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10e marché de la poésie de Montréal

Pour une deuxième année, le Prix francophone international du Festival de la poésie de Montréal entend souligner la richesse et encourager le renouvellement de l’écriture poétique en langue française à travers le monde. 20 recueils ont été retenus pour une première sélection, en attendant le festival et la révélation de l'ouvrage lauréat, du 30 mai au 5 juin 2022.

De Montréal – Le festival de la poésie de Montréal (FPM) profite joyeusement du Salon du livre pour présenter son initiative Poésie Go ! Ce projet inédit de balados — podcast pour les non-initiés — s’opère en collaboration avec Magnéto et la Société de transports de Montréal. 12 poètes, lus par quatre comédiens pour produire 18 balados…

C'est le poète australien Mark Tredinnick qui a remporté la première édition du prix international de poésie de Montréal. Ce prix a deux particularités très intéressantes. D'abord, il ne porte que sur un poème (et non pas sur un recueil) et dans cette catégorie c'est le prix le mieux doté avec une récompense de 50.000 $. Ensuite, c'est le seul prix littéraire où le jury ne connaît pas le nom des auteurs en lice.

Jusqu'au 8 juin 2014, la poésie est à la fête au sein de Montréal. Le Festival de la poésie s'y déroule, apportant au public son lot d'événements destinés à poétiser le quotidien. Cette quinzième édition donne lieu à des salons de lecture en plein air, des apéros poétiques, ainsi qu'à une scène musicale et à des projections qui se tiennent sur la place Gérald-Godin mais aussi sur l'avenue du Mont-Royal.

Ce 20 mars, à l’occasion de la Journée internationale de la Francophonie, sont dévoilés au grand public, les vingt titres composant la première sélection du Prix francophone international du Festival de poésie de Montréal (FPM). En créant ce prix en novembre dernier, le FPM s’est allié à plusieurs grandes institutions de la francophonie. Et ce, afin de consacrer chaque année une œuvre poétique majeure qui, par la qualité de ses recherches formelles et thématiques, souligne la richesse de la poésie mondiale de langue française.

Le Festival de la poésie de Montréal a vu le poète et traducteur luxembourgeois Jean Portante remporter le Prix francophone international du Festival de la poésie de Montréal pour son recueil Jadis Je disait, publié par les éditions Phi.

Lors de la soirée « Briller vrai » du 31 mai, événement du Festival de la poésie de Montréal, la poète ivoirienne Tanella Boni a remporté le Prix francophone international 2023. Elle a été saluée pour son recueil Insoutenable frontière, publié aux Éditions Bruno Doucey. Le festival a remis une bourse de 5000 $ à l'autrice lors de la soirée.

Le Festival de la poésie de Montréal (FPM) dévoile aujourd’hui le nom de la lauréate de la première édition de son Prix francophone international. C’est avec grand plaisir que le jury a attribué le Prix francophone international du Festival de la poésie de Montréal à Linda Maria Baros, pour son recueil La nageuse désossée. Légendes métropolitaines, publié par les éditions Le Castor Astral en 2020. 

Le Centre national du livre avait décidé d'aguicher et provoquer un tantinet : « À quoi sert la poésie ? ». Le débat réunissait un panel de poètes français, ainsi que deux invitées de marque argentines.  Les intervenants des deux nationalités ont ainsi débattu entre eux et également le public pendant près d'une heure trente. Si le débat n'a naturellement pas apporté de réponse définitive (l'intérêt étant dans les arguments et exemples convoqués), il a néanmoins permis mettre en avant deux façons radicalement différentes de discourir sur l'art d'Ovide, Marot ou Breton.

La ville de Montmeyan, dans le Var, accueillera cet été, du 25 au 26 juillet, un nouveau festival consacré à la poésie, mais également à la chanson et aux arts en général. Dénommée MONTMEYAN en PoéVie, cette manifestation a été créée à l'initiative du poète Richard Taillefer, avec l'Association des amis de la poésie, de la chanson et des arts (LAPCA).

Parce que la poésie est ce qui nous sauve du monde, parce que, par la langue de l’enfance, elle décèle les beautés cachées, parce qu’elle nous ouvre les portes du rêve et nous protège parfois du réel, l’album Les quatre saisons d’En sortant de l’école est l’une des pépites de cette rentrée littéraire.

On aurait pensé que tout ou presque avait déjà été décliné dans la collection "Pour les nuls". Pourquoi la poésie ? Jean-Joseph Julaud nous répond.

Le collectif Poésie is not dead est fier d’annoncer que Joël Hubaut inaugurera « Ut Pictura Poesis », lieu alternatif dédié à la création et à la diffusion des poésies expérimentales. Situé à Paris dans le XIe arrondissement – au 45 rue de la Folie Méricourt – le lieu accueillera une exposition de ses œuvres du 11 novembre au 16 décembre. 

La ministre de la Justice n’a pas caché son plaisir : Christiane Taubira était venue remettre les insignes de Chevalier des Arts et des Lettres à la maison de la poésie (Paris) à Olivier Chaudenson, le directeur et Rodolphe Burger, musicien et chanteur. Un lieu que la ministre apprécie tout particulièrement, et dont la Garde des Sceaux nous parle avec gourmandise.

Le projet poétique L’inventaire des faits en neuf lieux de Montréal, un après-midi d’été sera présenté au public le 20 octobre prochain. Les poètes Fortner Anderson et Geneviève Letarte, lauréats de la première bourse Poésie dans la cité, ont travaillé avec neuf citoyens issus de communautés diverses afin de créer un portrait poétique de Montréal.

Depuis quelques jours, le message diffusé par Serge Brussolo, annonçant sa décision de « devenir [s]on propre éditeur » se propage. Auteurs, libraires : on commmente çà et là, la prise de position, considérant qu'il y a là bien plus qu'une simple posture dans l'air du temps. Nous sommes parvenus à contacter l'écrivain, qui a accepté de répondre à quelques questions, posées en vrac. Avec des réponses, pour le coup très structurées.

Les libraires indépendants de Montréal entendent bien faire du Festival International de la littérature et de sa nouvelle édition une grande fête de la lecture. Du 23 au 25 septembre, dans le cadre du Festival international de la littérature, les membres de l’Association des libraires du Québec se retrouveront dans trois lieux publics, pour aller à la rencontre de chacun.

Avant l’ouverture en 2005 de la Grande Bibliothèque, la ville de Montréal était nettement sous-dotée en lieux publics de lecture. Toutefois, le contrecoup immédiat de la création d’un très gros pôle a été une réduction de fréquentation des établissements de quartier.

James Patterson, auteur américain, se classe (très) régulièrement en tête de la liste des écrivains les mieux payés au monde. Aux États-Unis, il fut l'auteur le plus vendu de la décennie, avec 84 millions d'exemplaires écoulés. Dans un entretien, il s'est inquiété d'une « autre forme de racisme », que subissent les auteurs âgés et blancs, alors que le secteur de l'édition, aux États-Unis, tente de se diversifier.

L'établissement situé à Montréal, sur la rue Sainte-Catherine, laissera place à un magasin de lingerie, Victoria Secret, début 2015. Avec plus de 3200 m2 de superficie, la boutique deviendra le deuxième plus grand réservoir à lingerie au monde. Et la ville perdra, par conséquent, une librairie de grande envergure.

22 établissements de la ville de Montréal seront mobilisés, le 2 mai prochain, pour une soirée entièrement consacrée aux adolescents de la ville. Entre 18 et 23 h, la moitié des établissements de la ville proposera une soirée Ados, en interdisant l'entrée aux adultes. « Seuls les jeunes seront admis ! » 

La Foire des droits de traduction qui s'est tenue le vendredi 27 janvier 2012 à l'Hôtel Omni de Montréal a été très productive selon l'organisateur de l'événement, le Conseil des arts du Canada. Entre les éditeurs québécois et leurs homologues canadiens anglais, les échanges ont été très fructueux.

L'université de Montréal organise un colloque autour du philosophe et écrivain Claude Lévesque, disparu en mars 2012. Intitulées « Pensées de l'amitié », ces rencontrent se dérouleront les 11 et 12 octobre prochain.

La 25ème édition des FrancoFolies de Montréal vient de s'ouvrir en fanfare. Afin de fêter dignement ce premier quart de siècle, cette manifestation honorera, jusqu'au 22 juin, tout spécialement les légendes de la chanson française qui, un jour, sont passées par ce festival devenu mythique.

Réunis en assemblée générale le 15 septembre, les membres de l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) ont élu les éditeurs qui siègeront au nouveau conseil d’administration de l’Association. M. Gaston Bellemare, éditeur-conseil, entreprend la 2e année de son mandat à la présidence de l’Association.

Le bloc québécois s’est insurgé de la suppression d’une portion conséquente de l’enveloppe normalement allouée au Festival international de littérature de Montréal. Patrimoine Canadien a désalloué 65 000 $ (environ 47 000 €) au Festival en dernière minute, à peine 6 semaines avant qu’il ne commence.

Les bibliothèques de Montréal en cet hiver rigoureux réservent à leurs abonnés une offre numérique des plus étoffés. En effet, ceux qui ont la chance de disposer de cet abonnement (gratuit), peuvent directement consulter en ligne un très grand nombre de documents.

L'organisme La poésie partout remporte la seconde édition de la bourse Poésie dans la cité, créée par le Conseil des arts de Montréal (CAM) et l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ).

Autant se débarrasser de cela tout de suite, je ne sais pas vraiment parler des romans de Patrik Ouředník... Pour la simple et bonne raison que ce n’en sont pas vraiment, des romans, ou alors des « post-quelque-chose » ou des « méta-machins ». Dire de ses livres que l’indice de romanesque y est faible est un euphémisme.