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Poésie

Les bonbons pleurent

InsoliteCNL – Sandra Lillo est l'une des grandes révélations de la poésie contemporaine, Valérie Rouzeau affirme qu'elle est "devenue addict à la lecture quotidienne" d'un de ses poèmes. Une poésie à la fois du quotidien et universelle, ancrée dans notre société et notre époque, une écriture qui surgit de l'inattendu. La voix de Sandra Lillo, simple et profonde, mêle quotidien, rêve, intimité et amour de la littérature.

On est rapidement saisi par la fraîcheur et la gravité mêlées des mots. Par une "forte douceur" qui subtilement dit l'amour et le désespoir, la pauvreté et la jubilation. Une écriture dépourvue de prétention mais débordante de fulgurances, sobre et efficace, à la fois engagée socialement et dépouillée sur les petits riens du quotidien qui font la vie. A travers la poésie, Sandra Lillo aborde le quotidien et convoque ses souvenirs, elle parle des vivants et des morts, de la famille et de la solitude, du courage pour dire les choses et survivre au jour le jour.

Les bonbons pleurent est en quelque sorte un journal intime où les anecdotes personnelles deviennent très vite universelles.
 

10/2021

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Littérature étrangère

Quand les montagnes pleurent

Cette histoire est en grand partie inspirée des souvenirs d'enfance de l'auteur, qui a grandi au Kurdistan d'Irak. D'une plume ironique et acerbe parfois, il dépeint la vie d'une famille kurde à l'époque de Saddam Hussein, le quotidien à Mossoul, l'endoctrinement du parti Baas dans les écoles, les crimes d'honneur, le combat des peshmergas dans les montagnes, les amours de jeunesse, l'enrôlement forcé dans l'armée. Ce roman, publié en anglais en 2013, nous raconte toute la question kurde à travers le regard d'un jeune garçon, et résonne étrangement avec l'actualité.

04/2017

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Littérature française

Ainsi pleurent nos hommes

Un premier roman magistral qui raconte la dérive de l'histoire d'amour entre Erika et Vincent au Rwanda, 25 ans après le génocide des Tutsis. Kigali, 2018. Depuis sa rupture avec Vincent, Erika vit sur un fil. Elle décide alors de se faire hara-kiri par l'écriture, d'adresser à sa soeur des lettres pour " exorciser de son corps " un amour-dévastation qui l'habite encore. Elle raconte son histoire, mais également celles des êtres fragiles auxquels elle est attachée, qui eux aussi tentent de vivre. Avec James, frère second hand, Manzi, le séduisant karatéka, Mzee Idelphonse, Maman Colonel, Tonton Damas, les coeurs débordants comme la mousse des bières décapsulées au bar L'Église, ils reconstruisent une nouvelle famille qui illumine ce roman. Du pays aux mille collines florissantes, où après le génocide des Tutsis chacun a été forcé de tourner la page, Dominique Celis montre que derrière la rhétorique officielle d'unité nationale chacun a " incarcéré ses peines à perpète ". Des blessures sans cesse ravivées lorsque l'on peut croiser les bourreaux du passé au détour d'une station-service ou sur la rive calme du lac Kivu. . . Les deux amants sont hantés par le souvenir de leurs disparus des massacres de 1994 : ses tantes pour Erika, toute sa famille pour Vincent. Dans une langue vive et inventive, à la scansion fiévreuse, Erika partage la singulière histoire d'un amour qui tente de résister à cette fatalité tragique. Même lorsque Vincent se sépare d'elle, la passion charnelle qui les domine ne faiblit pas, et c'est une femme vibrante de regrets, encore taraudée par le désir, qui rédige ces lettres, puisque sur sa peau " rien ne veut s'effacer ".

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Thrillers

Quand pleurent les dauphins

Quand Chloé Sinclair, officier de police à Lyon, rencontre Gabriel Clavel, skipper d'un splendide catamaran sur les eaux tranquilles de la méditerranée au large du Cap d'Agde, elle n'imagine pas à quel point cette journée va bouleverser sa vie. Toute sa vie. Le destin peut parfois se montrer aussi cruel que capricieux. Et ce n'est pas Joseph Meunier, dépanneur efficace et serviable, tueur et violeur à ses heures perdues, qui le niera. Lui non plus ne peut se représenter tout ce que l'agression de cette femme qui lui a résisté et qu'il a cru morte va changer dans son existence. Il aurait pu le concevoir. Il aurait dû.

10/2021

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Littérature française (poches)

Pourquoi les femmes pleurent

L'auteur de l'Enfant halluciné (prix Renaudot 1987) nous donne ici le roman d'une double quête : celle de Louise, quarante ans, rêvant mélancoliquement dans sa province de l'amour sécurisant et robuste qu'elle n'a pas encore rencontré. Celle d'Eric, un jeune homme, rassasié de conquêtes faciles, mais habité d'un idéal - spiritualité, beauté ? - auquel il n'a pas su donner de nom. Un tableau - une étrange tête de Christ - retrouvé dans le grenier de Louise, qui se hâte de le vendre à bas prix, va bouleverser leurs vies. Fasciné par cette toile, dont on découvre bientôt qu'elle est l'œuvre du Caravage, Eric entreprend d'aider Louise, flouée, à faire valoir ses droits. Dans le même temps il devient son amant. Mais leurs aspirations ainsi croisées peuvent-elles vraiment fusionner ? L'homme et la femme auront traversé de concert bien des passions parallèles, chacun d'eux attentif mais étranger à celles de l'autre. C'est tout le charme de ce beau roman de nous faire participer à ces envoûtements. Viviane Forrester, Le Monde.

04/1997

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Littérature française

Ainsi pleurent nos hommes

Kigali, 2018. Depuis sa rupture avec Vincent, Erika vit sur un fil. Elle écrit à sa soeur pour "exorciser de son corps" un amour-dévastation qui l'habite toujours, se raconte, et parle des êtres fragiles auxquels elle est attachée et qui, eux aussi, tentent de vivre. Avec James, son frère second hand, Manzi, le séduisant karatéka, Maman Colonel et Tonton Damas, elle reconstruit une nouvelle famille qui illumine ce roman. Du Rwanda, pays aux mille collines florissantes où, après le génocide des Tutsis, chacun a été forcé de tourner la page, Dominique Celis montre que, derrière la rhétorique officielle d'unité nationale, chacun a emprisonné "ses peines à perpète" et voit ses blessures ravivées à chaque instant, quand il croise les bourreaux d'hier.

02/2024

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