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Extraits

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Littérature française

Rive droite, rive gauche

Paul Sénanques ne supporte plus les compromis. Ce brillant avocat fait partie d'une génération de rebelles que l'attrait du pouvoir et le goût de l'argent ont ralliés à l'ordre établi. Mais la passion de la vérité couve en lui comme un feu mal éteint. Lorsqu'il dénonce publiquement les malversations de l'un de ses clients, il se retrouve seul face à un homme qui ne lui pardonne pas d'avoir " cassé le morceau ", et s'apprête à le lui faire payer très cher. Seul ? Rien n'est moins sûr. Car Paul Sénanques rencontre une femme qui, comme lui, s'accommode mal de la comédie où chacun perd sa vie en croyant la gagner. Ensemble, ils affrontent la tempête, puisant le courage de lutter dans un amour fragile que tout semble menacer. Récit d'action, où le monde des affaires et celui du crime se côtoient - et parfois se rejoignent -, chronique d'une initiation amoureuse, Rive droite, Rive gauche est aussi une fable sur le pouvoir des médias et l'usage qu'un homme moderne peut en faire.

11/1984

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Poésie

De rive en rive, écrire

Quand le désir devenait exigence, d’une plume toujours prête à jouer avec les mots, je saisissais, avec une appréhension jouisseuse, cette feuille blanche, adversaire coriace, puis surface accueillante où les mots s’apprivoisaient peu à peu, jusqu’au moment du trouble et de l’étonnement du chant qui se déploie. Jetés sur le papier au fil des émotions, les sédiments d’une vie déjà bien engagée se sont ainsi accumulés dans le désordre des urgences ponctuelles. Ce recueil en réunit quelques-uns qui dévoilent, derrière l’éparpillement des circonstances, une mémoire dans laquelle les sens en éveil dialoguent avec les puissances évocatrices de l’enfance. De rive en rive, ces textes jouent avec les formes et les figures poétiques pour célébrer la permanence des lieux et le passage du temps. Des textes qui dévoilent une forme d’intimité universelle où les événements de la vie résonnent des bruits de la société.

12/2021

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Romans policiers

Quimper, rive gauche, rive droite

Alors qu'il revient du Liban, Paul est mis en éveil sur une possible erreur commise par Sarah et les magistrats. Un clochard est accusé du meurtre sordide de l'épouse d'un homme d'affaires quimpérois. Pour alibi, ce clochard assure qu'il n'est pas le coupable, malgré les preuves, car il ne franchit jamais l'Odet pour fréquenter sa rive droite : ça lui porte malheur. C'est maigre, mais suffisant à Paul pour tenter de réveiller Sarah en la plaçant devant les invraisemblances de son dossier. Dès cet instant, les pistes de nouveaux suspects se multiplient, plus tordues les unes que les autres. Qui pouvait en vouloir à Ravindra, jeune indo-pakistanaise venue trouver l'amour en Bretagne, pour lui infliger dix coups de couteau dans le ventre ?

03/2023

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Littérature française (poches)

Rive dangereuse

Un petit appartement. Quatre beaux enfants. Pas beaucoup d'argent. Mais le bonheur. Un bonheur presque insolent qui étonne parfois Gabriel et Marie, qui leur fait dire que leur rencontre a été décidée au ciel. Au ciel, peut-être, mais sûrement pas par des dieux bien intentionnés... Après la mort de sa mère, Gabriel découvre qu'il est un enfant adopté. Résolu à connaître ses véritables parents, il engage un privé. Ce que cet homme va découvrir précipite Gabriel et Marie en enfer...

08/2000

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Poches Littérature internation

Rive gauche

Cocktails, mannequins, ateliers d'artiste, et aussi Vienne et les Antilles, en tous lieux et en toutes circonstances, Jean Rhys promène dans la vie son personnage hanté par la peur : "J'ai eu peur des visages lisses et brillants, des visages de rats, de la façon dont ils riaient au cinéma. J'ai peur des ascenseurs, du regard des poupées". Une peur que seule l'écriture parvient à conjurer un tout petit peu.

04/1987

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Littérature française

Sans rive

Le livre porte comme indication de genre : « fragments », mais ce ne sont pas des fragments au sens ordinaire du terme, plutôt des moments d’un récit éclaté à l’extrême, juxtaposés sans ordre apparent. On peut y repérer des noms, des lieux, des épisodes : un séjour en Angleterre, des vacances au bord de la mer, des amours adolescentes, le lac d’Enghien, les parents, des voyages en France, à Venise, dans le monde entier… Pourtant, un fil conducteur s’en dégage progressivement. On s’y repère à mesure que l’on s’y perd ; ou, inversement, on se perd pour mieux s’y repérer et avoir sur le monde une vision neuve, ou plutôt renouvelée. Dans cette innocence de la vision, la syntaxe est fondamentale : tout à la fois souple et apparemment brisée, elle donne à cette narration éclatée, fragmentaire, une unité non close, une ouverture recentrée sur une subjectivité en mouvement. Un texte à la limite du récit et de la poésie, et où la poésie l’emporte, rendant la lecture du texte tout à la fois complexe et lumineuse.

01/2011

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