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Lorgnant du côté de l'audiovisuel ou du jeu vidéo, les éditeurs se mettent aussi aux offres en streaming, ou en diffusion continue. Pearson, un des grands groupes d'édition du secteur scolaire, dévoile ainsi Pearson+, avec un tarif à 9,99 $ ou 14,99 $ pour accéder à différents titres.

Les ebooks scolaires de Schwarzenegger, Pearson acquiesce

Hodder Education (division de Hachette UK) a annoncé vendredi 5 décembre 2014 avoir acquis auprès de Pearson son catalogue de manuels scolaires destinés aux territoires anglophones des Caraïbes. Ce catalogue de plus de 500 titres couvre les cycles primaire et secondaire. Cette acquisition renforce la place de Hodder Education dans les Caraïbes, région qui fait partie des marchés stratégiques de la division.

L'un des plus importants groupes d'édition mondiaux, Pearson, spécialisé dans les manuels scolaires et autres ressources pédagogiques, annonce qu'il embrasse pleinement le format numérique pour le marché américain. Confronté à une crise du secteur de grande ampleur, l'acteur historique a peiné à se renouveler, mais assure que le pire est désormais passé.

En ce moment, aux États-Unis, sont passés les tests d'évaluation scolaire qu'administre Pearson, dans le cadre de son

Une réalité économique morose

Pour se sortir d’une situation économique pourtant redressée, mais minée par des dettes, le groupe éditorial Pearson travaille à une nouvelle approche. Le secteur éducatif/scolaire, en proie à de multiples hésitations, a déjà opéré des coupes sévères. Désormais, l’avenir sera numérique, c’est acté, et les perspectives convergent donc vers internet.

Depuis le début de l'année 2022, les panneaux photovoltaïques placés sur le toit de l'école Albert Thomas, à Bordeaux, couvrent les besoins en électricité de la bibliothèque Mériadeck, plus grande bibliothèque de la ville. Un véritable projet d'autoproduction, qui devrait bientôt s'étendre à toute la ville. 

A l'issue du jugement du Department of Justice américain, du 10 juillet dernier, la firme à la pomme était reconnue coupable d'entente illégale sur le prix des livres numériques distribués dans l'iBookstore. Apple doit désormais, et ce, pour deux années à venir, se soumettre à la surveillance d'un auditeur externe. Celui-ci a été désigné en la personne de Michael R. Bromwich.

Pearson a décidé de permettre à d’autres que ses propres éditeurs d’exploiter leurs riches bases de données, par exemple leur dictionnaire, leur guide de Londres ou leurs archives du Financial Times.

La nouvelle était tombée en juillet dernier : l’éditeur britannique Pearson se délestait du Financial Times, dans lequel il était actionnaire. Le repreneur n’est autre que le japonais Nikkei. Pearson a alors annoncé ce lundi 30 novembre que la vente est désormais « finalisée ». 

Le groupe d'édition britannique Pearson vient de communiquer sur ces résultats du premier semestre 2014. Les chiffres donnés ne sont pas particulièrement bons, avec un bénéfice qui s'inscrit en baisse. Le groupe explique cette situation par des coûts de restructuration qui s'inscrivent en augmentation. Les effets de change auraient aussi nui à l'éditeur, selon l'agence Reuters.

Depuis hier, la nouvelle d'une possible fusion entre les groupes Bertelsmann et Pearson, autour de leurs filiales éditoriales ne manque pas de susciter quelques réflexions, alors que l'on en est encore qu'au stade des possibles négociations. Dans tous les cas, le cabinet d'expertise Exane BNP Paribas, spécialisé dans les investissements, dresse plusieurs pistes de réflexion intéressantes.

Hodder Education, filiale scolaire de Hachette UK, a annoncé qu’elle a acquis auprès de Pearson son catalogue scolaire en langue anglaise pour Singapour. 

Malgré des résultats en hausse, Pearson poursuit sa politique de suppression de postes dans le cadre d'un vaste plan d'économies. Après la vente de 22 % du groupe Penguin Random House à Bertelsmann, qui en devient l'actionnaire majoritaire, Pearson cherche encore à améliorer ses résultats, qui sont pourtant redevenus positifs.

Le groupe Pearson vient d'annoncer une augmentation de 72% de son chiffre d'affaires sur l'exercice 2011, soit 1,15 milliard de pounds (1,18 millard d'euros), grâce notamment aux ventes d'ebooks de Penguin qui ont doublé, et du FT Group (maison mère du Financial Times) dont les bénéfices ont augmenté de 25%.

Alors que le rapprochement entre les deux groupes Bertelsmann et Pearson a été confirmé hier, on se dirige donc vers la création, mi-2013, d'une super structure, sobrement baptisée Penguin Random House. Mais l'éclairage porté sur la célèbre maison au Manchot a également incité Pearson, son actuel propriétaire, à quelques commentaires.

Les best-sellers des manuels scolaires de Pearson viennent d'intégrer, sous le format d'une toute nouvelle gamme, l'iBookstore du Royaume-Uni, d'Australie et du Canada. Les ouvrages contiennent désormais des outils multimédias avec de la vidéo, de l'audio, des images et animations 3D interactives, ainsi que des systèmes d'évaluation.

Des résultats plutôt mornes et la vente du Financial Times en juillet dernier laissaient croire que le groupe d'édition britannique Pearson était en mauvaise posture. Des rumeurs commençaient même à circuler sur le détenteur de 47 % du consortium Penguin Random House : on évoquait une possible vente au bénéfice de Bertelsmann, l'autre propriétaire de PRH. Mais Pearson vient de balayer ces bruits de couloir... pour un certain temps.

Finies, les formations professionnelles, explique l'éditeur Pearson, qui a décidé d'abandonner ce pan d'activité, en Grande-Bretagne. Pearson in Practice arrête donc, suite à un audit réalisé en octobre 2012, qui a incité les dirigeants à réfléchir : 120 millions £ de coût, c'était probablement trop, alors que, depuis 2010, la firme avait réalisé des acquisitions pour développer justement ce secteur.

Pearson vient d'investir dans la joint venture Microsoft-Barnes & Noble : Nook Media. Microsoft avait déjà investi dans le projet de B & N la somme de 300 millions de dollars au mois d'avril. Pearson, propriétaire du Financial Times, a annoncé une participation à hauteur de 89,5 millions de dollars, ce qui correspond à une part de 5% dans cette entreprise destinée à faire la concurrence à Amazon.

Après 16 ans de direction à la tête du groupe Pearson, numéro un mondial de l'édition scolaire et éditeur du Financial Times, Marjorie Scardino, âgée de 65 ans, prend une retraite anticipée.

Que se passe-t-il quand en pleine révolution sociale, sur fond de violences en Lybie, un groupe d'édition se fait pointer que l'un de ses actionnaires n'est autre que la Libyan Investment Authority ? Eh bien... ça ne joue pas vraiment la langue de bois, en fait.

Des salaires gelés pour les salariés de Pearson

Création d'un établissement de réinsertion scolaire à Vaujours (93)

Un livre restitué à une bibliothèque scolaire après 73 ans

Courdécol 13 : des ressources en ligne pour l'accompagnement scolaire

Luc Chatel avait annoncé son projet d'expérimentation « cours le matin, sport l'après-midi » en mai et il le concrétise ce mois-ci pour une mise en place à la rentrée scolaire.

Le groupe d'édition britannique Pearson a l'intention de céder les parts qu'il possède dans le supergroupe international Penguin Random House, ce qui pourrait profiter au groupe allemand Bertelsmann, qui en possède l'autre moitié. Bertelsmann pourrait ainsi mettre la main sur un des groupes les plus puissants de l'édition mondiale. 

Le groupe britannique Pearson, toujours classé parmi les plus importants acteurs de l'édition internationale, vit des mois difficiles : pour satisfaire les actionnaires, ce géant de l'édition a dû se séparer d'une partie de ses parts dans Penguin Random House, et a désormais cédé Wall Street English, célèbre société spécialisée dans l'apprentissage de l'anglais. Deux groupes asiatiques, Baring Private Equity Asia et CITIC Capital, récupèrent la marque.