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Afin de répondre aux résultats plus que moyens obtenus par la France à

Dans sa publication de janvier 2015 PISA à la loupe, l’OCED pose finalement une question assez simple : que faut-il faire pour progresser au sein du classement PISA ? Afin de trouver des pistes, l’organisation s’est intéressée aux pays qui ont fait des progrès depuis 2000, notamment l’Allemagne, le Brésil, la Grèce, l’Italie, ou encore le Mexique.

Classée 27ème sur 65 pour les mathématiques par les évaluations Pisa de l’OCDE, la France se devait de réagir en mettant les bouchées doubles du côté des sciences. A peine deux mois après la publication de ces résultats catastrophiques, Luc Chatel sort ses armes pour relever le niveau des élèves.

Selon les résultats de la dernière enquête Pisa (portant sur 2012), révélés mardi, la France continue de descendre dans le classement, passant de la 22ème place en 2009 à la 25ème place en 2012 sur les 65 pays qui participent.

Invité jeudi sur le plateau du Grand journal de Canal +, le ministre de l'Education nationale a parlé, en avant-première, des résultats de l'enquête PISA 2012. Ces derniers ne seront divulgués qu'en décembre, mais, selon Vincent Peillon, ils feraient état d'une nouvelle dégradation des résultats obtenus par les petits Français, rapporte Le Café pédagogique.

Dans une nouvelle enquête établie à partir des résultats PISA 2012 concernant les pays de l’OCDE, les conséquences du temps passé sur Internet sont passées au crible. Dans ce Pisa à la loupe de janvier 2016, il apparaît qu’en 2012, les élèves de quinze ans passaient plus de deux heures en ligne chaque jour en moyenne.

Dans la dernière publication de PISA à la loupe, l’OCDE s’intéresse aux devoirs à la maison en posant la question suivante : « Les devoirs entretiennent-ils les inégalités en matière d’éducation ? »

Une enquête PISA 2012 montre que les jeunes Français ont un niveau correct concernant la résolution des problèmes du quotidien, en obtenant des résultats au-dessus de la moyenne des 44 pays participant à ces évaluations.

Dans l’enquête PISA 2012, une nouvelle forme de compétence a été évaluée chez les élèves de l’OCDE. Il s’agit des compétences des élèves en compréhension de l’écrit électronique en termes de lecture, de navigation et de compréhension. « Une simulation de navigateur, incluant sites web, onglets et hyperliens, permettait d’offrir un environnement contrôlé au sein duquel la performance des élèves en compréhension de l’écrit, mais aussi leur comportement en matière de navigation, pouvaient être observé », précise Pisa à la loupe dans son dernier numéro publié en septembre 2015.

Présentée ce 23 mai, l'enquête internationale PISA évalue tous les trois ans, chez les élèves de quinze ans, les compétences en compréhension de l'écrit, culture mathématique et culture scientifique. La lecture au collège, petit livre du Centre national de documentation pédagogique,

Dans une nouvelle publication de PISA à la loupe, l’OCDE s’est intéressée au rôle que peut jouer l’école dans l’intégration des immigrés. Tout d’abord, l’OCDE a voulu relativiser, grâce à des chiffres, l’impression d’une arrivée massive d’immigrés en Europe.

Dans son étude Pisa 2009, l'OCDE s'était penchée sur l'impact du bruit et de la discipline dans les salles de classe. Et le résultat de l'enquête était clair, rapporte Le café pédagogique : plus la discipline règne, plus les inégalités sociales se réduisent devant les savoirs dispensés.

Dans le numéro d'octobre 2015 de Pisa à la loupe, les analystes de l’OCDE ont étudié le rapport entre la confiance des élèves et leur capacité à résoudre des problèmes de mathématiques. Et l’on remarque « une étroite corrélation entre l’efficacité perçue en mathématiques et la performance dans cette matière. »

A travers sa publication de juin 2015, PISA à la loupe, l’OCDE, note une nette amélioration de la dotation des établissements d’enseignement entre 2003 et 2012. Cette revalorisation des ressources disponibles a permis d’accroître la dotation de chaque structure « en matière de personnel enseignant, de matériel didactique et d’infrastructures. »

Avant même d’analyser les résultats obtenus par une école, les parents, pour inscrire leurs enfants, s’intéressent d’abord « à la sécurité, à la qualité de l’environnement et à la réputation de l’établissement. »  C’est ce que révèle une publication de l’OCDE, dans le N°51 de Pisa à la loupe.

L’Allemand Andreas Schleicher, directeur de la Direction de l'éducation et des compétences de l'OCDE, n’est pas adepte de la langue de bois. Travaillant au cœur du système qui a mis en œuvre depuis 2000 les fameuses enquêtes PISA, ce statisticien de formation n’en finit pas de faire parler les chiffres.

Après les résultats toujours affligeants pour le système éducatif français des enquêtes PISA, voici à nouveau un rang peu glorieux qui est affecté à l'Hexagone par l'OCDE. Des enquêtes menées depuis 2006 auprès de 166 000 adultes âgés de 16 à 65 ans, dans 24 pays, placent la France en 22ème position.

Dans la publication d’octobre de PISA à la loupe, l’OCDE s’intéresse aux liens existant entre les moyens financiers mis en œuvre et les résultats obtenus par les élèves. Il s’avère que dans les pays de l’OCDE aux ressources assez limitées, le déploiement des moyens dans l’éducation se fait de façon d'autant plus inégalitaire entre les établissements.

A la lecture des résultats des évaluations Pisa et Pirls (Progress in International Reading Literacy Study) de 2012 les débats continuent de s'enflammer en Belgique francophone concernant l’évolution du niveau de lecture. Cette situation conduit à une impossibilité de se mettre d’accord sur la méthode la plus à même d’apprendre à lire le mieux à tous.

Dans son numéro de février 2015 de PISA à la loupe, l’OCDE s’intéresse aux liens qui existent entre l’anxiété et les mathématiques chez les élèves de quinze ans. En toute logique, il en ressort tout d’abord qu’ « une plus grande anxiété vis-à-vis des mathématiques est associée à de moins bons résultats dans cette matière. »

Dans son édition du mois d’août 2015 de PISA à la loupe, l’OCDE s’est intéressée à l’enseignement des mathématiques entre 2003 et 2012. Premier constat : « quel que soit le type d’établissement fréquenté (public ou privé, favorisé ou défavorisé), en 2012, les élèves de 15 ans ont passé plus de temps en cours de mathématiques que leurs homologues en 2003. »

Selon les évaluations pratiquées par l’OCDE et notamment le classement Pisa, il fait bon étudier, jusqu'à l'âge de 15 ans, en Finlande. C’est pourquoi depuis plus d’une décennie, le pays reçoit régulièrement des délégations étrangères venues tenter de comprendre pourquoi le système scolaire finlandais est-il aussi bon. Voilà exactement ce que compte faire Luc Chatel durant les prochains jours, profitant du retour à l’école des petits Finlandais.

Le Palais de la Sagesse a été sévèrement ébranlé par les récents tremblements de terre en Italie, dont l'épicentre a été localisé en Emilie-Romagne, province qui jouxte la Toscane, où se situe la ville de Pise. Les autorités proposent de déplacer les ouvrages dans des entrepôts de Marina di Pisa, une station balnéaire distante de 11 km. Mais les universitaires s'y opposent : la bonne conservation des 600.000 volumes serait menacée.

Dans la nouvelle publication de Pisa à la loupe, l’OCDE s’intéresse à l’aspiration à devenir enseignant. Au sein des pays de l’OCDE, cela concerne 5 % des élèves: 3 % des garçons et 6 % des filles. En général, les élèves qui émettent un tel souhait ont un niveau de compétences en mathématiques et en compréhension de l’écrit inférieur à celui d’autres élèves ambitieux qui espèrent devenir cadres, mais dans un autre domaine.

Dans une nouvelle publication, l’OCDE s’interroge et fait des propositions sur les outils à mettre en œuvre pour assurer un meilleur apprentissage des mathématiques par tous les publics. L’enquête PISA a depuis longtemps établi qu’en mathématiques, les élèves défavorisés sont en général devancés par leurs pairs favorisés – même si les écarts de performance varient sensiblement entre les pays. Mais une question se pose alors : dans quelle mesure les enseignants et l’école peuvent-ils y remédier ?

Alors que vont s'ouvrir des négociations salariales importantes pour les enseignants, le sénateur UMP Jean-Claude Carle propose de mettre en place un système inédit. Il voudrait augmenter le salaire des enseignants en fonction des prochains résultats obtenus par les élèves aux évaluations internationales PIRLS.

Si aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années, la maturité des filles, à l’école, est souvent mise en avant. Jusqu’à l'adolescence, et ce, dans tous les pays, un tout autre constat semble identique : les filles sont meilleures aux tests de lecture que les garçons. Alors, comment expliquer que cette différence s’estompe finalement, dès l'entrée dans l'adolescence et chez les jeunes adultes ?

Baisse du plaisir de lire généralisée ? Voilà une étude qui va propager gentiment la morosité que les premiers résultats de vente du mois d’août avaient participé à chasser...

S'amusant chaque jour, dans une chronique dénommée « Le vrai du faux », à valider ou invalider l'affirmation faite par un homme politique, nos confrères de France Info s'intéressaient jeudi aux propos de Vincent Peillon. Le ministre de l'Education nationale avait ainsi assuré que « les résultats des élèves français sont de plus en plus mauvais », rapporte Vousnousils.