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Littérature étrangère

Le pavillon des orphelines

A la maison, Maggie parle français avec sa mère mais son père a exigé qu'elle suive ses études à l'école anglophone. Malgré leurs différences culturelles, ses parents s'accordent sur la décision à prendre lorsque leur fille leur annonce sa grossesse. A seize ans, Maggie n'a d'autre choix que d'abandonner son enfant à la naissance, de renoncer à son grand amour et de rentrer dans le droit chemin. Elodie grandit dans des conditions précaires à l'orphelinat. La situation empire en 1955 lorsque l'établissement devient un hôpital psychiatrique. Comme des centaines d'autres orphelins québécois, Elodie est déclarée malade mentale et subit bientôt les pires sévices. Maggie, elle, s'est mariée à un homme d'affaires impatient de fonder une famille. Malgré tout, la jeune femme ne peut oublier Elodie et se met à sa recherche. Mère et fille parviendront-elles à se retrouver ?

03/2019

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Littérature anglo-saxonne

Les orphelines du train

Kirsty se retrouve orpheline à la mort de ses parents en 1939. Désormais seule au monde, à tout juste 14 ans, elle n'a plus rien à perdre. Alors quand on lui propose de partir en Hongrie pour travailler dans une école comme fille de cuisine, elle accepte. Sur place, elle fait la connaissance d'une famille juive. Il y a Anna, une jeune fille de son âge et son frère Endre, dont elle tombe bientôt amoureuse. Mais la guerre fait rage et Endre est envoyé sur le front. Le bonheur devra attendre. Lorsque les nazis envahissent le pays, Anna et Kirsty se retrouvent seules et sont confrontées à l'horreur d'un monde à feu et à sang. Le froid, la faim, la mort... Les deux jeunes filles risquent leur vie à chaque instant. Elles se font alors une promesse : elles veilleront toujours l'une sur l'autre pour tenter de survivre. Ensemble.

03/2024

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Non classé

Les OrpheLines - Récits de vies

Le vent qui bruit dans les vignes grimpantes murmure : "Je pars sans jamais te quitter" . C'est ainsi qu'il s'enracine dans nos mémoires. De même, les âmes sillonnent-elles le temps et se transmettent par le prénom. Je ne savais pas ce que cela signifiait jusqu'au jour où, dans un songe, une voix m'a parlé : "Tu es issue d'une lignée immémoriale de femmes qui portent, supportent, me dit-elle. Aujourd'hui, il est temps de déposer les fardeaux de tes ancêtres pour que s'éteigne la chaîne des tourments. Après toi, ta fille et ses filles, enfin seront libres. - Qui es-tu ? - Je suis ELLine ton aïeule, celle qui éclairera ton chemin. Je brille dans l'effroyable nuit qui, depuis trop longtemps, entoure les femmes. Je suis plus que l'espoir, je suis le gage de votre succès sur le chemin de la liberté, de votre combat pour la paix des femmes... " Je m'appelle moi-même Eline, c'est le fragile héritage que m'a laissé mon aïeule ; j'ai perdu l'L, il est vrai, mais j'ai gagné la liberté. Je vais vous conter mon histoire et celle des femmes qui sont de ma lignée : ELLine, Marie, Dame Léceline, Lucie, sa fille Claire et Séverine.

11/2019

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Santé, diététique, beauté

La damnation des maladies orphelines

A travers son expérience personnelle des maladies rares, Inès Demaret nous propose une analyse sans concession des systèmes de soins de santé actuels. Elle rapporte le mirage de l'égalité pour tous en matière de soins, la domination des firmes pharmaceutiques sur les Etats pris en otage, les discriminations des droits des patients et la situation inadaptée des malades chroniques au marché du travail. Elle relève aussi la considération insuffisante des répercussions des douleurs chroniques sur le malade et son entourage. Loin de se contenter de ces constats, Inès Demaret propose comme pistes de solutions aux patients de se réapproprier leurs choix de vie et aux professionnels de La santé d'abandonner définitivement le paternalisme en découvrant "l'humiligence" comme éthique du quotidien.

05/2019

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Littérature française

Les Orphelines du mont Luciole

Des champs sauvages, trois fermes, une école à classe unique à l'ombre d'un orphelinat abandonné. Au village, on dit que toutes ses pensionnaires y sont mortes d'un coup, fauchées par la grippe espagnole au lendemain de la Grande Guerre. On ne sait rien de plus. Une enfant refuse l'oubli. Les orphelines sont ses fées. Alors, quand des promoteurs débarquent pour construire un lotissement à l'endroit de leurs tombes, elle promet de revenir, adulte et conquérante. De sauver la colline et ses légendes. Dans ce premier roman somptueux, Isabelle Rodriguez réactive l'imaginaire propre au temps de l'enfance. Sa langue sensuelle et incantatoire convie le mystérieux et le sacré, la beauté des campagnes et la culture ouvrière des monts du Lyonnais où elle a grandi et où elle est revenue vivre. Magnifique réflexion sur l'héritage et la préservation des traces, Les Orphelines du mont Luciole prolonge son travail de plasticienne dédié aux oubliés de l'histoire.

01/2023

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Littérature française

Les deux orphelines. Tome 1

Vers la fin du règne de Louis XV, à l'époque où le successeur de Louis le Grand en était à se défendre, et à se mal défendre, d'autoriser le pacte de famine en se faisant lui-même accapareur de grains, une grande misère désolait la France. L'hiver vint l'augmenter encore, un hiver d'une violence rare dans nos climats, mais qui, malheureusement, devait se reproduire quelques années plus tard et amener les plus terribles désastres. L'inquiétude, disons mieux, une sorte de terreur régnait partout. Paris lui-même, ce Paris d'ordinaire si animé, si vivant, ce centre de l'activité, du travail et des plaisirs sous toutes les formes les plus brillantes, Paris avait pris un aspect lamentable. La nuit venue, toutes les lumières s'éteignaient, il se faisait un silence lugubre. Paris semblait une ville morte. Dans une vieille maison de la rue de la Mortellerie, qui était alors une des plus sombres et des plus anciennes rues du vieux Paris, au sixième étage, sous les toits, vivait un ménage d'ouvrier, bien heureux d'avoir trouvé à se loger pour trente écus par an ; les loyers étaient déjà si chers ! Certes, l'installation n'était pas somptueuse ; une toute petite mansarde, des murs blanchis à la chaux, un plafond que l'on touchait facilement de la main, pas de cheminée et, comme fenêtre, une espèce de lucarne si étroite que, pour respirer un peu d'air frais, ou profiter d'un rayon de soleil, il fallait, si l'on était deux, se prendre par la taille et se serrer l'un contre l'autre. Les deux jeunes époux qui habitaient cette mansarde ne voyaient aucun inconvénient à cela, pas plus qu'ils ne se plaignaient, en quittant la rue pour rentrer chez eux, d'avoir à parcourir, bras dessus, bras dessous, une allée basse, humide, et de grimper un sombre escalier tournant, à peine éclairé à chaque étage par un oeil- de-boeuf qui donnait sur la cour, si l'on peut appeler ainsi une espèce de puits empoisonné par les eaux ménagères que l'on jetait du matin au soir.

02/2023

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