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Poésie

Rubaiyat d’un monde sans images

L'aimer, c'est lier mes sens aux siens Ce qui ne se tait pas, comment le dire Si son langage est silencieux, et sa teneur retentissante ? Les chuchotements de son corps sont les cris de ses sens

02/2022

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Lecture 6-9 ans

Roubaiyat de la mer. Edition bilingue français-arabe

Les Roubayiat de Sayed Hegab sont des quatrains à l'image de ceux d'Omar Khayyam : philosophiques, humoristiques, ludiques. Les poèmes sont écrits en dialecte égyptien et jouent avec toute la truculence de cette langue populaire. Les Roubaiyat de la mer font suite à une série de Roubaiyat de Salah Jahine publiée par Le port a jauni (quatre volumes entre 2015 et 2018). Ces quatrains sont une méditation sur la vie, la mort, la joie, le temps qui passe, l'innocence, l'absurdité du monde, sa fatalité, son origine, sa raison d'être et de tourner, la cruauté... Si les thèmes sont universels et nous paraissent tout à fait pouvoir interpeller l'Orient et l'Occident, la formulation et les images de la poésie est typique de l'humour égyptien, teinté d'un constant maalich (un concept fait de fatalisme et de nonchalance). Ainsi les Roubayiât sont tout à la fois une méditation existentialiste et une invitation au voyage dans l'Egypte populaire. Les Roubayiat n'ont jamais été traduites en français. Nous poursuivons notre adaptation et traduction de cette oeuvre majeure du patrimoine populaire arabe. Elle respecte la forme poétique du quatrain et dans la mesure du possible le principe de la rime (les Roubayiat en arabe sont toujours construites sur une rime A-A-B-A). Il s'agit aussi de traduire les allitérations et jeux de mots de l'auteur... quand une équivalence en français peut exister.

06/2019

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Lecture 6-9 ans

Par la fenêtre des Roubaiyat. Edition bilingue français-arabe

Les Roubayiat sont des quatrains à l'image de ceux d'Omar Khayyam : philosophiques, humoristiques, ludiques, ils s'achèvent toujours par une exclamation déconcertée 'agabî ! (que l'on a choisi de traduire par "Bizarre, bizarre ! ! "). Les poèmes sont écrits en dialecte égyptien et jouent avec la truculence de cette langue populaire. Ces quatrains sont une méditation sur la vie, la mort, la joie, le temps qui passe, l'innocence, l'absurdité du monde, son origine, sa raison d'être et de tourner, la cruauté... Si les thèmes sont universels et peuvent interpeller l'Orient et l'Occident, la formulation et les images de la poésie est typique de l'humour égyptien, teinté d'un constant " maalich " (un concept fait de fatalisme et de nonchalance). Ainsi les Roubayiat sont tout à la fois une méditation existentialiste et une invitation au voyage. Ce troisième recueil (après la parution de Roubaiyat, quatrains égyptiens en septembre 2015 et de Plumes et poils de Roubaiyat en mars 2016) propose une sélection de neuf poèmes dédiés à la ville et à la vie urbaine, choisis parmi les deux-cent vingt que contient l'oeuvre de Salah Jahine. Ces poèmes sont traduits en français pour la première fois.

03/2017

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Poésie - Comptines

Thoulathiyat. Haïkus arabes, Edition bilingue français-arabe

Durant cinq années, Le port a jauni a publié un recueil de roubaiyat par an. Les ROUBAIYAT sont des quatrains, comme l'indique leur nom issu du chiffre "arbaa", quatre. Genre poétique perse et arabe qui remonte au XIe siècle avec l'oeuvre d'Omar Khayyam, les roubaiyat ont été le terrain de jeu de poètes égyptiens des années 1960-70, qui ont revisité le genre avec humour et truculence linguistique en arabe contemporain dialectal. Ces quatrains sont une méditation sur la vie, la mort, la joie, le temps qui passe, l'innocence, l'absurdité du monde, son origine, sa cruauté : ils posent un regard et s'attardent sur des instants fugaces, des détails, des petites choses qui disent le monde entier. Durant trois années, Christian Tortel a envoyé au Port a jauni un haïku par mois. Les HAÏKUS sont des poèmes des tercets qui relèvent de la tradition japonaise. Mais Christian Tortel les écrit en français ou en arabe, et les traduit dans l'autre langue. Ainsi, une fois par mois, se posait dans la boîte à mails du Port a jauni un poème sur des instants fugaces, des détails, des petites choses qui disent le monde entier. A force de fréquenter ces deux chemins parallèles, roubaiyat et haïkus en arabe, il nous est apparu évident de les croiser. Et dans un grand tissage des genres poétiques, les THOULATHIYAT (prononcez "soulassiyate") sont nées. Elles sont des haïkus ou des tercets, comme l'indique leur nom issu du chiffre "thalatha", trois. Elles sont autant de méditation sur la vie, la mort, le temps qui passe, les mots sans frontière. Elles relient le monde arabe à l'Asie, la France au monde arabe, les langues entre elles, elles racontent, en creux, les tissages possibles en poésie. Un nouveau terrain de jeu qui réinterprète et on l'espère, revitalise, le champ poétique en bilingue, à la fois hommage aux genres anciens et clin d'oeil humoristique pour une création contemporaine.

03/2021

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Poésie - Comptines

THOULATHIYAT d'automne

A force de fréquenter deux chemins parallèles, roubaiyat et haïkus, il nous est apparu évident de les croiser, et dans un grand tissage des genres poétiques, les thoulathiyat sont nées. Elles sont des haïkus ou des tercets, comme l'indique leur nom issu du chiffre thalatha, trois. Elles sont autant de méditation sur la vie, la mort, le temps qui passe, les mots sans frontière. Elles relient le monde arabe à l'Asie, la France au monde arabe, les langues entre elles, elles racontent, en creux, les tissages possibles en poésie. Voici un nouveau terrain de jeu qui réinterprète et on l'espère, revitalise, le champ poétique en bilingue, à la fois hommage aux genres anciens et clin d'oeil humoristique pour une création contemporaine. Après un premier recueil "Thoulathiyat, haïkus arabes" (Le port a jauni, 2021), les auteurs nous proposent des "Thoulathiyat d'automne", poèmes d'escargots, premières glaçures et feuilles mortes...

11/2022

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Lecture 6-9 ans

Arbre dont j'ignore le nom. Edition bilingue français-arabe

Ce poème est issu et traduit de la production poétique contemporaine syrienne. Le port a jauni poursuit ainsi son exploration du champ poétique arabe, de la poésie du désert qui date d'avant l'islam (Mu'allaqa, un poème suspendu, mars 2019) à la poésie moderne dialectale (avec la série des Roubaiyat, 5 recueils publiés depuis 2015) et jusqu'à la poésie contemporaine syrienne, très belle et très triste en même temps (Tireurs sportifs, 2018). L'arbre dont j'ignore le nom est une méditation du poète sur l'exil et l'oubli. L'exil et l'incapacité à dire dans une autre langue, les "mots sont pauvres, ils montent et descendent comme le hoquet d'un nourrisson dans le brouillard d'une autre langue" . L'exil et le souvenir d'histoires familiales qui permettent d'évoquer ce que l'on fut, là d'où l'on vient. L'exil et la violence subie, "l'épouvante devant la vengeance des serpents blessés" . L'exil et son attente, l'exil est son silence, au point que la peur est devenue tristesse.

06/2020

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