Depuis la création du prix Goncourt, devenu une véritable référence, et la certitude de multiplier les ventes du roman lauréat en libraires, les prix littéraires animent toutes les passions. En France, les cinq cadors – Goncourt, Femina, Médicis, Renaudot et Interallié – sont les seuls qui semblent avoir une véritable incidence sur les achats.
Remis pour la première fois en 2008, le Prix Landerneau s'est décliné, depuis, en plusieurs récompenses : on compte ainsi le Prix Landerneau BD, le Prix Landerneau Album Jeunesse, le Prix Landerneau Polar et le Prix Landerneau des Lecteurs... Ces récompenses fédèrent l'ensemble des libraires des quelque 220 Espaces culturels E. Leclerc.
Créé en 1989 sous l’appellation Prix Novembre, le Prix Décembre a été pensé comme un anti-Goncourt, un de plus : la récompense entendait se démarquer de par sa sélection initiale, mais aussi son choix de lauréat. Pensé et doté, à l'origine, par Michel Dennery, il fut ensuite soutenu par Pierre Bergé, se nommant alors Prix Décembre.
Créé en 1926 par des journalistes et des critiques littéraires qui s'ennuyaient en attendant les choix des jurés du Prix Goncourt, le Prix Renaudot s'est depuis fait une place de choix au sein des prix littéraires de la rentrée. Il emprunte son nom à Théophraste Renaudot (1586-1653), journaliste et médecin français, connu comme le créateur de la presse et de la publicité françaises...
Les Prix Booker, ou Booker Prizes, sont au nombre de deux : le Booker Prize, qui récompense des romans publiés en anglais, et l'International Booker Prize, qui salue lui les romans étrangers traduits en anglais et publiés au Royaume-Uni ou en Irlande.
Créé en 1930, le Prix Interallié fait partie des fameux prix de la rentrée littéraire : il est remis chaque année, au cours de l'automne, à un roman français. Le prix n'est pas doté financièrement, et il est décerné au sein du Cercle de l'Union interalliée, cercle social parisien fondé en 1917.
Philosophie
06/2015
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03/1991
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07/2022
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Littérature portugaise
Un regard exceptionnel sur la révolution des Œillets, sur la politique et le destin des rêves. La photo des jeunes gens était là, tout en haut de la bibliothèque de son père. La journaliste y reconnaît tous les acteurs de la révolution des Œillets. Elle filme ces survivants oubliés du coup d’État qui a renversé la dictature pour découvrir ce qu’ont été l’illusion révolutionnaire et le difficile chemin vers la démocratie.
Son regard neuf sur une histoire que personne ne veut plus entendre réécrit leur épopée et dévoile le moment où la vie a été transformée en une construction de l’imaginaire ou de la volonté.
Un roman exceptionnel sur la politique et le destin des rêves.
Traduit du portugais par Geneviève Leibrich.
Lídia Jorge est née dans l’Algarve et vit à Lisbonne. Elle est l’auteur de nombreux romans traduits dans une douzaine de pays, en particulier Le Rivage des murmures, Le Vent qui siffle dans les grues et Les Mémorables, tous publiés aux Éditions Métailié. Elle a reçu de grands prix littéraires dont le prix FIL de littérature en langues romanes 2020 pour l’ensemble de son œuvre.
01/2024
Romans graphiques
10/2021