'une exemplaire sagesse.

11/2001

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