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Dossier

Rencontres nationales de la librairie 2019 : les libraires à Marseille

C’est à Marseille que s’ouvrent ce 30 juin les 5es rencontres de la librairie, occasion de réunir près de 1000 professionnels — dont 200 éditeurs et quelque 600 libraires. Deux journées professionnelles sous le thème « Engagé et sous tension, le libraire en équilibre ». 

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres d'Andrea Camilleri

Andrea Camilleri était un écrivain italien, né le 6 septembre 1925 à Porto Empedocle (Sicile) et décédé le 17 juillet 2019. Il a grandi dans un environnement marqué par les traditions et les coutumes de la Sicile. Après avoir terminé ses études secondaires, il a déménagé à Rome pour poursuivre des études à l'université La Sapienza, où il a obtenu un diplôme en littérature.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Franck Thilliez

Franck Thilliez est l'un des auteurs français de thrillers les plus connus et appréciés du public. Depuis plus de 15 ans, il enchaîne les succès critiques et commerciaux, avec des romans aussi captivants qu'angoissants. Son style narratif unique, mélange de suspense, de psychologie et de surnaturel, a conquis des milliers de lecteurs à travers le monde.

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Dossier

Auteurs sans éditeurs, éditeurs sans auteurs ? Un podcast en 4 épisodes

Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »

Extraits

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Policiers

Pension complète

Dino Scala, habitué au faste de la vie luxembourgeoise, se voit obligé de séjourner aux Naïades, un camping perché sur les hauteurs de La Ciotat. Là, au royaume des tentes Quechua, il fait la connaissance de son voisin de bungalow, qui semble aussi perdu que lui : un écrivain célèbre, goncourisé même. Charles Desservy est venu ici se reconnecter à la vraie substance de la vie : les gens normaux. Et, dans ce dernier cercle de l'enfer - un camping bondé en plein été dans le Sud de la France -, les cadavres commencent à s'accumuler gentiment autour d'eux...

10/2018

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XXe siècle

Pension Esperanza

A peine la frontière espagnole franchie qu'un orage éclate, obligeant Raphaël Di Marco à se réfugier dans l'hostal le plus proche : "la Pension Esperanza". Recueillant les confidences des résidents de cet étrange établissement, le jeune généalogiste va découvrir le vrai visage de la guerre, une révélation pour cet enfant unique dont la mère a toujours refusé de raconter son passé de "brigadiste", allant jusqu'à lui interdire de l'interroger sur son géniteur, tombé sous les balles des soldats de Franco. Des années plus tard, Raphaël retraversera les Pyrénées pour mettre ses pas dans ceux de ce père inconnu.

07/2022

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Policiers

Pension Vanilos

Une série de vols, en apparence anodins, conduit Hercule Poirot à mener l'enquête au sein de la pension Vanilos. Cette pension pour étudiants est un joyeux mélange d'individus cosmopolites. Mais la liste hétéroclite des objets dérobés : une boîte de chocolat, un stéthoscope, un vieux pantalon de flanelle, un sac à dos hors d'âge et même une bague en diamants repêchée dans une soupière, intrigue Poirot. Son intuition lui dit que derrière ces petits délits, quelque chose d'autrement plus sérieux se trame. Sinon, pourquoi les pensionnaires de Mrs Hubbard auraient-ils tous l'air si inquiet ?

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Littérature française

Pension alimentaire

"Comment est-ce que tu peux divorcer ? dit mon père au moment de l'addition. Nous avions déjeuné dans cette brasserie à l'angle de la rue du Bac et de la rue de Varenne où ils servaient un tartare au paprika assez unique". "Un exercice de style réussi sur le divorce". L'Expansion. "Art désinvolte de croquer les horreurs de la vie, dérision élégante... . une façon bien à lui de saisir son époque, les tics du milieu parisien". Gérard Pussey, Elle. "Neuhoff traite avec drôlerie des glissements de terrain, des chutes d'arbres dans la géographie sentimentale et sociale d'aujourd'hui". Bernard Pivot, de l'académie Goncourt, JDD. "Neuhoff sait raconter dix ans de vie en deux lignes... Du Claude Sautet bousculé par le Cassavetes de Husbands. Très drôle et très triste, très violent et très tendre. Comme nos vies... Une comédie de moeurs de grande classe". Christian Authier, Le Figaro. "Un superbe roman. Un peu à la façon d'une longue nouvelle de Fitzgerald". Gilles Martin-Chauffier, Paris-Match. "Une chronique des jours malheureux, où chaque phrase est un enchantement. Quel écrivain ! " Patrick Besson, Marianne. "D'une redoutable férocité, d'une beauté crue... Un grand livre sur les bons sentiments qui conduisent aux mauvais". Anthony Palou, Le Figaro Magazine. "Panache, ironie, une douloureuse pudeur qui file la chair de poule... Le récit d'un homme à l'élégance rare. Un bouquin sublime". Nicolas Rey, VSD. "La plupart des pouffements de Neuhoff sont des sanglots réprimés. Au lecteur de les débusquer derrière ses sarcasmes et son petit rire sec à la Léautaud". Jacques Nerson, Le Nouvel Observateur. "Une lucidité qui fait mal, un livre qui observe les blessures du divorce avec le regard de l'homme qui n'en demeure pas moins un père". Valérie Gans McGarry, Madame Figaro. "Alerte, cruelle, lucide et drôle... la chronique douce-amère d'un amour sur le déclin puis d'une séparation inéluctable... Une bonne dose d'autodérision et un sens de la formule irrésistible". Delphine Peras, Lire. "Il faut se méfier de Neuhoff, comme il faut se méfier de Blondin ou de Giraudoux. Ce sont des écrivains mezza voce, de la litote, du dépouillement... Il fait de la pudeur un style. Au lieu de dramatiser, il gomme. Au lieu de s'appesantir, il glisse... Art de l'ellipse, du dépouillement, de la rapidité : la classe, quoi ! " Jacques-Pierre Amette, Le Point. "Ce roman est ce que les Anglais appellent une comédie de manières. Quand on dit comédie, c'est par politesse. Une tristesse passe sur ce livre vif et rapide. A lire d'office". Charles Dantzig, Bibliobs. fr "Tout en finesse, Neuhoff navigue dans un univers qu'un Truffaut n'aurait pas renié. A écrire ironiquement des sentiments dévastés, il pourrait devenir un produit de luxe français : l'élégance fait livre". Benoît Delmas, Témoignage chrétien. "Le titre -Pension alimentaire- est à lui seul un programme, qu'Eric Neuhoff exécute avec sa maîtrise habituelle. Dans un style sobre et incisif". Marie-Claire. "Un cinglant roman de désamour, des pages d'une sobriété poignante. Comme si Neuhoff n'avait feint de s'emporter que pour mieux cacher ses larmes". Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.

08/2007

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Romans policiers

Pension Vanilos

Dans une pension de famille où logent des étudiants, quelqu'un s'amuse à commettre de menus larcins et de petits actes de malveillance. Des délits bien trop insignifiants pour prévenir la police... et bien indignes du génie d'Hercule Poirot. Pourtant, le célèbre détective belge s'interroge. Et les choses se gâtent...

01/2023

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Littérature étrangère

Pension de famille

Une pension de famille entourée d'arbres, non loin de Varsovie. C'est dans ce lieu que le narrateur a passé ses premières vacances, jadis, avec grand-mère Bronka. Quand il y retourne bien des années plus tard, les souvenirs affluent dès qu'il franchit la grille. Le lieu semble flotter hors du temps, habité autant par le passé que par le présent. Quand une des pensionnaires, la vieille Tecia, lui confie des boîtes à chaussures emplies de lettres, de cartes postales et de photos, le narrateur se met à reconstituer des pans entiers d'un monde disparu. Alors, en quinze chapitres, le roman nous invite à un voyage dans le temps  :  la grand-mère Bronka n'est plus de ce monde, mais d'anciens pensionnaires comme Tecia et Mala - qui se chamaillent sans cesse - accueillent le narrateur avec bienveillance. Il y a aussi Stefa, qui lui avait appris à dessiner avec des pommes de pin, le docteur Kahn et ses dragées, Leon qui a perdu toutes ses dents en Sibérie, et Abram qui a décidé de rester malgré la mort de tous les siens... Peuplé par des personnages singuliers, drôles ou tragiques, et soutenu par une langue chatoyante, le roman se lit comme l'élégie d'un monde englouti. Mais Pension de famille nous offre aussi un puissant témoignage de la troisième génération après la Shoah, et un livre bouleversant sur la transmission d'une mémoire.

11/2016

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