prix Albertine traduction

Établissement culturel du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères basé dans 10 grandes villes des États-Unis, la Villa Albertine mène un travail de promotion de la culture française par des résidences, divers événements, dont des remises de prix. Afin d'encourager la traduction d'œuvres et leur diffusion aux États-Unis, un prix spécial a été créé, remis à deux titres.

La librairie Albertine de New York dévoile tout juste le lauréat de son prix : Anne Garréta, pour Not One Day, traduit par Emma Ramadan, et paru chez Deep Vellum. Le livre, Pas un jour, publié originellement chez Grasset en août 2002 avait obtenu le prix Médicis.

Le Prix Albertine Jeunesse, remis par la librairie new-yorkaise du même nom, distingue chaque année des œuvres francophones traduites en anglais, destinées aux enfants de 3 à 14 ans. Les quatre lauréats de cette édition 2021 sont désormais connus.

Avec le Jerusalem d’Alan Moore, Claro a abattu un travail de traduction immense. Et plus encore. Depuis des années, l’auteur régale d’ailleurs les lecteurs avec les ouvrages de Pynchon, Danielevski ou Salman Rushdie, traduits par ses (bons) soins. Alors quand le président Emmanuel Macron parle de traduire des livres, d’apprendre les langues étrangères, Claro réagit. Pointilleusement.

Le Prix Albertine, qui porte le nom de la librairie francophone installée sur la 5e avenue à New York, est opéré par des lecteurs et encadré par les services culturels de l’ambassade de France. Sponsorisée par Van Cleef & Arpels, la récompense affiche sa sélection, avec 5 livres retenus.

Négar Djavadi a reçu ce mercredi 5 juin le Prix Albertine 2019 pour son roman Désorientale, publié aux États-Unis sous le titre Disoriental par Europa Editions dans une traduction de Tina Kover. Chaque année, organisé par la librairie francophone Albertine, installée sur la 5e avenue à New York, le prix récompense la traduction d'un ouvrage français en anglais.

La librairie new-yorkaise Albertine propose une nouvelle édition de son Prix Albertine Jeunesse, qui distingue des œuvres francophones traduites en anglais, destinées aux enfants de 3 à 14 ans. Les sélections s'articulent en cette année 2021 autour de la thématique des « apparences »...

Chaque année, décernée par la librairie francophone Albertine, installée sur la 5e avenue à New York, cette récompense salue la traduction d'un ouvrage français en anglais. Il est par ailleurs présenté par les services culturels de l'ambassade française à New York et soutenu par le joailler Van Cleef & Arpels. 5 titres sont encore dans la course pour le Prix Albertine 2020.

Ce lundi 4 mai 2020, l’Union internationale pour les livres de jeunesse a annoncé les lauréats de l’International Board on Books for Young People (IBBY). Considérée comme le Prix Nobel de littérature pour la jeunesse, la récompense salue cette année l’Américaine Jacqueline Woodson pour l’écriture et la Suissesse Albertine pour l’illustration. 

La librairie new-yorkaise Albertine a décerné les quatre récompenses de son prix littéraire jeunesse bilingue, qui saluent des ouvrages francophones traduits en anglais, destinés aux enfants de 3 à 14 ans.

Albertine, la célèbre librairie française de New York, a créé en 2017 l'Albertine Prize, ou Prix Albertine, en VF qui récompense, on l'aura deviné, un livre écrit par un auteur francophone et publié aux États-Unis dans l'année écoulée. Cinq livres font partie de la sélection pour le Prix Albertine 2018, qui sera décerné le 6 juin 2018.

Le Prix Albertine Jeunesse, prix littéraire jeunesse bilingue d'Amérique du Nord remis par la librairie new-yorkaise du même nom, distingue chaque année des œuvres francophones traduites en anglais, destinées aux enfants de 3 à 14 ans. Deux ouvrages ont été salués cette année, dont un dans deux catégories...

La librairie française de New York, Albertine, vient de lance son prix littéraire : l’Albertine Prize, qui récompense de la fiction française, traduite en anglais. Un prix qui salue le travail des traducteurs, tout en indiquant les goûts et tendances des lecteurs américains.

Le 6e Prix Russophonie pour la meilleure traduction du russe en français a été attribué le 30 janvier à Anne-Marie Tatsis - Botton pour Souvenirs du futur de Sigismund Krzyzanowsky, auteur qui n'avait pas été publié de son vivant, que les éditions Verdier se sont attachées à faire connaître en France.  

Un prix en faveur du dialogue des cultures :

Fidèles au projet humaniste de favoriser la connaissance et le progrès intellectuel, les Services culturels de l'Ambassade de France aux Etats-Unis ouvrent le 27 septembre, à New York, la librairie Albertine, entièrement dédiée aux œuvres francophones en version française et en traduction anglaise. Lieu de lecture, mais aussi de débats, d'inspiration et de réflexion, la librairie Albertine mêlera étroitement tradition et modernité, sous l'angle de la diversité culturelle.

Le prix de traduction Inalco, doté de 1000 euros, sera remis le 4 octobre 2020, lors de la 8ème édition du Festival Vo-Vf, le monde en livres - la parole aux traducteurs. Les maisons d'édition ont jusqu'au 2 mars pour envoyer leurs ouvrages, traduits dans l'une des 103 langues enseignées à l'Inalco – Institut National des Langues et Civilisations Orientales. 

« C'était hier, et c'est demain », chantait le troubadour Ferrat. À la SGDL, c'est pareil : hier se réunissait le jury du prix de la traduction SGDL/HALPÉRINE-KAMINSKY 2010, et c'est demain, soit aujourd'hui, que sont connus les deux lauréats.

Prix de la traduction 2009 : Hassan Hamza lauréat

Joëlle Dufeuilly traduit des auteurs hongrois depuis 1998. Elle a particulièrement traduit l'œuvre de Laszlo Krasznahorkai (cinq romans) et d'autres auteurs contemporains dont Laszlo Darvasi, Péter Esterhazy, György Dragoman. Joëlle Dufeuilly traduit également des auteurs classiques et de la littérature jeunesse.

L’Université de Warwick lance Le Prix de Warwick pour les Femmes en Traduction (The Warwick Prize for Women in Translation), qui sera remis pour la première fois en novembre 2017. Le prix cherche à agir sur le déséquilibre constaté entre les hommes et les femmes concernant les traductions d’œuvres littéraires. L’idée serait d’augmenter le nombre des voix de femmes à l’international pour des lecteurs anglais et irlandais.

L’École de Traduction littéraire est particulièrement heureuse d’apprendre que le prix de traduction INALCO 2020 a été remis le 3 octobre, au festival VO/VF de Gif-sur-Yvette, à Chloé Billon, ancienne stagiaire ETL de la promotion 2017-2018, pour sa traduction du roman Les Turbines du Titanic de Robert Perisic (éditions Gaïa). 

Le prix Eugen-Helmlé, créé en l’honneur d’Eugen Helmlé, traducteur et écrivain, a été attribué en 2020 à la traductrice française, Corinna Gepner, auteure de Traduire ou perdre pied, publié aux éditions La Contre-Allée.

Pour avoir traduit Petit traité d'histoire des religions de Frédéric Lenoir (paru chez Plon) du français vers l'arabe, Mohammed Haddad remporte le Prix de la traduction Ibn Khaldoun-Senghor en sciences humaines 2013, rapporte l'AFP.

C'est aujourd'hui que le lauréat du prix de la traduction 2010, créé par la Francophonie et l'Organisation arabe pour l'éducation, la culture et les sciences, recevra sa récompense.

Comme chaque année, la Société des gens lettres remet au mois de décembre les Prix Révélation, destinés à encourager de nouveaux talents littéraires. Le Jury, composé des auteurs membres du Comité de la Société des gens de lettres et de traducteurs (pour le prix de traduction), a dévoilé sa première sélection.

Le premier Prix de traduction de l'Incalco, remis lors du festival Vo-Vf à Gif-sur-Yvette, a été décerné à Maud Mabillard pour sa traduction de Zouleikha ouvre les yeux de Gouzel Lakhina, publié par les éditions Noir sur Blanc. Le prix est doté à hauteur de 1000 €.

Le traducteur Nicolas Richard a reçu le Prix de traduction 2021 du Centre Culturel Irlandais pour son travail sur le roman D'os et de lumière (Solar Bones) de Mike McCormack (Grasset). Une dotation de 3500 € récompense cette première traduction en français de l'auteur irlandais.

Décerné depuis 1981 par la Société française des traducteurs (SFT) avec le concours de l’École Supérieure d’Interprètes et de Traducteurs (ESIT), le prix Pierre-François Caillé de la traduction récompense chaque année un traducteur d’édition en début de carrière (ayant à son actif au maximum trois ouvrages traduits et publiés).