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Littérature française (poches)

Le Navire Argo

Séquestré dans une cave par sa mère, Frédéric Mops est délivré à l'âge de dix-huit ans. Nous sommes en 1960 et il parle en vieux français ! Recueilli à Paris par son oncle et sa tante, il découvre la langue et le monde contemporains. Au cours de son parcours initiatique, Frédéric rencontre divers personnages plus ou moins extravagants : Bernadette, Aline, Marie-Véronique qui lui enseigne l'amour, mais aussi l'œuvre de Jean Jacques Rousseau et le Dictionnaire de Littré, qui le fascine. Après Mai 68, la démolition des Halles et la construction de Beaubourg, un certain Prince Pelée qui, comme Frédéric Mops, porte un nom d'Argonaute, lui propose d'embarquer sur le Navire Argo, le bateau de la Toison d'Or...

02/1993

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Littérature étrangère

Le navire obscur

Né dans le Kurdistan irakien, Kerim ne connaît que la guerre, le pouvoir répressif des puissants, la violence : son père est tué sous ses yeux. Kerim, encore adolescent, le remplace au sein de la famille et de la petite entreprise familiale, une auberge, il prend sa place aux fourneaux. Jusqu’au jour où, allant rendre visite à ses grands-parents dont la famille est sans nouvelles, il est capturé par ceux qui se nomment « les combattants de Dieu » : enrôlé de force dans leurs rangs, il les suit dans leurs exactions jusqu’à ce qu’il arrive, au prix d’un crime, à se libérer de leur violence et à leur échapper. De retour dans sa famille, Kerim n’a qu’une idée : quitter l’Irak le plus vite possible et gagner clandestinement l’Europe, et plus précisément l’Allemagne. Kerim survit à une traversée clandestine épouvantable et débarque chez l’un de ses oncles à Berlin où il souhaite commencer une vie nouvelle. Là, ce sont d’autres problèmes qui commencent : son passé le rattrape, il lui colle à la peau, l’intégration dans le quotidien européen ne ressemble pas à ce qu’il avait imaginé, même s’il trouve sur sa route amour et bienveillance. L’échec est programmé.

01/2011

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Poésie

Fenêtre mon navire

Dans la continuité d'Images, mes catins, Le tremble et l'acacia, A quatre épingles, A dire vrai, Faubourg des fées, Oboles, voici un nouveau volume des poèmes de Daniel Boulanger. Ces courts textes, "définitions imagées" , selon leur auteur, nous touchent d'autant plus que leur sobriété provoque le jaillissement des images dans une intensité rare. Retouches à la bourrasque devant les fleurs du paravent blessées de jeux autrement traîtres dans le blanc lit de la fenêtre les arbres font l'amour au vent

09/2008

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Littérature française (poches)

Mon beau navire

Caracas, 20 avril 1962. Pour la troisième fois, Roséliane, treize ans, fille de haut fonctionnaire, embarque sur le magnifique transatlantique Balboa : une traversée de douze jours va la mener en France pour les vacances scolaires. Femmes seules, officiers séducteurs, dîners, fêtes : l'œil aigu, l'âme troublée, le cœur en alerte, entre la magie de l'enfance, son humour féroce, et les émois de l'adolescence, en compagnie de Dimitri ou de sa nouvelle amie Dominique, inquiétante et fascinante, Roséliane observe le ballet des conquêtes, des jalousies, des abandons, des jeux adultes. Que se passe-t-il, la nuit, dans les cabines, dans les coursives, autour de la piscine ? Et à quoi joue donc sa mère, la belle Pauline ? Les réponses ne lui seront données qu'au terme du voyage qui restera dans sa mémoire, avec ses enchantements et ses désillusions, comme le passage déchirant d'une de ces frontières imaginaires en deçà desquelles on ne revient jamais.

08/1991

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Littérature étrangère

Qu'importe le navire

Mahindan et son fils de six ans, Sellian, débarquent sur l'île de Vancouver, fuyant la guerre au Sri Lanka avec quelque cinq cents réfugiés, portés par le rêve d'une vie nouvelle. Le bruit court que parmi les boat-people se trouvent des terroristes. Emprisonnés, les réfugiés voient leur passé resurgir et la chance d'obtenir le droit d'asile se dissiper. Inspiré de faits vécus, Qu'importe le navire est un roman d'une force inouïe où chaque décision est question de vie ou de mort.

01/2021

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Littérature étrangère

Du navire d'argent

Valery Larbaud a été le premier grand " passeur " en France de la littérature d'Amérique latine. Mais il s'est employé aussi à faire connaître la littérature française en Argentine. En 1923, il accepte une proposition de La Nacion, le quotidien de Buenos Aires. Pendant trois ans, il envoie au journal un article mensuel sur la littérature française. Vingt-trois en tout, rédigés directement en espagnol. " Tout ce que j'avais écrit en espagnol jusqu'à ce moment-là, dit-il en s'excusant, c'était quelques lettres amicales ou d'affaires, et quelques billets doux. " Il a repris certaines de ses chroniques dans le recueil intitulé Ce vice impuni, la lecture : domaine français. Pour La Nacion, il ne prétend pas exercer la fonction de critique, mais plutôt celle d'informateur qui va initier à la littérature française des lecteurs se situant à tous les degrés de culture. Il dresse un plan de campagne presque militaire, en faisant défiler des recueils d'histoire littéraire, puis des articles sur la poésie contemporaine, et d'autres sur les précurseurs. Enfin, " quatrième et dernier corps d'armée (Réserve, Garde Royale, Bataillon Sacré) : une série de huit chroniques sur d'anciens poètes : XVe, XVIe, XVIIe siècle. " Il n'oublie pas de lancer, comme " une vague d'assaut irrésistible ", ce qu'il appelle " la brigade des amazones ". Il met à sa tête Louise Labbé, la Belle Cordière, et " la grande Deshoulières ", la poétesse élégiaque du XVIIe siècle, que ses contemporains appelaient la Dixième Muse, et dont il cite, avec de vifs éloges, un rondeau intitulé Entre deux draps. Ainsi, ces articles destinés au public d'un quotidien étranger traitent parfois d'auteurs qu'en France même, de rares érudits sont seuls à connaître. Larbaud a eu l'intention de publier en livre, à Buenos Aires, l'ensemble des articles de La Nacion. Il avait trouvé un titre : Desde la Nave de Plata. Le Navire d Argent, ce n'est sans doute pas sans intention. C'était le titre d'une revue fondée par Adrienne Monnier. Et le Navire d'argent transportait dans ses cales, jusqu'aux rives du Rio de la Plata, la littérature française.

10/2003

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