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récompenses BD Angoulême

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Rentrée littéraire : prix, récompenses et heureux lauréats 2021

Rendez-vous incontournable de la vie culturelle française, la rentrée littéraire vient avec son lot de parutions, mais aussi de prix et de récompenses. Salutations du jury ou importantes sommes d'argent à la clé, les prix les plus convoités ne sont pas forcément ceux que l'on croit... 

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

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Le FIBD 2022 à Angoulême : auteurs, programme et événements

Le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême investira les rues d'Angoulême, en 2022, du 17 au 20 mars 2022, avec le ferme espoir de pouvoir renouer avec une édition plus habituelle, malgré la crise sanitaire. Initialement prévu du 27 au 30 janvier, le FIBD a dû, une nouvelle fois, se plier à la situation. Quoi qu'il en soit, la 49e édition de l'événement s'appliquera à contenter les amateurs du 9e art...

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Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2021

Crise sanitaire oblige, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême (FIBD) de l'année 2021 ne sera pas du tout comme les précédentes éditions. L'organisation a ainsi annoncé un diptyque, avec un événement du 28 au 31 janvier 2021, une manifestation à Angoulême et des réalisations « hors les murs », puis un événement plus « présentiel », dans la période printemps-été.

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Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2020

La 47e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, ou FIBD pour faire plus court, se déroulera du 30 janvier au 2 février 2020 : à cette occasion, la ville tout entière vivra au rythme du 9e art, avec des événements un peu partout. Expositions, dédicaces, conférences, cosplays et autres masterclasses attendent les visiteurs, venus du monde entier. 

Extraits

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Histoire régionale

Angoulême BD. La contre-histoire (1974-2024)

La thématique : Angoulême / la bande dessinée comme enjeu de pouvoir Le salon d'Angoulême est la queue de comète d'une longue campagne de valorisation de la bande dessinée en Europe francophone, amorcée en 1962 avec le Club des Bandes Dessinées. Le Club était une association Loi de 1901 née des lecteurs de la revue FICTION, composée de nombreuses sommités comme Alain Resnais, Francis Lacassin ou Evelyne Sullerot et ayant des antennes en Suisse, Belgique et Espagne. Par "valorisation" , il faut entendre la dimension immatérielle et matérielle, culturelle et commerciale, de ce moyen d'expression artistique. En janvier 1974, la bande dessinée est déjà reconnue comme un art à part entière, le 9ème, et elle représente un important marché dans le domaine du livre. Le salon d'Angoulême émerge en fin de ce long cycle. Malgré l'adjectif "international" affiché par les organisateurs dès sa naissance, il s'agit en réalité d'une version francophone du Salon italien de Lucca, qui préexistait depuis déjà huit années et dont les organisateurs avaient servi de parrains. C'est aussi la dernière action promotionnelle de la SOCERLID du Parisien d'origine corse Claude Moliterni. Cette société avait doublé puis enterré le Club des Bandes Dessinées. Moliterni, en charge de la Convention de (bande dessinée de) Paris depuis 1969, livre son carnet d'adresses à l'équipe du nouvel événement réunie autour de l'attaché culturel d'Angoulême, sans regret car il a perdu toute apparence de neutralité en vendant sa revue PHENIX à l'éditeur Georges Dargaud et en devenant son salarié. - "Est-ce que le terme de "Salon" utilisé pour la bande dessinée ne fait pas un peu trop "installé" ? ... Dans quel esprit avez-vous organisé ce salon ? " - "Le nom ? ! Vous savez, c'est toujours un peu pareil quand il s'agit de désigner quelque chose... Convention était déjà pris (nda : la Convention de Paris), Congrès et tout... on a pris Salon parce que ça ne veut rien dire et c'est parfait ! " Francis Groux au micro de la télévision nationale française (ORTF), lors du Salon d'Angoulême 1, Janvier 1974. "Aujourd'hui, le groupe ICON (International Comics Organisation) est devenu une maffia, rien ne peut se faire sans nous. Ce n'était pas du tout l'objectif de départ, mais ce sont les faits, certains l'ont compris à leurs dépends. . ". Claude Moliterni, extrait de LA CHARENTE LIBRE du 28 janvier 1974, au lendemain du salon Angoulême1. Si une équipe de bénévoles, chapeautée par Francis Groux, a bien attiré cet événement public au sein de sa ville, le terreau politique local était propice. La cité souffrait en effet d'un long complexe d'enclavement : isolée dans les terres loin du littoral, coincée sur son plateau entre ses murailles, sans autoroute et hors des circuits touristiques. Les élus d'Angoulême n'ont eu de cesse, année après année, de revendiquer une place à l'échelle nationale. Ils vont s'agripper à la campagne de régionalisation qui, à la fin des années soixante, marque la fin du gaullisme : Angoulême sera nommée "ville moyenne pilote" . C'est dans le cadre de cette dynamique que s'inscrit la campagne "Angoulême Art Vivant" dont sont issus les rencontres liées à la bd en 1972. Angoulême bénéficiera ensuite de la montée en puissance d'un natif du cru : le Charentais François Mitterrand... Un demi-siècle plus tard, comme toutes les institutions tentées de maîtriser le récit de leur propre histoire, le Salon devenu Festival international de la bande dessinée (FIBD) d'Angoulême a entrepris de réécrire son narratif, son "storytelling" , pour être plus conforme à la légende qu'il a entrepris d'édifier. Maintes fois retouchée, aménagée, tronquée, embellie, caviardée, l'histoire "officielle" de cet événement tel qu'il cherche à se raconter de la main même de ses promoteurs, le FIBD et son opérateur privé 9eArt+, est pleine d'oublis, de trous, de vides, d'escamotages et d'absences. Et il ne faut guère compter sur les médiateurs et les médias, majoritairement complaisants, amnésiques, approximatifs ou en affaires avec la manifestation - quand ils ne sont pas d'une servilité qui elle aussi interroge - pour poser les questions qui gênent, ou qui fâchent. Pourtant, le fil rouge qui traverse toute l'histoire de l'événement est éminemment politique - au sens le plus large et le plus générique du terme. Car ce qui se noue à Angoulême depuis un demi-siècle, autour d'un thème en apparence dénué d'enjeux d'envergure, c'est une intense, féroce et perpétuelle comédie du pouvoir - toutes les formes de pouvoir. Les personnes intéressées par la bande dessinée, donc par les politiques éditoriales des maisons d'édition, ne peuvent faire l'impasse sur ces cycles de rencontres entre amateurs et professionnels. Pour illustrer les propos de cet ouvrage, les auteurs iront puiser dans la riche iconographie de l'artiste Alain Saint-Ogan (1895-1974). Un homme qui a longtemps symbolisé "le dessin français" et qui ne s'est jamais reconnu comme un auteur de bande dessinée mais bien comme un homme de presse. Il a oeuvré dans la presse pour enfants et pour adultes. Son personnage de manchot, Alfred, l'ami de gamins Zig et Puce, a longtemps personnifié les prix délivrés aux salons de bande dessinée d'Angoulême.

02/2024

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Sciences historiques

Angoulême

Dans cette balade au fil des rues d'Angoulême, le lecteur retrouvera des enseignes disparues, des lieux qui se sont transformés avec les années, des visages d'anciens... L'aspect économique, social et culturel de la ville nous est présenté à partir de 200 cartes postales et photographies anciennes regroupées par l'auteur. Découverte pour les plus jeunes, souvenir pour les plus âgés, ce recueil permettra au plus grand nombre de se plonger dans la vie quotidienne d'Angoulême au début du XXe siècle et de comparer ainsi certaines époques du commerce angoumoisin.

01/2019

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Romans historiques

La nouvelle Angoulême

1524 : Maître tonnelier à bord de La Dauphine, nef commandée par Jean de Verrazane, le jeune François Martin tombe à l'eau au lieu-dit Angoulesme où ses compagnons le croient noyé. Sauvé par les natifs de l'île de Manahatta, il fonde à cet endroit la Nouvelle Angoulême, la future New York est née...

01/2022

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Policiers

Voir Angouleme et mourir

Dix ans après avoir résolu l'affaire Michoulaud (La mort en charentaises), le détective Pierre Marie URLEVENT, dit PMU, par ailleurs auteur de polars, est amené à enquêter de nouveau en Charente. Son client, un jeune informaticien d'Angoulême, Robert Pranzac, est soupçonné du meurtre d'une infirmière qu'il avait prise en stop près de Marthon, un dimanche soir, et dont on a retrouvé le corps à la périphérie de la ville. PMU va donc quitter son bureau, près du centre Pompidou, à Paris. Il s'appuiera sur un vieil ami, Marc-Antoine Fougerolles, avocat au barreau d'Angoulême, qui lui offrira l'hospitalité dans son appartement de la place du Champ-de-Mars.

06/2010

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Policiers

Ecran noir sur Angoulême

Angoulême est en effervescence. Dans la chaleur du mois d'août, à quelques jours de l'ouverture du Festival de la Fiction Française, deux personnalités du cinéma, descendues de Paris, ont trouvé la mort aux abords de la Cité des Valois, et ce double crime a été soigneusement mis en scène. Le commissaire Germain Quioc, proche de la retraite, mène les investigations. Il a de bonnes raisons d'en faire une affaire personnelle. Son enquête le conduit notamment jusqu'au château de la Mercerie, où l'on peut admirer un étrange tableau, La Fin de Babylone, aussi vaste qu'un écran de cinéma. Mais le clap de fin coïncidera-t-il avec l'arrestation du coupable, sur l'identité duquel le commissaire n'a aucun doute ?

06/2019

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Littérature française

L'imprudence récompensée

Une histoire d'amour, un meurtre, une enquête : un roman écrit avec une très grande élégance de style au service d'une acuité psychologique qui rend les personnages plus vrais que nature. Pourquoi l'imprudence, cette attitude commune aux enfants, aux amoureux et aux aventuriers, ne trouverait-elle pas à l'occasion sa récompense ? Ce serait justifier tous ceux qui prennent des risques, abandonnant la sécurité du quotidien pour les clés d'une quête passionnante, telle que ce roman, le sixième de son auteur, la situe à la fois dans le monde de l'art et dans celui du théâtre, tous deux empreints de faux-semblants. On y verra un dramaturge insatisfait et infidèle, que l'assassinat de son épouse entraîne dans une aventure policière à la recherche de sculptures perdues, autant de pièces d'un puzzle qui se résoudra aussi bien dans la vraie vie que sur les planches. Ecrivain, auteur de son premier roman à l'âge de vingt ans, historien de l'art prolifique, collectionneur averti et passionné, président de la Société des amis du Louvre, Louis-Antoine Prat, tout en continuant de réunir une rare collection de dessins français, n'a jamais cessé d'écrire romans, nouvelles, pièces de théâtre, avec la même acuité de regard et la finesse qui lui permettent de discerner, en art, le faux du vrai.

03/2020

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