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Littérature française

Profite du chemin

Lou Vargas est professeur de français dans un prestigieux collège du Ve arrondissement de Paris. Guidée par son SBE (syndrome de la bonne élève), elle travaille assidûment et entretient une relation sans surprises avec Sébastien, qui envisage pour eux mariage et enfants. Cette vie en ligne droite a tout pour plaire aux parents et au compagnon de Lou, tout est bien. Pourtant, une petite erreur d'inattention suffit pour que tout bascule. Lorsque la jeune femme s'autorise trois minutes hors de sa classe pour faire des photocopies, l'un de ses élèves en profite pour twerker comme un diable et... se casser le bras. Manque de chance, il s'agit du fils d'un ministre. Le proviseur lance alors un ultimatum à Lou : le renvoi, ou bien la mutation en Guyane pour le reste de l'année scolaire. Humiliée et abattue, Lou choisit l'exil par défaut, bien décidée à rentrer le plus vite possible à Paris. Pourtant, une petite voix l'encourage à s'aventurer au-delà des sentiers battus, et à profiter des richesses de la luxuriante Amazonie...

09/2023

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Droit

La probité publique en droit pénal

Le Code pénal consacre au sein de son Livre IV une section intitulée " Des manquements au devoir de probité ", héritage de l'ancienne forfaiture. La catégorie n'a cessé d'évoluer au plan interne, appuyé par le droit pénal international. Il en ressort un véritable foisonnement normatif qui repose pour l'essentiel sur l'incrimination. Son étude méthodique permet d'observer un droit pénal arraché de son ultima ratio, mettant à mal sa fonction dissuasive. La pédagogie du Code pénal est également atteinte à l'heure où les manquements visés n'annoncent plus clairement ce qu'ils répriment. Dans ce contexte, depuis 2013, le législateur a fait de l'exemplarité la toile de fond de la probité publique. Au-delà de l'affichage individuel, le travail de recherche invite à s'interroger sur la mise en oeuvre d'une telle fonction par le droit pénal. Un " manquement " a une connotation morale plus forte que la violation d'une régle juridique. Un " devoir " suppose une règle plus sociale qu'une simple obligation. C'est dire que la répression entend punir un " faire-valoir ", pour donner une consistance à la chose publique dans laquelle la société croit et dont les personnes exerçant une fonction publique sont les gardiens. Ces incriminations moralisatrices resserrées autour d'une responsabilité pénale à fondement social permettent de faire apparaître la pénalité sous un nouveau jour. En se recentrant sur son application, la thèse redécouvre ainsi la fonction d'exemplarité du droit pénal.

01/2019

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Terrorisme

A qui profite le djihad ?

Aurions-nous terrassé Al-Qaïda, vaincu Daech, mis fin à la Terreur islamiste ? Certainement pas, analyse le criminologue Xavier Raufer. Comme hier, notre savoir reste limité et périmé. Mais comment anticiper ? Voici la vérité sur le djihad nouveau qui va arriver. Un livre de révélations et de conscientisation. Indispensable. Le terrorisme serait-il le seul crime qui ne profite à personne ? La mondialisation aurait-elle aboli l'instrumentalisation dont il était hier l'objet ? La nébuleuse qu'il forme au Proche-Orient, dans le Caucase, en Asie, en Afrique, en Europe, pourrait-elle fonctionner sans alliance ou sans assistance ? Et le djihad ne se prête-t-il pas à masquer des rapports de force classiques, des conflits récurrents ? C'est le rôle des Etats qui emploient la terreur comme une arme d'agression ou de dissuasion que révèle ce livre fondé sur des documents inédits émanant des services secrets. Décryptant les faits passés, les risques futurs et les menaces actuelles, Xavier Raufer montre en quoi nous restons démunis : nous ressassons ce que nous croyons savoir là où il nous faudrait décrypter ce que nous ignorons. Un tableau saisissant des guerres clandestines à l'échelle planétaire. Une illustration exemplaire des deux piliers du décèlement que sont prévoir et prévenir. Un bilan indispensable de nos forces et de nos faiblesses. Une leçon de clairvoyance.

03/2021

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Sociologie

IVG, à qui profite le silence ?

Cet ouvrage est le receuil de témoignage de femmes ayant eu recours, à différents moments de leur vie, à une interruption volontaire de grossesse (IVG), le témoignage d'un homme également. Elles et il évoquent les réflexions et bouleversements occasionnés par cette décision, bouleversement personnels, physiques et psychologiques, et les conséquences sur leur vie de femme, d'homme, de couple, de mère, de professionnelle parfois. Ce receuil de témoignages a vocation à donner la parole à celles qui se taisent, parfois pendant des années, parce que l'IVG reste un sujet tabou, honteux, qu'on n'aborde toujours pas facilement, et qui reste souvent en huis clos, faute d'accompagnement proposé. Pour nombre de femmes, cet événement de vie correspond à une rupture, un événement non élaboré dans leur histoire personnelle, alors qu'il peut être donneur de sens ou porteur de changement. L'intention est également de susciter une réflexion sur la soliture et l'isolement de ces femmes dans la prise de la décision, et sur la place des hommes, notamment lorsqu'ils sont leur compagnon de vie. Questionner la place de l'IVG dans le parcours de féminité, de fécondité de la femme (l'avortement étant le moment où se discute systématiquement la contraception), de maternité. Réfléchir aussi aux conséquences sur les autres enfants de ces femmes, déjà nés ou à naître, aux conséquences sur le couple. Et surtout penser l'accompagnement avant, pendant et après l'avortement.

06/2023

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Autres éditeurs (A à E)

Petite Souris profite du grand froid

Sixième album de la série consacrée aux activités saisonnières de Petite Souris, qui grandit aux côtés de sa maman. Cette fois-ci, c'est l'hiver et Petite Souris doit affronter la neige.

01/2022

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Droit constitutionnel

Morale et Politique. Ou les vacances de la probité

Morale et politique ? Deux mots qui ne font pas bon ménage. Quand le regard d'un psychologue se porte sur le sort de l'intelligence en politique. Un ouvrage aussi instructif que rare, par Edouard Claparède, médecin neurologue et psychologue suisse. Neveu du zoologiste du même nom et du même prénom, Edouard Claparède entreprend d'abord des études de médecine, puis se consacre à la psychologie. Il fait sa carrière à l'université de Genève, où il fonde l'Ecole de psychologie et des sciences de l'éducation. Claparède s'apparente au courant dit fonctionnaliste, qui s'attache à découvrir la finalité de chaque type de comportement en le plaçant dans le contexte de l'ensemble de l'activité. Après des recherches sur l'association des idées et sur le sommeil, il entreprend l'étude de l'intelligence. Il voit dans celle-ci une adaptation mentale aux circonstances nouvelles : elle a pour fonction de suppléer à l'insuffisance des adaptations innées ou acquises. Le tâtonnement est pour lui la source des conduites intelligentes : il n'est pas un pur comportement d'essais et d'erreurs ; il produit ce que Claparède appelle des implications, c'est-à-dire des sortes de raisonnements par analogie consistant à appliquer à des situations nouvelles la conduite qui a réussi précédemment dans des situations voisines. Son oeuvre est assez oubliée aujourd'hui, mais son influence personnelle a été grande et il est à l'origine des différents courants de la psychologie suisse de langue française. E. Claparède fonde L'Année psychologique en 1901. Son regard sur la morale en politique se situe tout à la fois à la croisée de ses observations sur l'intelligence et de celles sur la fonction sociale des aptitudes psychologiques à choisir la probité. Un ouvrage rare et forcément critique sur l'asservissement de l'intelligence à l'opportunisme personnel qui mérite d'être redécouvert. Extrait : " J'estime pour ma part que mieux vaudrait... me trouver en désaccord et opposition avec tout le monde que de l'être avec moi-même tout seul et de me contredire. SOCRATE, dans le "Gorgias" . L'ouvrage que nous avons l'honneur de présenter ici au public nous apporte en une heure grave le message d'outre-tombe d'un homme de coeur qui fut un savant illustre et un citoyen convaincu. Et ce qui donne à ces pages une saveur particulière, singulièrement émouvante pour les amis de l'auteur, mais qui ne sera pas moins sensible à ceux qui n'ont pas eu le privilège de le connaître, c'est l'entrelacement qu'on y découvre sans cesse des préoccupations humaines, civiques et scientifiques dont il était animé. Préoccupations conjuguées, nullement mêlées en désordre, mais associées et complémentaires. Aux yeux du savant, les découvertes dans le champ de la vie mentale qui rendaient son nom célèbre ne devaient pas seulement enrichir, par un apport de connaissances nouvelles, le patrimoine humain, elles devaient aussi trouver leur première application dans le cercle proche de sa patrie genevoise et helvétique, dont le perfectionnement et la dignité lui tenaient tellement à coeur qu'il n'a jamais hésité à consacrer beaucoup de temps à des activités civiques. Les pages qui suivent l'attestent du reste abondamment et point n'est besoin d'être un initié pour y retrouver notamment l'écho des luttes qu'il mena longtemps en faveur des idées représentées par son ami le regretté William Martin, à la mémoire duquel il était resté inaltérablement fidèle".

03/2023

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