Recherche

poésie langues

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Poésie, musique et légendes : découvrir l'Afrique

Continent exploité des siècles durant, berceau de l’humanité, mais également terre de mystères et de fascination : l’Afrique, complexe et plurielle, offre au lecteur mille raisons de s’émerveiller. Et peut-être autant de prendre conscience de ce que la civilisation occidentale a pu exercer d’influence et de dégâts. Voici dix ouvrages, sans prétention à l’exhaustivité, pour aborder ces mondes, autrement.

ActuaLitté

Dossier

Les Prix de poésie Vénus Khoury-Ghata

Dans un contexte où les prix de poésie sont souvent remis à des hommes et où le paysage poétique français est largement masculin, laissant dans l’ombre des femmes poètes de talent, Vénus Khoury-Ghata (Prix Goncourt de la Poésie en 2011), avec l’aide de Pierre Brunel, a créé en 2014 un prix de poésie au féminin qui récompense la poésie française et, depuis cette année, la poésie étrangère traduite en français.

ActuaLitté

Dossier

Dix poètes pour entretenir le goût de la poésie

Du 7 au 23 mars, le Printemps des poètes ouvre le bal aux vers, en vers, et contre tout. Parce que le goût pour la poésie dépasse amplement le seul plaisir solitaire d’une lecture intime, voici neuf auteurs à redécouvrir, neuf textes, traduits ou en français, dont les échos restent puissants aujourd’hui encore. 

ActuaLitté

Dossier

Poésies d'ici, poèmes d'ailleurs

La poésie a longtemps été considérée comme l'apanage des âmes sensibles, des rêveurs et des romantiques. Mais qu'en est-il vraiment ? Est-ce un art réservé à une élite ou peut-on tous s'y adonner ?

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Joël Dicker

Joël Dicker est né en 1985 à Genève où il vit toujours. Il est l’auteur de cinq romans traduits en 40 langues qui se sont vendus à plus de 12 millions d’exemplaires.

ActuaLitté

Dossier

Dans l'univers d'Harry Potter, la fantastique aventure de JK Rowling

Depuis maintenant une vingtaine d’années, les histoires du petit sorcier et de ses copains magiciens ont provoqué un véritable miracle. Traduite en plus de 80 langues, la saga Harry Potter est un monde en soi, dont les ramifications s’étendent au-delà de l’imaginable.

Extraits

ActuaLitté

Critique littéraire

Romans, poésies, poésie critique, théâtre, cinéma

- Le Grand Ecart / Les Enfants terribles - Le Livre blanc / Le Cap de Bonne-Espérance - Poésies 1917-1920 / Plain-Chant / Opéra - Le Rappel à l'ordre - Opium / Essai de critique indirecte - Portraits-souvenir / La Corrida du Premier Mai - Orphée / La Voix humaine - La Machine infernale / Théâtre de poche - Le Sang d'un poète / Le Testament d'Orphée Dessins de Jean Cocteau

03/1995

ActuaLitté

Poésie

Le dos de la langue (poésie courbe)

" Mademoiselle, voudriez-vous courbons nos langues ? (Pas l'échine !) Aimeriez-vous redressons langage ? Par racines... Que prenons-re les lettres au mot ? Et que pendez-les ? Par les pieds ? Plus si affinités ? Se souvenir soudain que scènes de ménage égalent scènes de méningerie, marcher ligne de crête entre fil intérieur de la pensée et chose proférée, faire collecte, ou cueillette, c'est-à-dire antho-logie, ou flori-lège, selon que grec ou latin, qui est " choix de fleurs ", id est bouquet choisi, bref recueil, de textes écrits de 1985 à 2000, ou de 2000 à 1985, selon courbure du temps, et d'espace, et point de vue où la vie vous place, poser un œil sur calembour et l'autre sur étymologie, se dire qu'étymologie quelquefois n'être pas autre chose que calembour qui a bien réussi, dans la vie, outiller bien avec outils d'indicatif, infinitif, impératif, indiquer impérieusement l'infini, placer tout ça haut sous le haut patronage de monsieur Paul, saint, qui sut le premier supplier " que ceux qui aient le don des langues, qu'il n'y en ait pas plus de deux ou trois qui parlent en une langue inconnue, et qu'ils parlent l'un après l'autre ! ", Première Epître aux Corinthiens, XIV, 27, pour enfin, regretter, allegretto, de ne pouvoir faire aboutir votre appel ". J. R.

04/2001

ActuaLitté

Critique littéraire

Anise Koltz l'inapaisée. La poésie entre les langues

Le prix Goncourt de poésie 2018 décerné à Anise Koltz et la parution d'une anthologie dans la collection Poésie de Gallimard en 2016 justifient pleinement cette première étude d'ampleur consacrée à la poète luxembourgeoise Anise Koltz. Il y va d'une exploration tout à fait neuve des deux centres de gravité de l'oeuvre : l'inapaisement et le travail entre les langues d'une poète trilingue qui, après la mort de son mari des suites des tortures infligées par les nazis, a décidé de ne plus écrire en allemand, mais en français. Sont réunies ici, à la suite du colloque international consacré à Anise Koltz à l'université de Strasbourg en novembre 2016, treize interventions écrites par des universitaires, des poètes, des doctorants, une traductrice, qui tous questionnent la parole poétique dense, laconique, équarrie, inventée par Anise Koltz entre les langues.

01/2019

ActuaLitté

Breton

LANGUE BRETONNE, LANGUES MINORISÉES: AVENIR ET TRANSMISSION FAMILIALE

Les actes du colloque international, tenu en novembre 2018 à l'Université de Bretagne Sud à Lorient, tiennent une place spéciale dans le processus de réflexion sur l'avenir de la langue bretonne (et donc des autres langues dites minorisées). De toutes les petites langues territorialisées sous l'administration de la République française, la langue bretonne bénéficie d'une des meilleures visibilités, mais c'est aussi celle qui connaît l'une des transmissions familiales parmi les plus basses. Si basse que l'on pourrait penser que la transmission intergénérationnelle est interrompue. Ces actes offrent, pour la première fois en Bretagne, l'occasion de mener une réflexion sur la place de la transmission familiale. Une réflexion menée sur l'articulation entre familles, environnement linguistique, préscolarisation et scolarisation par le médium de la langue bretonne. La question qui se pose n'est pas tant celle de l'avenir de la langue bretonne que celui des brittophones : leur donner les moyens de la transmission intergéné­rationnelle de leur langue comme il se doit dans tout pays démocratique. C'est-à-dire déterminer les bases qui permettent de faire de la langue bretonne la langue de leur famille dans un environnement linguistique favorable, de faire d'une langue apprise, le plus souvent, une langue à nouveau vernaculaire. La question des droits linguistiques est posée. Ce colloque a accueilli des spécialistes venus d'Irlande, d'Ecosse, du pays de Galles, de Catalogne, de Bretagne qui ont exposé les résultats de leurs recherches dans le domaine de la transmission, notamment familiale. C'est maintenant aux décideurs de s'emparer des conclusions de ce colloque. Textes réunis par Immaculada Fàbregas-Alégret (UBS) & Herve Le Bihan (R2), précédés d'une introduction.

04/2023

ActuaLitté

Poésie

Un grain de pavot sous la langue. Poésie II

"Ecoute bien. Par un soir de lune croissante, gagne la lisière du champ qui ondule en bas de la colline : dos tourné au soleil couchant, tranche net trois grosses têtes de tournesols fanés, déjà bien noires. Emporte-les. Dès le lendemain au réveil, puis chaque matin, fais sauter huit de leurs graines à la pointe du couteau : avale les deux premières aussitôt, les deux suivantes au milieu du jour, à l'instant où l'ombre disparaît, et garde les quatre dernières pour franchir sans crainte les lourdes portes de la nuit. Fais ce que je te dis - et remercie-moi : je ne connais pas de meilleur remède que celui-là pour combattre les foudroyants assauts de la mélancolie".

04/2003

ActuaLitté

Critique littéraire

Dans la langue de personne. Poésie yiddish de l'anéantissement

Itzhak Schipper, mort à Maïdanek en 1943, confiait à Alexandre Donat : "Tout ce que nous savons des peuples assassinés est ce que leurs assassins ont bien voulu en dire. Si nos assassins remportent la victoire, si ce sont eux qui écrivent l'histoire [...] ils peuvent nous gommer de la mémoire du monde [...]. Mais si c'est nous qui écrivons l'histoire de cette période de larmes et de sang — et je suis persuadé que nous le ferons — qui nous croira ? Personne ne voudra nous croire, parce que notre désastre est le désastre du monde civilisé dans sa totalité." Pour dire le désastre absolu qui frappe le peuple juif d'Europe, les poètes yiddish captent des fragments, des éclats de vérité. Ils sont soumis à un double impératif : l'impossibilité d'exprimer l'indicible qui se confond avec l'obligation de témoigner. Au ghetto, à Varsovie, à Vilno, à Lodz, à Cracovie, plus tard dans les camps, à Treblinka, à Auschwitz, avant la mort dans les chambres à gaz, on écrit dans l'urgence. S'arrachant au mutisme, une poétique du cri perce le silence du monde, sa surdité et sa cécité, pour l'obliger à entendre, à voir. Emotion et rigueur historique se conjuguent pour faire surgir la force poétique de ces innombrables textes sauvés de l'oubli. Rachel Ertel nous restitue les voix d'une poésie de l'anéantissement : à notre tour, nous devenons "le témoin du témoin".

01/2005

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté