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Dossier

Le Prix Libraires en Seine

Depuis sa première édition en 2013, le Prix Libraires en Seine récompense chaque année un ouvrage choisi par les lecteurs au sein d'une sélection des livres préférés d'une quarantaine de librairies de l'Ouest parisien. La récompense est habituellement décernée en juin.

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Dossier

Double peine : les prisonniers condamnés à un accès limité aux livres

L’accès à la littérature ou à la documentation dans les établissements pénitentiaires s’avère difficile. Outre la censure de nombreux titres dans les bibliothèques des prisons, les détenus se voient également souvent interdire de recevoir des livres, sous prétexte que ces expéditions alimentent le trafic de drogue ou la livraison d’armes.

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Dossier

Terres de Paroles : le festival littéraire et itinérant de Seine-Martime

Du 1er au 9 octobre, la Seine-Maritime fait son festival ! Festival littéraire s’appuyant sur tous les champs du spectacle vivant, Terres de Paroles s’installe, à l’automne, sur l’ensemble du département de la Seine-Maritime. Conçue en écho à cette belle formule de Guillaume Apollinaire : « il est grand temps de rallumer les étoiles », l’édition 2022 sera l’occasion, du 1er au 9 octobre, d’accueillir des paroles qui, chacune à leur façon, tendent à réenchanter le présent. 

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Dossier

Terres de Paroles 2024 : “Dans le bain du monde”

« Rien de tel qu’un enfant pour vous mettre dans le bain du monde », écrivait Christian Bobin, dans son recueil Tout le monde est occupé (éd. Mercure de France, 1999). Pour cette nouvelle édition itinérante en Seine-Maritime, le festival Terres de Paroles renoue avec littérature, théâtre, cinéma ou encore musique. 

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Dossier

Courir ou mourir : Le Labyrinthe, la saga de James Dashner

Depuis la publication du premier livre en 2009, la saga Le Labyrinthe (titre original : The Maze Runner), écrite par James Dashner, a marqué une génération d'adolescents et jeunes adultes par son intrigue captivante, ses personnages attachants et sa représentation métaphorique des défis de l'adolescence. Cette saga dystopique a séduit des millions de lecteurs à travers le monde et a inspiré une série de films à succès.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Agatha Christie

Grande reine du crime, Agatha Christie n'a pas créé un personnage culte, mais deux : Miss Marple et Hercule Poirot, deux détectives qui ne reculent devant aucun mystère. Née Agatha Mary Clarissa Miller en 1890 à Torquay, dans le Devon, en Angleterre, Agatha Christie publiera au cours de sa carrière une soixante de romans et environ 150 nouvelles...

Extraits

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Sphère économique

Une planète à rembourser

Notre planète va mal et tout le monde en parle. Le choix est vaste entre les causes, les mauvaises pratiques, les abus, les responsables et les coupables. Cet ouvrage pointe un domaine mal connu dans sa complexité et ses urgences contradictoires : l'agriculture. Entre états des lieux et pistes pour agir, Angélique Gérard, cheffe d'entreprise, mère de famille et fille d'apiculteur, dresse de notre Terre un portrait lucide, éclairé où même l'espoir à sa place. Loin du tropisme académique, Angélique Gérard a voulu comprendre pour mieux transmettre. Comprendre pour mieux exprimer l'urgence. En termes clairs et accessibles à tous, sans dogmatisme ni idéologie mais en femme de son temps. "Une planète à rembourser" est avant tout un livre-citoyen qui fait le point sur les dangers à surveiller, sur les défis auxquels font face les agriculteurs mais aussi sur les espoirs pour une Agriculture qui se réinvente presque chaque jour, parfois même au coeur des villes.

05/2023

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Criminologie et sicence pénite

Les longues peines de prison

Un état des lieux sans concession du régime pénitentiaire en France : quel est l'impact des longues peines sur les détenus ? En France, cette expression est employée pour les détentions de dix ans et plus. Les personnes concernées représentent 18 % des condamnés détenus. Conscient que " les effets négatifs d'une quelconque privation de liberté augmentent avec le temps ", le Conseil de l'Europe recommande de " réduire autant que possible la durée de la détention " et d'adopter un régime le moins destructeur possible, en leur permettant notamment " d'exercer des responsabilités quotidiennes dans la vie quotidienne de la prison ", dans la perspective d'accroitre leur " possibilité de se réinsérer avec succès dans la société ". En France, cependant, la tendance est à un allongement des peines prononcées et à un durcissement des conditions d'octroi d'une libération conditionnelle. Le contrôleur général des lieux de privation propose un rapport thématique sur cette problématique.

06/2023

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Ethnologie et anthropologie

Porter sa peine. La prison en Polynésie française

Alors qu'aucun travail académique n'avait été publié jusque-là sur le sujet, Marie Salaün et Jacques Vernaudon se sont penchés sur la prison à Tahiti en effectuant une étude de terrain dans les deux principaux établissements de l'île : Tatutu-Papeari et Nuutania. Ils sont allés à la rencontre de trois types de public : les surveillants et conseillers d'insertion et de probation, les détenus, et leurs proches. Quelle est la pertinence d'une prise en charge spécifique pour les populations autochtones ? Jusqu'où une prison façonnée sur le modèle métropolitain doit-elle prendre en compte les réalités sociales, culturelles et linguistiques locales pour mieux remplir sa fonction ? In fine, cette étude nous en apprend autant sur la prison elle-même que sur la société polynésienne Aujourd'hui.

10/2023

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Généralités médicales

Psychiatrie, hôpital, prison, rue... Malades mentaux : la double peine

Des malades mentaux qui se retrouvent attachés à l'hôpital, enfermés en prison ou abandonnés à la rue. Que s'est-il passé en psychiatrie ? Que reste-t-il du bel espoir suscité par la mise en place de la sectorisation dans les années 1970-80 qui avait souhaité en finir avec l'enfermement ? L'idée c'était d'humaniser le soin, de le centrer sur l'individu, de comprendre le sens de sa souffrance et tenter de lui conserver une place dans sa famille et dans la société. Aujourd'hui, des impératifs budgétaires nous imposent de rationaliser les dépenses et de rentabiliser tous nos actes. Dans l'hôpital, géré comme une entreprise, le patient n'est plus cet être unique, avec son histoire particulière. Il n'est qu'un symptôme à éradiquer par des médicaments et des contraintes physiques parfois violentes. Le soin n'est plus la rencontre de celui qui souffre avec celui qui soigne. Il faut adapter, normaliser. Dans les services, la médicalisation a pris le pas sur la réflexion clinique, on traite souvent très vite, sans parler, sans écouter et sans comprendre. Et cette folie qui autrefois nous était familière devient alors étrangère et dangereuse. Elle nous fait peur. Considérés maintenant comme des criminels, punis par le rejet ou l'enfermement, les patients supportent à la fois leur pathologie et cette lourde condamnation. Malades et coupables, c'est la double peine. Je suis devenu infirmier en psychiatrie après mes études en 1977. J'ai beaucoup aimé mon métier. Des formations, mais surtout des rencontres enrichissantes de soignants et de patients, au fil du temps, m'ont permis d'acquérir un savoir-faire, des connaissances, une expérience. Mais, ces dernières années, le discours et la pratique en psychiatrie, très matérialistes, basés principalement sur la médicalisation, ont conduit à une réduction progressive de la dimension humaine du soin. Et il m'a semblé alors que je n'avais plus ma place, restant convaincu que le premier médicament, c'est le soignant lui-même.

08/2019

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Littérature étrangère

La reine des prisons de Grèce

Ce roman se présente comme le journal tenu par un professeur de sciences naturelles, resté seul dans un appartement de São Paulo après la mort violente de Julia Marquezim Enona, qui partagea sa vie pendant trois ans. Pour ressusciter un passé - vécu ? imaginaire ? -, il entreprend de commenter le roman inédit laissé par la jeune femme. La composition énigmatique, comme chiffrée, du manuscrit le pousse à s'intéresser aux arts divinatoires et à la chiromancie. Le personnage central du texte commenté est Marie de France, «jeune ouvrière, ancienne dosmestique... qui n'a jamais eu toute sa tête». Son état mental s'aggrave, si bien qu'elle postule «une pension à vie, ou à défaut, temporaire» auprès de la Sécurité Sociale brésilienne. Nous assistons aux tribulations de la malheureuse aux prises avec un système aberrant et particulièrement inefficace, à ses pérégrinations entre Recife et Olinda, dont la topographie se brouille et se confond. Le temps lui-même se dissout en un temps aboli, celui où les Hollandais s'installaient sur la côte Nord-Est du Brésil, il y a quelques trois siècles. Aux yeux de cette héroïne du dénuement, les détritus et les épaves qui couronnent les tas d'ordures ou que charrient les fleuves en crue, deviennent de véritables trésors. La description détaillée, cinglante, de ses découvertes illustre bien cette esthétique de la pénurie particulière aux pays du Tiers Monde où sévit la faim. Elle est aussi une métaphore sur l'acte d'écrire, bricolage maniaque et superstitieux qui de tous les rebuts, de tous les fragments, fait texte.

02/1980

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Littérature Allemande

Prison

"S'il est interdit de monnayer des heures d'amour, il devrait être interdit d'acheter des heures d'amour. Mais l'expérience nous montre que l'être humain ne peut pas vivre sans heures d'amour. Il faudrait donc organiser l'amour autrement. "Amour organisé" c'est affreux à entendre. Et pourtant, on y revient toujours. Le tribunal est une affaire d'hommes et châtier le sexe faible exige moins d'efforts que demander des comptes à des hommes trop jaloux de tenir secrets leurs penchants les plus forts. Je voudrais que les hommes abusés puissent voir le sourire de mépris qui se peint sur le visage de leurs séductrices quand, devisant tout bas dans les couloirs du pénitencier, elles éventent les secrets de leurs accusateurs. Dans la cour de la maison d'arrêt, j'ai vu le sourire souverain sur les visages des femmes et des filles qui font le trottoir ; filles victorieuses qui ont l'élégance de se déclarer vaincues. Cette courtoisie doit être bien dangereuse, pour qu'on les enferme entre des murs épais."

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