place marché sandawe

L’époque est aux places de marché, mais jamais un éditeur ne s’était lancé dans ce type de commerce. Sandawe, dédié corps et âme à la bande dessinée, a décidé d’ouvrir Le comptoir BD. Et d’offrir ainsi aux collectionneurs et passionnés, un espace de vente dédié.

Au mois de juin, poètes, éditeurs et passionnés se retrouveront Place Saint-Sulpice pour le Marché de la Poésie. Au programme : des lectures, des rencontres et des concerts pour se détendre, mais aussi la convocation exceptionnelle d’« États généraux » pour débattre du genre littéraire, de son présent et de son avenir.

On aurait pu s'émouvoir, dans les groupes éditoriaux, de ce que l'an passé, 1510 auteurs vivaient, parfois difficilement de la création de BD, et de ce que ce chiffre soit descendu à 1492 pour 2013, selon le rapport réalisé par Gilles Ratier, pour le compte de l'ACBD. Un rapport qui indique un ralentissement de la production, immédiatement repris par des médias peu regardants, comme un signe de morosité dans le marché de la BD franco-belge. Ah, les fêtes de fin d'années, et les lectures hâtives...

Voilà quelques jours, un lecteur a sollicité la rédaction, signalant un dossier littéraire à ses yeux problématique. En effet, les ouvrages de la maison Kontre Kulture bénéficiaient d’une mise en avant très bien ordonnée sur le site LesLibraires.fr. Au menu, ouvrages de collabos, textes antisémites. « On trouve même le Protocole des Sages de Sion », s’indignait le client de la plateforme… Gloups ?

Vers une nouvelle place du marché au livres avec Pixplace

Le fondateur des éditions Sandawe, Patrick Pinchart, a publié un billet qui, au nom de sa maison d’édition, souhaite exprimer la solidarité « face à la barbarie ». Il rappelle combien la tragédie est vécue par certains, mais commune à tous. « Qu’il est difficile de trouver des mots lorsqu’on est assommé par l’horreur des images ! Pendant des heures, nous avons suivi en direct, par la télévision, par les réseaux sociaux, cette nouvelle abomination qui frappe encore Paris. »

Les éditions Sandawe, qui fonctionnent grâce aux apports financiers des internautes (voir notre actualitté), publient une nouvelle série BD, Spyware, dont le premier tome s'intitule OTAKU. Dessiné par Jean-Claude Bauer, sur un scénario de Quella-Guyot, cet album signe une nouvelle réussite dans le domaine du financement participatif de l'édition de bandes dessinées.

En novembre 2009, la maison d'édition BD Sandawe voyait le jour, et proposait aux internautes de devenir des ‘édinautes', en ouvrant la voie au crowdfunding. Patrick Pinchart, éditeur du site Actua BD, se lançait dans l'aventure qui, quatre ans plus tard, continue de faire parler de ses livres. Le premier titre était publié en février 2011, Maître Corbaque, et fin décembre 2012, la maison avait franchi la barre des 500.000 € de financements participatifs.

Amiens met en place un marché mensuel pour les livres anciens

La maison d'édition participative Sandawe vient d'annoncer que « le scénariste aux 50 millions d'albums », Raoul Cauvin, avait accepté le poste de directeur éditorial. Aux côtés du fondateur, Patrick Pinchart, il prendra donc part « aux choix éditoriaux et au suivi des projets ».

Devenir édinaute avec la nouvelle maison BD Sandawe

Grâce à quelques coups de pouce bien placés, Jeanne Delisle a pu obtenir un CDD dans un grand journal national à Paris. Venue de son Sud Ouest où son père dirige un centre d'équitation après avoir abandonné la région parisienne suite à un licenciement, elle ouvre tout grand ses yeux et ses oreilles en pénétrant dans un des lieux mythiques où se fait l'information.

Occupant la troisième place dans le secteur des smartphones en France (voir notre actualitté), avec 8,7 % du marché en volume et 7,1 % en valeur en octobre, Sony a de hautes ambitions pour l'année prochaine.

Voilà près de quinze jours que l'éditeur Sandawe a dépassé la barre symbolique, mais assez concrète, des 500.000 € de financement. Cette maison BD qui repose sur les apports financiers des internautes pour sortir des titres nouveaux. La maison belge, fondée par Patrick Pinchart, ancien rédacteur en chef du Journal de Spirou a été créée en novembre 2009 et vu son premier projet financé le 11 juin 2010. 

L'institut d'étude de marché GfK a profité des Rencontres nationales de la librairie pour présenter une grande étude sur le commerce de livres en général : les statistiques fournissent donc une photographie du marché du livre en 2016, et un aperçu de l'évolution en 10 ans. Achats sur internet, occasion, profils des acheteurs de livres : une analyse qui désamorce quelques idées reçues.

Quand Sandawe  a fait irruption dans le paysage éditorial et numérique, son approche collaborative démarquait déjà la maison de toutes les autres. Sandawe proposait un modèle spécifique, impliquant les internautes à l'intérieur de la structure éditoriale. Avec un projet simple :  faire connaître les oeuvres des auteurs alors qu'elles sont encore en construction, pour leur bâtir une meilleure visibilité lors de leur lancement.

C'est inédit, et annonciateur d'un changement d'époque. La plateforme de financement participatif Sandawe vient d'accueillir quatre auteurs dont les noms ne manqueront pas d'éveiller la curiosité. Deux projets ont été lancés sur la plateforme, le premier de Darasse et Tome, Les Minoukinis, Bronzage intégral. Le second, de Ridel et Cauvin, Le bâtard des étoiles. Cauvin et Tome, sont aujourd'hui deux scénaristes qu'il n'est plus nécessaire de présenter. Et les dessinateurs avec lesquels ils travaillent ne sont pas en reste.

Marché de la poésie - place Saint-Sulpice - Paris 6è - du 27 au 30 mai - stand 606

Cette semaine, une libraire de la ville belge d'Arlon, avait piqué une petite colère : une publicité pour la chaîne d'ameublement lui avait fait monter la moutarde au nez. « Pourquoi toujours offrir un livre ? », demandait Ikea. Et la libraire de répondre : « Pour être autre chose qu'une chose ». Une réaction vive, qui depuis, ne cesse de provoquer les réactions des professionnels, autant que du public. 

L'éditeur Sandawe, distribué par Hachette, s'était fait connaître avec la perspective d'une édition d'auteurs sur le modèle du crowfunding - les internautes participent financièrement à la parution de l'oeuvre.

Aurélie Filippetti et à sa suite Fleur Pellerin avaient garanti que le ministère de la Culture travaillerait sur la question des marchés publics. L’objectif était de parvenir à soutenir les collectivités dans une démarche plus locale – et par extension, de soutenir les librairies indépendantes dans un contexte difficile. Une nouvelle étape est franchie.

Plate-forme initiatrice du principe du financement participatif pour la bande dessinée, Sandawe a décidé de lancer une grande enquête pour en savoir un peu plus sur les usages des acteurs de ce marché en 2014.

Les fameuses places de marché, mieux connues sous le nom de marketplace, font l'objet de contrôles et de régulations dans le monde entier. L'Union européenne s'y est intéressée dès 2019 et, par une ordonnance, l'État français transpose de nouvelles mesures, en matière de protection des consommateurs, dans la loi française.

Sandawe revoit les budgets de lancement de ses BD à la baisse

Maingoval se fie aux édinautes de Sandawe pour Le secret des papes

Il règne sur la littérature et les livres, et le papier, pour des siècles et des siècles, amen ! Depuis le 20 mars, est apparue sur Twitter une figure qui sévit, sévère, sur le monde et ses ouvrages. « Je suis la littérature du vingtième siècle, vous entendez ? Touchez-moi, et vous croirez tourner les pages des plus grandes œuvres. »

L'attribution du nom de Place Soljenitsyne pour un lieu se trouvant près de la Porte Maillot (XVIe) a été votée au sein du Conseil de Paris, malgré les critiques de quelques élus de gauche. Faire de l'auteur de L'Archipel du Goulag, victime du stalinisme, un exemple ne va pas de soi pour certains élus.